recit gay de pierre
fait comme lui envoi moi ton recit
J'ai 18 ans et je m'appelle Johan. Je mesure 174 cm et je pèse 62 kg. J'ai des yeux bruns et des cheveux bruns mi-longs. On me dit souvent que je suis effeminé. Moi, ça me
va. Mon corps est bronzé et imberbe. Sans me vanter, je sais que je plais physiquement. Comment je sais cela ? Il suffit quand je suis à la piscine que je suivre le regard des autres
nageurs ... Ils me dévisagent puis s'attardent lentement sur mon corps. Cela me fait de l'effet.
Les garçons m'excitent physiquement. J'aime aussi les filles. Je suis ce qu'on appelle un petit bisexuel actif et provocant. Parfois quand j'ai envie, je serais capable de faire
beaucoup de choses. Je n'en ai pas honte car j'aime ça.
En fait mes relations qui me connaissent vraiment disent de moi que je suis une petite salope. Je me comporte ainsi avec les garçons. Avec les filles je suis plus traditionnel sans
pour cela manquer d'imagination. Je laisse aux filles le soin de me prouver qu'elles apprécient ma compagnie.
Ce mercredi là, j'étais parti seul à la piscine pour me détendre. Je n'avais rien prévu de spécial. Un peu de natation et un peu de sauna pendant une heure trente environ. Je
commence en général par la piscine puis me relaxe au sauna avant de rentrer chez moi.
Après avoir effectué plusieurs longueurs et m'être calmé l'esprit, je décidai d'aller au sauna pour terminer mon après-midi oisivement. Le sauna était vide quand j'y entrai vers 16h00. Il y
rêgnait déjà une température de saison et l'ambiance humide et chaude me donna l'envie de m'endormir pendant quelques minutes. A mon réveil, je n'étais plus seul. 2 autres garçons
étaient présents. De rapides coups d'oeil me permirent de me rendre compte qu'ils étaient venus ensemble. Ils étaient beaux ... Leurs corps bruns et musclés étaient agréables à
regarder.
Ils me lancaient parfois un regard l'un et l'autre sans me mettre mal à l'aise, que du contraire. Ils rigolaient ensemble doucement et je pouvais admirer la musculature imberbe de leurs
membres.
Je portais une serviette sur le sexe comme eux. Ils regardaient si souvent dans ma direction que je me dis que je devais être à leur goût ... Et le fait de me faire cette réflexion me
donna envie. Envie d'être provocant et de prendre du plaisir.
Je décidai de les allumer. S'ils répondaient à mes suggestions, je leur donnerais ce qu'il ne pensaient sans doute pas vivre cet après-midi là.
Je me levai lentement et fis tomber ma serviette sur le sol, dévoilant mon corps à leurs yeux scrutateurs. Sans rien savoir ce l'accueil qu'ils me réserveraient, je commencai à marcher vers
la sortie totalement nu et déjà dans ma tête totalement offert à leurs envies d'hommes.
Arrivé à la sortie du local, l'un d'eux m'appela "hé mon garçon, où vas-tu ?". Je me retournai vers lui, j'étais en érection. Il regarda ma queue dressée et rajouta "qu'est-ce qui te
met dans cet état ?". Je lui répondis sans réfléchir tellement le désir parcourait maintenant mon corps délicieusement "d'être nu et que mon corps vous fasse de l'effet".
Le deuxième garçon se leva et s'approcha de moi. Suivi par son copain. Ils bandaient fort tous les deux et ne s'en cachaient pas.
"Tu aimes les garçons ?" me demanda à nouveau le premier. Je répondis "oui, quand ils sont beaux je serais prêt à faire n'importe quoi pour prendre mon plaisir". "Tu nous trouves
comment ?" demanda le deuxième garçon juste derrière moi. "Vos corps me plaisent, vous me donnez envie l'un et l'autre".
Le garçon derrière moi m'enlaca doucement par la taille et sans attendre il embrassa mon cou et ma nuque. Je fus parcouru d'un vrai frisson de désir. Son ami se leva et vint vers moi.
Il se colla à mon cors. J'étais coincé entre ces deux garçons et je tremblais comme une feuille. La moiteur du sauna ne parvenant plus à m'empêcher de frissonner.
Leurs mains me parcouraient le dos, les bras, le vendre, les cuisses et les fesses. C'est là que je décidai de me comporter comme une petite pute. Je suis fort, très fort à ce
jeu.
Celui devant moi approcha sa tête de la mienne et je me penchai pour joindre nos lèvres. Un délicieux baiser d'abord doux puis beaucoup plus ardent. Nos langues mélangées et moi en
train de gémir doucement. L'autre mec, derrière, se mit à genoux et commenca à me lécher . Il reniflait et léchait mon cul en me disant que mon corps le rendait fou d'envie.
J'avais besoin d'entendre ce genre de déclaration pour me donner totalement à eux.
Je leur dis alors "vous savez quoi les gars ?". "Non" répondirent-ils ensemble. "J'ai envie de me faire baiser, j'ai envie de me faire sauter ici sans attendre". Je tombai alors
à genoux et attrapai d'une main experte leurs pénis dressés et gonflés. "Je suis votre petit mec, faites moi l'amour". J'engouffrai alors la première bite dans ma bouche tandis que je
branlais la seconde de la main droite.
Le risque de nous faire surprendre me rendait fou d'envie. Je commencai à piper le premier puis le second placa son pieu devant ma bouche aussi et il parvint à introduire son gland entre
mes lèvres gorgées d'envie sexuelle. A genoux, je léchai et sucai ainsi leurs deux matraques qui mesuraient chacune un bon 20 cm.
Mais mon envie était surtout de me faire prendre par les deux orifices. Sur une banquette au milieu de la pièce je pourrais réaliser ce fantasme. Je me redressai soudain et je leur
dis "faites moi des choses j'en rêve". Et je me relevai. Puis à deux mètres de là je me couchai simplement sur les lattes de bois. Ma tête penchée en arrière dans le vide et mon
anus offert, mes cuisses relevées sur ma tête.
Je devins un peu vulgaire. "Je veux vous faire jouir les hommes. Soyez des mâles et laissez vous aller". Très rapidement je senti le premier qui se penchait sur mon corps et
cherchait à me pénétrer. L'autre ne perdant pas de temps introduisit son sexe rigide entre mes lèvres.
Ivre d'envie de me faire baiser par ces deux hommes superbes, je perdis la tête. "Baisez-moi, oh oui, sautez-moi comme une chienne". Le sexe coulissait maintenant dans bouche, me
remplissant bien tandis que l'autre pénis se fraya un passage entre mes sphincters anaux et se planta bien au fond de mon cul.
Sans pouvoir plus parler je me donnai à leurs assauts de manière impudique. Mes deux mains serraient les cuisses du mec dans ma bouche et mes deux pieds se refermaient maintenant sur le bas
du dos de mon amant qui donnait des coups de reins.
Tous les deux ruaient maintenant en moi. J'étais fou tellement ça me plaisait. La bite dans ma gorge allait toujours plus loin tandis que celle dans mon anus me faisait redécouvrir
les plaisirs de l'amour anal.
Mon corps totalement offert à leurs envies épousait le rythme de leurs assauts. Je sentais des mains me pétrir le torse, me caresser les cuisses tout le long. Je léchai le pénis comme
une glace à la vanille tellement il coulissait bien dans mes lèvres humides. L'autre pénis me rapprochait de la frontière de la folie tellement il me remplissait bien le cul lorsque l'homme
sortait presque totalement et replongeait à fonds dans un soupir révélateur.
L'homme couché entre mes cuisses n'en pouvait déjà plus et il me disait des trucs excitants "tu es notre petit vide couille. Tu es si excitant. Je suis fou de ta peau et de tes
cuisses soyeuses et imberbes". J'étais ravi de l'entendre parler ainsi. Je saisi alors mon pénis dressé à fonds et entrepris de me branler tandis que ces deux inconnus me baisaient
sans retenue maintenant.
Ecartelé et offet je me branlai ainsi pendant un temps que je ne saurais préciser puis je fus pris de l'envie d'éjaculer. Je refermai alors mes lèvres sur le sexe tendu qui surpris par ce
geste continua à pousser de plus belle.
Il fut le premier à éjaculer dans ma bouche en de longs jets chauds. Il cria son orgasme entre mes lèvres. Puis ce fût au tour de mon autre amant de passage de perdre son sperme dans
mon anus béant. Je le regardai dans les yeux, la tête relevée, le sperme surgissant de ma bouche, tandis qu'il me finissait en un long cri de plaisir. Il cracha en de forts jets son
plaisir dans mon corps et cela me donna envie à mon tour de prendre mon pied comme jamais. Le sperme jailli de mon pieu dressé et vint atterir en partie sur mon torse et sur mon visage.
J'étais épuisé mais heureux. Je me relevai alors et ils me prirent tous les deux dans leurs bras. Nous nous embrassames encore pendant plusieurs minutes puis il me firent promettre de
les revoir pour d'autres aventures interdites.
fin
Derniers Commentaires