Par thierrydeparis
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recit gay de julien

Mon cellulaire sonne et me tire de mon lit. Je décroche en baillant espérant que c’est valentin, et c’est valentin. 10h45 du matin.
-Salut julien, j’arrive pas à me rendormir alors je t’appelle.
«C’est gentil» dis-je sincère.  
-J’arrête pas de penser à ce qu’on a fait toi et moi, c’était trop bon.
«J’étais un peu gêné au début»
-Moi aussi… tu l’avais déjà fait ? demande Valentin.
«J’avoue que non. Et toi ?»
-Non plus…juste une branlette avec mon cousin l’été dernier mais chacun sa bite, s’amuse Valentin comme s’il s’agissait d’une partie de baby foot.
«Pourtant t’avais l’air d’avoir de l’expérience…» merde, j’aurais pas pu la fermer ma gueule ? Il va penser que je le traite de menteur.
-je prends ça pour un compliment, répond Valentin puis rajoute : dis, tu veux pas venir chez moi, je suis seul.
«J’arrive après ma douche, ok ?»
 
10 minutes plus tard, je me présente à la porte de Valentin. Il vient m’ouvrir tout sourire.
J’entre rapidement et enlève mes chaussures pleines de neige. Au moment où je me redresse, valentin me plaque contre le mur de l’entrée et presque violemment, m’embrasse sur la bouche. Je sens sa langue sur mes lèvres que j’hésite à ouvrir puis, cédant à son insistance, j’entrouvre la bouche et laisse la langue de Valentin pénétrer. Je sens son alène avec un léger gout de dentifrice. Sa langue est délicate et curieuse à la fois. Je me mets à bander dans mon jeans et un peu automatiquement, j’avance le bassin en avant espérant que le bassin de valentin rentre en collision mortelle avec mon sexe.
-Viens dans ma chambre, petit pd, sourit Valentin.
« Pd toi-même » dis-je en essayant de garder mon sérieux.  
 
La chambre de Valentin ressemble à la mienne, et à toutes les chambres d’ados. J’avoue que je n’ai pas le temps d’apprécier la déco puisque je suis en vol plané en direction de son lit. Valentin vient s’écraser sur moi et je sens que lui aussi bande. Il frotte son sexe sur le mien et j’ai du mal à garder mon contrôle. Ses doigts déboutonnent ma braguette pendant que ma langue joue avec la sienne. Je ne pense pas être très doué dans les baisser mes je pratique intensément depuis deux jours. Sorte de stage intensif dans la bouche de valentin.
Je sens tout à coup mon pénis s’échapper de mon boxer. Il est chaud et raide. Valentin le tient fermement. Instinctivement j’avance mon bassin pressant ma queue contre Valentin.
A mon tour je le déshabille mais comme j’ai du mal, je le fais basculer sur le côté. Il m’aide à enlever son tee-shirt puis je baisse son pantalon caressant l’intérieur de ses cuisses au passage. Son jeans descend sur ses genoux, ses tibias, ses chevilles et ses pieds déjà nus. Il ne reste que son boxer qui fait rempart à mes yeux. A coup de bâton de dynamite, je fais sauter le rempart et redécouvre à nouveau valentin tout nu. Il semble gêné d’être nu sans que je le sois aussi. Je le laisse me déshabiller hypnotisé par sa queue dressée.

Valentin me caresse de partout et il embrasse mon ventre. Sentir ses cheveux sur ma poitrine me fait rêver à ma queue dans sa bouche mais ne dis rien et me contente de gémir plus ou moins discrètement.
-Julien… tu veux qu’on se suce ?
«J’adorerais mais…je ne sais pas vraiment comment faire.»
En réalité je suis fou d’envie et mort de peu. Voir ma queue disparaitre dans la bouche de Valentin me gêne beaucoup. Je ne voudrais pas que ma bite le dégoute mais avoir moi aussi sa queue dans la bouche, ça me terrifie. Je me suis souvent branlé en imaginant un garçon me sucer mais mettre une queue dans ma bouche, même si c’est celle de Valentin, j’ai peur de ne pas aimer ça, puis c’est un peu humiliant sans doute d’être vu en train de sucer la bite d’un mec. Valentin ne me laisse pas hésiter plus longtemps et me murmure :
-S’il te plait, Julien suce ma queue, je vais te guider selon mon plaisir.

L’heure de vérité approche. Je n’ai pas le choix et ne veux pas vraiment l’avoir. Je prends sa longue queue rigide et brulante et approche mon visage. Je m’approche et approche encore et une fois tout prés, les yeux à vingt centimètres de son gland, je me dis que je pourrais jamais mettre tout ça dans ma bouche. Je prends la bite de Valentin dans la main. Elle est longue et douce. J’avance ma bouche et mes lèvres rentrent en contact avec son gland rose décalotté. A première vue, le goût est agréable. J’embrasse tout son gland et donne de timides coups de langue prés de l’extrémité de sa jolie bite. Peu à peu, je me rassure  et mes coups de langues son plus gourmand, A présent, je  laisse entrer tout le gland de Valentin dans ma bouche. C’est déjà gros dans ma bouche. Je joue avec ses couilles, que je ne vois pas, les yeux sur son pubis, mais que je sens rouler sous mes doigts inexperts. J’enfonce alors encore plus la queue de Valentin et tente de la mettre toute entière dans ma bouche. Il me caresse les cheveux et je sens qu’il me regarde faire mes je n’ose pas croiser son regard, sa bite dans ma bouche, mes lèvres arrondies sur le périmètre rose de sa bite.

Valentin gémit et active son bassin qui enfonce encore plus ma bite dans sa bouche. Je trippote ses couilles qui se serrent fort sous son sexe raide.
-Julien, serre mon gland avec tes lèvres, demande soudain Valentin. Je vais te montrer.
Valentin sort sa bite da ma bouche et me fais basculer en arrière. Il m’écarte doucement les cuisses et se met à quatre pattes le visage au dessus de ma queue dressé. Je bande à fond. Valentin saisit ma bite et je perçois une hésitation au moment de la mettre dans sa bouche. Valentin pose ses lèvres sur l’extrémité et gobe véritablement ma queue. Je ne peux retenir un cri plus aigu que je ne l’aurais voulu.
-tu cris comme une fille, se moque Valentin, mon gland posé sur ses lèvres.
«Je m’attendais pas que tu avale ma queue si vite.
-C’est pas ma faute si elle est si douce et bonne dans ma bouche.

Je suis gêné par ses mots mais  je le pardonne quand il décide de remettre ma bite dans sa bouche. Soudain, il serre ses lèvres sur mon gland. Je tiens sa tête et Valentin perçoit  mon plaisir. Il avale ma bite toute entière et je le regarde ma queue coulissant si parfaitement dans sa bouche. Il arrête soudain et me dis :
-Tu vois, essaye de serrer comme sa sur ma bite.
Au moment ou je m’apprête à me coucher sur lui, Valentin se met à quatre pates sur moi, ses genoux sous mes bras, ses mains de chaque côté de ma tête et son gland sur ma bouche. Je n’ai plus qu’à ouvrir la bouche pour que sa longue queue s’y enfonce; c’est ce qui se passe et je sens la bite de Valentin en prendre possession.

a suivre

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