Par thierrydeparis
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Deux heures du matin. Je tourne et retourne dans mon lit. Impossible de fermer  l’œil.
Je pense à ce que j’ai fait avec Valentin cet après midi. Je me revois tout nu, mon sexe dans sa main, et moi branlant sa queue avec délice. Je n’arrive pas à croire que j’ai fait ça, moi le petit puceau de service.
Ma main glisse dans mon caleçon. Mon pénis est chaud et doux. Je me branlerais bien mais j’ai envie de faire pipi. Je me lance dans la pénombre et traverse la maison. Une fois ma visite aux toilettes faîte, je m’arrête devant la chambre de mon frère. La porte et entrouverte. J’entre en silence. Je m’approche de son lit, et distingue son visage endormi. Il est vraiment beau mon frère quand il dort. Comme d’habitude, il a viré sa couette. Je regarde tout son corps alangui. Ses longues cuisses fines, ses pieds nus, son ventre plat et sa poitrine qui se gonfle au rythme de sa respiration. J’ai soudain dans mon caleçon ma queue qui se réveille.

 Est-ce la vue de mon frère à demi nu qui me fait cet effet ?
Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais j’ai envie de voir son sexe. Je ne le vois plus depuis très longtemps.  
J’approche une main tremblante et pose mes doigts sur le bord de son boxer, sur sa cuisse chaude. Il ne bouge pas. Son boxer n’est pas collé à sa peau et j’imagine que si j’avance mes doigts, je peux rencontrer ses couilles. Les couilles de mon frère ! Mais qu’est ce que je fabrique à vouloir lui toucher les couilles ?
Je regarde son visage et surtout ses yeux clos. Il a l’air de dormir comme un bébé.
J’avance mes doigts qui entrent doucement dans son boxer. Il y fait chaud et ma queue prend l’ascenseur à l’étage de mon nombril. J’ai jamais été attiré pas mon frère et voila que là, il me fait bander et je suis à deux centimètres de ses couilles chaudes. Valentin m’a lancé un sort.

J’arrête de respirer et avance ma main dans le boxer de Jérémie. J’effleure ses couilles et je glisse dessus jusqu'à les mettre dans ma main. Elles sont tellement douces, Jérémie ne bouge toujours pas. Je continue mon ascension dans son boxer direction sa queue. Je la découvre endormie. Mon souffle et court et je ne suis pas conscient du risque que je prends là. Si Jérémie se réveille, c’est la catastrophe. Je ferme ma main gauche sur sa bite, la droite sur la mienne. Ma queue est raide et je me branle doucement puis vigoureusement en alternant avec des caresses sur mes couilles pleines. Je descends mon caleçon sur mes chevilles et je regarde mes fesses dans le miroir qui est sur le mur. Je me les caresse avant de revenir sur ma bite qui demande poliment un petit massage spécial.
J’ai envie de branler Jérémie mais j’hésite. J’ai peur qu’il se réveille. Je me branle plus fort et pour la première fois de ma vie sexuelle, mes doigts s’aventurent derrière mes couilles imberbes, au creux de mes fesses. Je découvre cette caresse nouvelle. Je suis sur que Valentin y glissera les doigts ou autre chose.  
L’envie est trop forte.  Je quitte le bas du boxer de Jérémie pour m’attaquer au haut. Je tire doucement sur l’élastique et avance prudemment mes doigts. Ils rentrent en contact avec son gland humide et à présent décalotté. Je fais glisser sa bite de plus en plus raide au creux de ma main. Je la tiens bien sans la serrer pour ne pas réveiller mon frère.
J’entame un timide et léger va et vient le long de la bite de Jérémie tout en me branlant sans grande délicatesse. Je caresse aussi les couilles fraternelles et mon frère dort toujours comme un bébé. Il a juste entrouvert la bouche un instant, instant où mon cœur a arrêté de battre. Ma branlette sur son sexe et sur le mien s’accélère avec prudence. J’aimerais bien voir sa bite en plus de la tripoter mais la sortir est vraiment trop risqué. Je dois me contenter d’une branlette aveugle mais tellement intense. Une idée me passe par la tête :

J’ai envie de mettre sa bite dans ma bouche. La lécher et la faire coulisser entre mes lèvres. J’ai jamais essayé cet exercice et en tant que bonne élève, je veux me pratiquer dans le suçage de queue. J’approche mon visage de l’entrejambe me Jérémie mais soudain, il bouge, il gémit doucement, s’étire et glisse sa main dans son boxer. J’ai juste le temps de retirer la mienne et de plonger parterre, allongé le long du lit. Je reste immobile et silencieux écoutant les moindres mouvements de mon frère. Peu à peu, j’entends des mouvements de son corps. Des mouvements secs et réguliers. Ma parole, Jérémie est réveillé trente centimètres plus haut que moi et se branle. A présent, je l’entends gémir et je parviens même à entendre le frottement de sa main sur sa bite. Je suis immobile ou disons plutôt paralyser. S’il se lève pour attraper des mouchoirs ou un tee-shirt qui traine, il va me marcher dessus. Dans la pénombre je me maudis d’avoir eu cette idée folle. Comment imaginer que Jérémie n’allait pas se réveiller ?
J’entends la cadence de ses mouvements accélérer. Il a l’air de s’éclater mon petit frère.
Tout à coup, je sursaute. Un liquide chaud vient de zébrer ma poitrine puis ma figure, puis mon coup. Jérémie vient d’éjaculer sur moi. Son sperme brulant coule le long de ma joue et au creux de mon cou. Je ne bouge pas, pétrifier. Je reste là trempé de son sperme, mué, invisible

Impossible de savoir combien de temps je suis resté ainsi. J’ai juste attendu que Jérémie se rendorme et quand sa respiration m’a rassuré, je me suis levé rapidement et j’ai rejoint ma chambre. Dans le miroir derrière ma porte je me regarde, le visage et le buste maculé de sperme. Le sperme de mon frère brille dans la pénombre. J’attrape une chaussette qui traine sur mon bureau et essuie mon torse et mon cou. Pendant mon petit nettoyage, une goutte de sperme vient se nicher au coin de ma bouche. Je suis tenter de la faire disparaitre d’un coup de langue mais je n’ose pas. Je l’essuie avec ma chaussette puis, me glisse dans mon lit. Je suis tremblant de peur en réalisant ce que je viens de faire et je dois dire qu’une bonne branlette m’a fait trouver le sommeil. 


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