Par thierrydeparis
Communauté : gay video

recit gay de julien

 

Je suis sur le dos et Patrick à genoux prés de moi. Son sexe est dressé et remonte vers son nombril. Ses couilles bien confortablement posées entre ses cuisses claires. Patrick me regarde et je me rends compte que ses yeux brillent. Je lui prends la main et l’attire sur moi, son visage face au mien.

-Qu’est-ce qu’il y a Patrick.

Après un court instant qui me parait une éternité il chuchote dans mon oreille :

«Je me sens pas prêt pour aller si loin avec toi. Je regrette, je me sens pas».

Je reste silencieux ses yeux dans les miens. Je suis tellement déconcerté.

Quel garçon se refuserait avec tant d’élégance et de fragilité. Patrick pourrait m’avoir comme une biche à son tableau de chasse. Première mais pas dernière étoile sur la carlingue de sa queue inexpérimentée. J’avoue que je suis horriblement gêné d’avoir proposé d’aller si vite avec Patrick. Il est magnifique dans le fin rayon de soleil qui filtre entre les rideaux entrouverts. Ses cheveux brillent et la perfection de sa peau fait de moi un envieux.

 

-C’est pas grave Patrick. On est pas pressé. Je pose mes mains sur ses joues et pose un baiser enfantin sur sa bouche. Je sens Patrick qui avance son bassin sur mon sexe. Sa queue se presse sur la mienne et l’un et l’autre commençons de petits mouvements de reins plus ou moins frénétique. Patrick prend mon visage et glisse sa langue dans ma bouche. Il intensifie les frottements de sa queue sur la mienne et je sens, à l’avidité de sa langue sur la mienne qu’il est prêt à jouir. Jouir sur moi, sur mon ventre entre mes cuisses là où il le veut. Je suis soumis à son plaisir tout autant qu’au mien.

Dans un ultime et fabuleux mouvement de reins, Patrick arrose mon ventre et mon cou de son sperme brulant et généreux. Je me cambre et son sperme coule au creux de ma pomme d’Adam. Patrick se redresse et je le regarde. La douceur de son visage contraste avec le sperme qui rend luisant son torse fragile.

Patrick m’essuie avec le tee-shirt qu’il a enlevé et me regarde, moi toujours allongé face à lui sur le dos, mon pénis gonflé. Ce que je vois dans ses yeux, ce n’est pas de la convoitise, ni de la domination. Ce que je vois dans la prunelle de ses yeux c’est de la tendresse, de la douceur et de la reconnaissance.

 

Patrick vient s’allonger sur moi et dépose de léger baisers sur ma poitrine encore collante de son sperme. Entre ses cuisses et les miennes, je sens sa main droite qui s’infiltre sans autorité et qui attrape ma queue comme on attrape un moment d’éternité.

La douceur de ses doigts et la détermination de son poignet me font gémir et me cambrer soulevant Patrick comme une plume au moment de jouir dans une vague de sperme clair.

Au bout d’un moment magnifique où nous restons unis dans notre nudité fragile et impudique Patrick essuie à nouveau mon ventre ou les effluves de son sperme se mêlent au parfum du mien.

Le temps passe doucement dans le calme de ma chambre où nous restons silencieux et soumis l’un à l’autre.

 

-J’ai faim!  
J’ouvre les yeux et réalise le bonheur d’avoir ma tête posée sur la poitrine de Patrick.
-Quoi ? Demandais-je.
-J’ai faim répète doucement Patrick.
-Tu veux que je te fasse à manger ?
-Tu sais faire à manger toi ?
-Pourquoi je ne saurais pas ?
-Je te vois pas avec une toque de cuisinier…surtout tout nu.
Je réalise ma nudité offerte à ses yeux et tire le drap sur mon entrejambes quand Patrick arrête mon poignet.
-Pourquoi tu te cache ? demande t-il dans le plus charmant sourire.
-Je me cache pas. J’ai froid.
-Tu sais que tu mens très mal.
-Je suis démasqué, dis-je finalement.


-Tu es encore plus pudique que moi, conclut Patrick.
-J’ai pas l’habitude de me mettre tout nu devant les autres et tu ne vas pas me faire croire que tu es pudique toi vu ce que tu as fait dans le vestiaire au soccer. Tu t’es mis tout nu devant moi alors que tu me connaissais pas.
-Fallait bien que je te montre l’étendu de mes qualités.
-Oui mais t’étais à trois centimètres de mon nez.
-Je  suis sûr que tu bandais comme un malade, rit Patrick
-Oui, mais n’importe qui aurait bandé en te voyant tout nu comme ça.
-Tu as tort d’être pudique, dit Patrick comme s’il pensait tout haut. Ses yeux parcourent mon corps nu et j’ai presque l’impression de sentir le battement de ses cils sur ma peau.
-Alors, tu m’avais promis à manger, réclame gentiment Patrick.
Je me met à quatre pattes pour trouver mon boxer qui a volé tout à l’heure mais Patrick me dit :
-Si tu n’es pas pudique, tu vas me faire à manger tout nu. Il s’amuse beaucoup mais à l’air très sérieux.  
-Tu seras tout nu aussi alors ?
-Oui même si j’ai un peu peur que tu te mettes à bander en faisant mon sandwich.
-Qui te dit que je vais te faire un sandwich. Je suis peut être meilleur cuisinier que tu le penses.
Tout en discutant, Patrick m’a immobilisé à quatre pattes. Il est venu s’emboiter derrière moi et je pense qu’il s’en es pas rendu compte.
Quand il semble réaliser la situation il se dégage rapidement et marmonne des excuses maladroites.
 
On se retrouve dans la cuisine, tout nu comme des vers. Je sors de quoi lui faire un sandwich et Patrick s’accoude sur le comptoir en me contemplant. Ses épaules sont frêles et ses clavicules saillantes. Il regarde mes mains qui s’activent et moi je regarde ses fesses dans le reflet de la fenêtre. Elles sont jolies et musclées.
-Julien, est-ce que Valentin compte pour toi? Demande Patrick soudainement.  
-Je ne sais pas…c’est compliqué pour moi en ce moment.
- Pour moi, aussi, figures toi. Il y a une semaine, j’étais sûr d’être hétéro puis boum. Tu arrives dans ma vie, tout se bouscule et je comprends plus rien. Si on m’avait dit que je… Patrick hésite soudain.
Je lève les yeux et reste attentif à la suite de sa phrase. Ses lèvres bougent mais aucun son n’en sort.  
-Dit quoi ?
-Si on m’avait dit que je tomberais amoureux…d’un garçon, je n’y aurais pas cru.
Je reste muet et pour toute réponse, je tends le plus beau sandwich que j’ai fait de ma vie.
Patrick me regarde changeant radicalement de visage et dans un sourire franc mord dans mon œuvre d’art.

 

Être tout nu tous les deux au beau milieu de la cuisine est un peu incongrue. Patrick dévore mon sandwich et je dévore Patrick des yeux. Comment en suis-je arrivé là ?          Comment moi qui me suis toujours pris pour le vilain petit canard, ado aux trop longs bras et au jambes sans fin, au torse aussi musclé qu’une planche de surf, comment donc j’en suis arrivé à faire un sandwich à un garçon qui me fait une déclaration d’amour à poil au milieu de ma cuisine ? Comment moi vierge jusqu'à récemment me suis retrouvé dans un lit avec Patrick, Valentin, Maxime même malgré moi et pourquoi ai-je touché mon frère comme je n’aurais jamais dû ? Je me sens un peu perdu.
-T’as l’air soucieux, dit Patrick ayant enfin terminé mon sandwich.
-Suis-je à ce point un livre ouvert ?
-Un livre de poche alors, se moque Patrick
-Hé, tu vas voir le livre de poche ce qu’il va faire à l’encyclopédie  du corps humain.
-Des promesses, des promesses, rit Patrick sans retenu.
Je le plaque soudain contre la table. Il fait semblant de se défendre mais en réalité, il pourrait me faire survoler la cuisine s’il s’en donnait les moyens. Au lieu de ça, il est allongé sur la table de la cuisine, les jambes pendant dans le vide et moi debout entre ses cuisses, penché sur son torse menu. Patrick attrape et attire doucement ma tête et juste avant que ses lèvres se posent sur les mienne il chuchote :
«Je crois que je suis en train de tomber fou amoureux de toi»
Ses mots résonnent en échos pendant que ma langue joue avec la sienne et que je sens sur mon ventre la bite de Patrick se dresser. Je prends mon courage à deux mains pour lui avouer que j’ai envie de lui. Il cesse de m’embrasser et plonge ses yeux dans les miens.
-J’ai envie de te faire l’amour Julien, allons dans ta chambre.  
 
Arrivés au pied du lit, Patrick me couche tendrement. Il embrasse mon nombril ce qui me fait frissonner. Il y fait courir sa langue et ma queue se raidit sous l’effleurement de ses doigts. Patrick embrasse chaque centimètre de mon ventre. Mes doigts glissent dans ses cheveux fins. Il redresse la tête ébouriffée. Il est tellement incroyable. Sa beauté me déstabilise. Ce garçon qui fait tomber toutes les filles du collège et qui est sans doute le sujet principal des séances de masturbation de pas mal de garçons est là, avec moi, son visage à quelques centimètre tout juste de mon pénis. Je me sens flatté mais ça me ramène à la platitude de mon corps à tous les sens du terme. Patrick soulève mes genoux jusque sur ses épaules et plonge son visage vers mon sexe. Le premier contact de sa langue me fait pousser un petit cri un peu trop aigu à mon gout mais je n’en suis plus à essayer de jouer au gars viril. Ma nudité et le plaisir que me procure Patrick indiquent que je suis un garçon qui aime les garçons.


Patrick glisse mon pénis dans la douceur de sa bouche et mon gland est accueillit par sa langue un peu maladroite. Patrick serre presque trop fort mes couilles mais je suis presque inconscient tant le plaisir me domine, Je soupire bruyamment puis cri doucement chaque fois que Patrick enfonce mon pénis dans sa bouche. Chaque poussée, chaque frottement de ses lèvres, chaque contact de sa langue me renverse. Je suis  
Prêt à éjaculer et après un ultime mouvement de reins, je repousse le visage de Patrick; celui-ci ne cède pas et resserre encore ses lèvres sur ma queue brulante. Mon sperme gicle violemment dans la bouche de Patrick. Sa langue doit être inondée et je l’entend avaler bruyamment mon sperme chaud tendis que posé sur mes talons, je soulève mes fesses.

 

a suivre


Publié dans : Divers - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Rechercher

Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés