recit gay de julien
fait comme lui envoi moi ton recit gay
-Tu dors ?
Le soufflé de Patrick sur mon cou, sa voix douce et Claire dans mes oreilles.
A nouveau : «tu dors?» et un baiser délicat sur ma nuque, Je me redresse sur mes avants bras. Tout autour de moi, ma chambre et son…rangement habituel.
Je regarde Patrick, je ne comprends pas ce que je fais là.
-T’es drôlement agité toi quand tu dors, me sourit Patrick. Tu devais rêver.
Je réalise qu’il dit vrai. Toute cette histoire avec Patrick et Valentin n’était qu’un rêve. Je me sens mal d’avoir trompé Patrick, même en rêve. Je me souviens maintenant. Valentin est bel et
bien parti et nous avons échangé une poignée de mains; froide mais sincère.
Patrick caresse mes cheveux, et je pose ma tête sur ses cuisses. Il est si délicat, si attentionné. Il me regarde avec ses grands yeux noirs et j’en suis ému aux larmes.
-Tu veux que je t’aide à ranger ta chambre propose soudain Patrick.
-Quelle idée. Ce que je veux c’est toi, dis-je un peu gêné par le ton autoritaire de ma voix.
Patrick ce penche sur moi et embrasse ma joue. Je m’agenouille sur le lit et plonge mes yeux dans les siens. J’avance mon visage et Patrick franchit les quelques centimètres restants pour poser
sa bouche sur la mienne. Sa langue ouvre mes lèvres, franchit le barrage de mes dents pour venir caresser ma langue. Mes doigts s’agitent sur son corps et je lui enlève son tee-shirt. Son torse
menu et blanc attire mes caresses et mes baisers. Ma langue se perd dans son nombril et sur ses abdominaux. Je l’allonge sur le lit et déboucle sa ceinture. Je découvre un boxer blanc et
noir qui parait si tendu. J’enlève les chaussettes de Patrick puis fait glisser son pantalon sur ses jambes fines. Il est en boxer comme moi. Je me couche sur lui. Patrick fait bouger son bassin
et presse sa queue sur mon entrejambes.
Il descend mon boxer sur mes fesses et je m’en débarrasse en le jetant au bas de mon lit. A mon tour, j’enlève le boxer de Patrick et j’admire sa magnifique queue dressée. Elle est
parfaitement droite, un vrai javelot .
Je plonge gourmand entre les cuisses de Patrick et décalotte son gland avec ma bouche. La peau de son prépuce est douce sur mes lèvres. J’engouffre sa bite dans ma bouche et son gland plonge et
plonge encore dans ma bouche affamée. Patrick gémit bruyamment et je me sens flatté de lui procurer tant de plaisir.
Il fait demi tour dans le lit et vient se placer le nez sur ma queue dressée.
-Oui suce moi aussi, dis-je dans un souffle impudique.
Ma bite disparait dans la bouche de Patrick et nous adoptons le même rythme. Je ne sais plus si je dois lui donner du plaisir ou en recevoir. Je suis presque inconscient de plaisir.
-Je suis prêt, me murmure patrick. Je crois que je suis prêt. Je voudrais que tu me dépucele Julien. Je veux t’offrir mes fesses à toi. Je veux que tu sois le premier.
J’ai tout à coup des bouffées de chaleur et je panique un peu.
-J’ai peur de te faire mal Patrick.
-J’ai peur aussi mais je t’aime et je veux te faire se cadeau.
-Ok, dis-je abandonnant sa bite à regret.
-Je me mets comment ? demande Patrick.
-Je sais pas trop. Sur le dos si tu veux.
Je m’éclipse rapidement et reviens de la salle de bain avec de la crème hydratante.
-J’espère que ça ira, dis-je montrant le tube à Patrick.
Je m’allonge sur lui et donne des coup de bassin tout en embrassant Patrick. Mon gland vient plusieurs fois au contact de l’anus de Patrick.
-Oh Julien, prend moi. Enfonce ta jolie queue dans mes fesses.
C’est mot crus m’excite et j’étale de la crème sur l’anus de Patrick.
J’y glisse un doigt timide. Je ne rencontre presque pas de résistance. Le deuxième est plus difficile et je sens Patrick qui se crispe.
-Je suis désolé Patrick, dis-je sincère, prêt à arrêter.
-Non, vas-y. Je veux ta queue maintenant.
Je place mon gland sur lequel j’ai mis de la crème aussi face à l’anus de Patrick. Je l’enfonce délicatement, un centimètre par centimètre. Patrick gémit, se cambre et finit lui-même de faire
pénétrer ma queue dans son anus. C’est chaud, humide et doux. Cette nouvelle sensation m’excite. Les pieds nus de Patrick son sur mes épaules. Je commence un timide va et vient, appuyé sur mes
avant bras, Patrick se branle au rythme de mes pénétrations. On gémit lui et moi et dans le silence de ma chambre, nos deux voix se mèlent. La langue de Patrick vient à la rencontre de la mienne.
Avant de la glisser dans ma bouche, il chuchote :
-Je t’aime tellement Julien.
-Je t’aime aussi Patrick. Comment j’ai fait pour vivre sans toi si longtemps ?
Il me sourit et me dit : «continue plus fort Julien»
Je lui donne de grand coup de reins à présent. Je pénètre Patrick avec tellement de bonheur et de plaisir que mon sperme ne tarde pas à monter.
-Je vais jouir Patrick, je vais jouir, dis-je un peu paniqué.
-Oui, vas-y, gicle sur mon ventre Julien, j’en ai envie; Patrick et d’une beauté sans pareil.
Je retire à regret mon pénis de l’anus de Patrick et aussitôt, mon sperme gicle sur le ventre et le torse de Patrick. Les jets sont longs et nombreux et je suis plutôt fier de ma performance. La
queue de Patrick est magnifiquement dressée devant moi. Patrick trempe son index dans mon sperme qui le macule et me fait lécher le bout de son doigt puis recommence et cette fois, mon sperme
disparait sur sa langue. En quelques secondes, le ventre de Patrick est propre tendis que dans nos bouches, le goût de mon sperme parfume nos papilles.
J’attrape la queue raide de Patrick et la glisse dans ma bouche. Patrick pose sa main sur ma tête et accompagne ma cadence. Sa queue rentre presque entière dans ma bouche mais plusieurs fois,
elle entre un peu trop loin m’obligeant à la sortir quelques secondes. Patrick gémit et je devine que son sperme monte dans sa bite.
-Je vais gicler, prévient-il.
-Oui Patrick, vas-y, gicle dans ma bouche, je veux ton sperme, je veux ton sperme.
Je suis en transe. J’ai perdu mon contrôle depuis plusieurs minutes et je réalise que ce n’est pas un rêve quand le sperme de Patrick vient inonder ma bouche.
Aussitôt, Patrick m’attire vers lui et m’embrasse à pleine bouche partageant son sperme avec moi.
Je ne sais pas combien de temps on est resté là, allongés l’un sur l’autre, peau contre peau, sexe contre sexe, nos doigts et nos cheveux mélangés. Ce que je sais c’est que Patrick est le garçon
que j’attendais. Ce que je sais, c’est que je l’aime comme un fou, ce que je sais, c’est que l’amour que je lis dans ses yeux et le plus pur, le plus beau, le plus troublant et que jamais je ne
pourrais vivre sans son souffle sur mes cils
fin
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