Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

Ma nuit entière est peuplée de Patrick et de Valentin. Jérémie aussi fait partie de mes rêves. Comment de petit puceau, je suis passé en quelques jours à un mec suffisamment assuré pour quittant les bras d’un garçon, je flirt avec un autre. Pire, me connaissant, je me prends à aimer le contact d’un pénis dans ma bouche. Découvrir son odeur, sa saveur, sa douceur. Le laisser entrer encore souple et le sentir durcir sous ma langue. Voir les yeux et la bouche de Valentin quand il est prêt à jouir ou ceux de Patrick qui s’excuse d’éjaculer sur mon visage. Quand Valentin glisse sa langue experte sur la mienne inexperte ou quand Patrick s’abandonne contre moi.
Je tourne et retourne dans mon lit, en sueur.
Soudain, j’aperçois dans la pénombre la poignet de la porte qui s’ouvre. C’est Jérémie qui apparaît dans l’encadrement. Il est torse nu et porte juste un boxer blanc sur lequel reflète la lumière de la rue.  
Je ferme les yeux et fais semblant de dormir. Je n’ai pas envie qu’il vienne encore me faire part de ses états d’âme. J’en ai assez des miens.  


Au bout d’un instant, n’entendant aucun mouvement j’entrouvre les yeux et découvre Jérémie planté au beau milieu de ma chambre, le boxer sur ses chevilles et en train de se branler sans aucune pudeur. Ouvrir les yeux ou rester immobile ? la question me trotte furtivement dans la tête mais ne vois que des inconvéniant à réagir. La gêne de jérémie serait terrible, et je ne saurais pas ce qu’il compte faire et puis je dois avouer qu’entrevoir dans la pénombre Jérémie en train de se branler est un spectacle exceptionnel.  
A quel moment  son corps est passé de celui d’un petit garçon à celui d’un adolescent, aux performances sexuelles prometteuses. A quoi j’avais la tête pour ne pas voir à la piscine ou en sport ou lors de nos bagarres amicales ou encore nos parties de chatouilles que son corps avait muté, que ses bras et ses cuisses étaient devenus puissants et que son sexe avait poussé comme une plante bien arrosée.
 
Jérémie approche. Je ferme les yeux me privant hélas de la vue en gros plan de sa queue. Je sens ses doigts tirer doucement ma couette. Jérémie est délicat s’efforçant de ne pas me réveiller. Centimètre après centimètre il descend ma couette. Un léger frisson parcourt mon corps exposé aux yeux de mon frère. Il a rabattu la couette après mes pieds nus et je devine qu’il me regarde dormir. Je sens ses doigts prendre doucement le bord de mon boxer qui baille sur le bord de ma cuisse. Jérémie ose glisser sa main à la rencontre de mes couilles et son rendez-vous ne tarde pas. Je sens le bout de ses doigts que je reconnais effleurer doucement mes couilles. Je frémis et fais semblant de bouger dans mon sommeil. J’ouvre mes cuisses blanches pour facilité l’accès de mes couilles à Jérémie. Il est là, il a eu le courage de venir me voir dormir, il a envie de me toucher les couilles. Qu’il en profite alors !
Je me laisse faire et j’entends un petit mouvement frénétique que je devine être la main droite de Jérémie branlant sa jolie queue. J’ai l’impression que je suis le pire des vicieux mais me réconforte en me disant que c’est Jérémie qui est venu dans ma chambre, pas le contraire; en tout cas pas cette nuit…
Jérémie continue son exploration dans mon boxer; tel Indiana Jones, il attrape mon graal qui tient fermement dans la main. Comment pense t-il qu’avec une telle pression sur ma queue je ne me réveille pas; à moins que ce soit délibérer et qu’il serre ma bite pour que je me réveille.  


Je décide malgré ça de ne pas bouger curieux de savoir jusqu’où Jérémie est capable d’aller. Je le découvre hélas trop vite. Il lâche ma queue et sa main quitte mon caleçon. Un liquide chaud zèbre mes orteils su pied droit.  
-Merde, chuchote Jérémie qui de toute évidence vient de m’éjaculer sur les pieds.
Je l’entends s’agiter. Pauvre Jérémie. Il prend un vêtement posé sur la chaise de mon bureau. Je crois que c’est un tee-shirt. Il essuie maladroitement mes pieds. Je m’impose la plus grande concentration pour ne pas bouger chatouilleux comme je suis. Jérémie a, à ce que je vois rentré sa queue.  
Un instant d’après, j’entends Jérémie quitter ma chambre. J’espère qu’il a trouvé ça agréable parce que moi terriblement. Un peu de son sperme coule encore dans ma cheville. Je décide d’y plonger mon majeur et le porte à ma bouche. Le pose mon doigt sur ma langue et après une courte hésitation je lèche la semence de mon frère. Elle est amère mais son gout me trouble et laisse frémir ma queue devenue raide.

 

Ce matin, le soleil brille dans le ciel et dans ma tête. Il fait froid dehors mais la lumière me donne toujours le moral. J’ai pris mon petit déjeuner avec Ma mère et Jérémie. Celui-ci m’a regardé avec un drôle d’air pendant tout le repas. S’est-il demandé si je me douté de quelques choses concernant ce qu’il m’avait fait la nuit précédente ? Ou bien alors, peut-être qu’il s’est dit : «J’ai touché la queue de Julien».  
En tout cas, je n’ai pas trouvé la réponse et je me suis contenté de fuir son regard trop pesant. Je me suis penché sous la table pour récupérer ma serviette tombée et j’ai remarqué que Jérémie bandait fort dans son caleçon. Cette vision a provoqué chez moi aussi une érection tellement forte que j’en avais mal à la queue.  
 
Pourquoi Jérémie, pourtant encore plus pudique que moi (et ce peu de le dire), lui qui m’a caché son sexe depuis au moins trois ans, se met t-il a m’exposer sa queue à tout bout de champ ? J’essaye de rester calme mais faut dire que Jérémie est tellement sexy et cute que j’ai beaucoup de mal.
Aussitôt le petit déjeuné fini et le départ de ma mère je file retrouver mon cellulaire (interdit à table) . Il m’attend bien sagement sur ma table de chevet avec sur l’écran un «trois messages non lus». Mes doigts s’agitent sur le clavier et je mets le haut parleur.
-message un- dit mon téléphone : «Salut Julien, c’est moi, c’est Valentin. Comme tu me manquais, je compter t’inviter pour qu’on se voit». Mon cœur palpite dans ma poitrine.  
 
J’écoute le message suivant : «C’est encore moi. J’ai envie de te voir Julien. Appelle-moi s’il te plait». Sa voix me fait chavirer et je maudis les règles familiales qui bannissent les cellulaires à table. Enfin, le dernier message : «Julien viens chez moi, je suis seul». Mon cellulaire indique que le message date de moins de quinze minutes. Je saute sous la douche et me savonne dans les moindres recoins des fois que Valentin veuille recommencer les mêmes folies que lors de notre dernière rencontre. Je me sens un peu mal à l’aise par rapport à Patrick. J’ai l’impression de le trahir mais je m’efforce de ne pas trop y penser.  
 
Égoïste me direz-vous ? Manipulateur ? Je ne suis ni l’un ni l’autre. La seule manipulation c’est celle de mon cœur qui ne sait pas vers qui se tourner complètement. Peut-on être amoureux de deux garçons à la fois ? Oui mille fois oui. Quand je suis avec Patrick j’oublie Valentin et Valentin me fait oublier Patrick. Si je ne peux choisir, je pense qu’eux le sauront.
 Valentin m’accueille par une poigné de main qui me glace le sang. L’instant d’après j’aperçois un homme, son père qui s’apprête à quitter la maison. Ouf, dieu merci. Je ne lui ai pas sauté au coup. Je réalise que la vie que j’ai choisi, une plutôt la vie qui ma choisi, celle de l’homosexualité et celle de la clandestinité. Pas de promenade main dans la main ou de baiser échangés sans le regard réprobateurs des autres.

 

Le père de Valentin s’éclipse et la langue de Valentin s’éclipse dans ma bouche. Il me plaque contre le mur et me caresse de partout avec une excitation qui me fait chavirer. Je sens sous souffle sur ma joue et il caresse mes cheveux en les ébouriffant.  
J’ai cette pensée stupide sur le fait que quand mes cheveux sèchent en bataille, je ressemble à un épouvantail; mais là, je veux bien être l’épouvantail de Valentin.
Il m’entraine dans sa chambre et debout l’un et l’autre, on se déshabille mutuellement, affamés par nos corps, dévoré par nos baisers, dégustant nos caresses. Enfin en boxer tous les deux on se jette sur le lit de valentin. Il me renverse et vient sur moi. Ma résistance et proche de zéro et je le laisse me dominer assis à califourchon sur mon sexe encore couvert.  
Les baisers de Valentin deviennent moins fougueux et sa langue est plus langoureuse dans ma bouche et sur ma peau. Son changement de rythme me déstabilise mais je dois reconnaitre que c’est Valentin qui dirige nos étreintes.  
Valentin abandonne sa position pour venir se mettre à quatre pattes au dessus de moi, son visage face à mon sexe dressé dans mon minuscule boxer devenu trop serré. Valentin glisse ses doigts dans l’élastique et le descend sur mes pieds nus qu’il caresse. Ses yeux quittent les miens avant de s’accrocher à ma queue implorant les caresses et les baisers.


J’écarte les cuisses pour lui montrer que je suis tout à lui et Valentin pose mes mollets sur ses épaules frêles, puis il plonge littéralement sa tête sur mon pénis dressé comme un pieu. Ses lèvres me décalottent avec précision et je ne peux retenir de petit gémissement que j’aimerais plus graves. Mes doigts se perdent dans les cheveux de Valentin et je perds tout mes moyens, totalement à la merci de mon amoureux.  
Mon corps se cabre et mon gland disparait dans la bouche de Valentin qui l’avale sans hésitation. J’ai les cuisses si écartées que mes hanches me font mal mais je veux tant me donner à Valentin que cette douleur est ridicule comparer au plaisir que me donne la langue un peu maladroite de Valentin.
-Julien… je voudrais te pénétrer, s’il te plait…je serai délicat.
-oh oui Valentin, j’en ai envie. Je veux que tu viennes en moi doucement.


-Attend moi dit-il.  

Je le regarde se lever. Il est incroyablement beau tout nu, son pénis fièrement dressé. Il se penche vers un tiroir et je regarde ses fesses et me demande ce que j’éprouverais si j’y glissais mon sexe. Valentin revient vers moi un petit tube à la main.
Il l’ouvre et étale une petite quantité sur son pénis et du bout de ses doigts que je sens tremblants en pose une noisette sur mon anus. Le contact de ses doigts qui explorent cette zone si intime me fait gémir à nouveau et si ma voix ressemble à celle d’une fille, je m’en fou à présent. Valentin glisse un doigt sans résistance dans mes fesses. Il explore mon anus que je lui offre avec soumission. Je sens un deuxième doigt pénétrer se qui me fait pousser un petit cri de douleur. Les yeux de valentin s’en inquiète mais je les rassure.  
Valentin, de ses longs doigts commence un va et vient entre mes fesse mais ses doigts ne me comblent plus. Je veux quelques chose de plus gros, de plus dur, de plus long, de plus raide.
-Valentin, vas-y, pénètre moi. Je veux sentir ta queue dans moi.


Valentin pose à nouveau mes mollets sur ses épaules et présente son gland face à mon anus.
-Guide moi Julien, murmure t-il.
Je saisis alors son sexe d’une raideur incroyable et pousse son gland dans moi. Je sens à l’orée de mon anus la douceur de l’extrémité de son pénis. Je crée de petits frottements mais la verge de Valentin glisse à la perfection dans mes fesses. Je suis étonné de la facilité avec laquelle elle rentre. Je regarde le visage de Valentin qui prend visiblement beaucoup de plaisir aussi.  
Je pose mes mains sur ses fesses que je sens se contracter à chaque coup de rein.
Valentin gémit aussi et je m’amuse de trouver sa voix aussi aigue que la mienne.  
Valentin me pénètre à présent avec rapidité et je suis prés à jouir aussi, tout de même surpris que cette pénétration me procure autant de plaisir. Je n’en peux plus, je veux sentir son sperme inonder mon ventre et je le dis ou plutôt le cris.
Valentin ne résiste pas plus longtemps et colle finalement son pubis contre mes fesses pour dans un ultime mouvement de bassin venir gicler tout son plaisir en moi.
Je suis quasiment inconscient.

 

a suivre


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