Par thierrydeparis
Communauté : Gay infos
Je me rhabille en vitesse récupérant mes vêtements éparpillés sur le sol. Valentin attrape un tee-shirt dans un tiroir et saute devant son ordi déjà allumé
Je ne trouve pas mes chaussettes sans doute sous le lit, et me jette sur une chaise que Valentin fait rouler vers moi.
On tape à la porte et une tête apparaît dans l’encadrement de la porte.
-Salut brother, dit le garçon …oh…salut toi aussi, rajoute t-il en m’apercevant.
Moi je reste bouche ouverte devant le sosie de Valentin.
Celui-ci intervient en faisant de rapides présentations :
«Julien, Maxime, Maxime, Julien»

Je suis surpris par le sang froid de valentin qui comme moi, doit encore bander dans son boxer.
-Je vais manger un truc, dit Maxime, vous voulez aussi quelques choses ?
« merci non » répond Valentin pour nous deux et Maxime disparait comme il était venu.
Valentin se tourne vers moi toujours mué et se moque de mon air ahuri.  
« Au cas où tu l’aurais pas remarqué, Maxime est mon frère jumeau.»
-Putain, j’ai flippé un moment, dis-je.
«Genre t’es tombé dans une secte avec des clones…» se moque encore valentin.
J’ai tellement envi de l’embrasser, je suis trop attiré par lui. Je lui tends mes lèvres et il les embrasse avant de venir jouer dans ma bouche avec sa langue. Je sens son souffle sur ma joue et ses doigts dans mes cheveux.
«Tu me fais craquer petit Julien» murmure Valentin ses lèvres encore sur les miennes.
Là, je suis supposé dire un truc mais ne trouve rien. Je crois que je suis en train de tomber amoureux.
 
Deux heures plus tard, je n’ai pas envie de le quitter mais je sais que mes parents sont rentrés et on doit aller magasiner des baskets pour moi. Valentin me met gentiment dehors après m’avoir prêté une paire de chaussettes.
J’embrasse Valentin dix fois, le dos collé à la porte de sa chambre. Ses doigts courent sur mon dos.
-Faut que j’y aille, dis-je sans fin.
«Alors, casse toi p’tit pd.» murmure Valentin.
 
Il ne me raccompagne pas jusqu'à la porte et dans le corridor je croise Maxime qui me regarde avec un drôle d’air.
-Ah, t’as retrouvé tes chaussettes je vois, me dit-il avec un clin d’œil.
Mon cœur s’emballe. Il sait, c’est sûr.
Je file et traverse la rue en courant tout en laissant un texto sur le cellulaire de Valentin :
     -Ton frere sé-
Dans la minute qui suit, Valentin me rappele.
-Comment veux-tu qu’il sache ? demande t-il
Je lui raconte la rencontre de Maxime dans le corridor et sa reflexion. Valentin trouve ça plutôt drôle et rajoute que Maxime a dû remarquer mes jolis petits pieds.
On se quitte et je suis à demi rassuré.
 
Ma mère m’attend dans son bureau. Elle se lève et vient embrasser mon front.
-Maaaan !  
«Oui je sais que tu n’aime pas ça…on y va ?»
-Je prend une douche et j’arrive.
« A cette heure ?» s’étonne ma mère.
Je peux quand même pas lui dire que je sens le sperme

On roule en direction du centre commercial. Il y a un magasin où j’ai vu les dernières Adidas. 250 $, mais mes parents on les moyens. Ma mère est décoratrice dans une grande entreprise de Montréal et mon père responsable d’un service financier. Je suis sans doute ce qu’on appelle un fils de bourges.
Dans le magasin de chaussures, il y a un groupe de garçon qui viennent avec leur coach acheter des chaussures de soccer. L’un d’eux est particulièrement beau, un peu à l’écart des autres qui chahutent. Le garçon m’adresse un sourire désarmant mais je ne sais le décoder. Tout ce que je sais c’est qu’il est vraiment mignon et que…
-Alors Julien, tu te décide, s’impatiente ma mère. Les noires ou les blanches.
Je me regarde dans le miroir avec une blanche sur le pied droit et une noire au pied gauche. Impossible de me décider
-Tu devrais prendre les noires, intervient le garçon. Elles te vont mieux je trouve !
« Merci de ton conseil. dis-je, en adressant le plus beau des sourires (merci à mon dentiste) au garçon toujours assis en train de lui aussi essayer ses chaussures.
Il soulève ses fesses et me tend la main. Patrick, se présente t-il.
-Je serre sa main que je trouve douce et solide à la fois.
« je suis Julien…et je crois que je vais prendre les noires !»
-Bon choix Julien, bon choix, s’amuse Patrick tout en réalisant qu’il me tient toujours la main.
-Patrick, arrête de draguer lance un garçon du fond du magasin.
«C’est un connard» me dit Patrick sans même se retourner vers le gars.
-Content de te connaitre, dis-je en guise de conclusion. A une prochaine fois.
Patrick ne répond pas et me sourit comme un enfant.
 
Deux heures plus tard et 250 $ plus loin, on rentre à la maison. En stationnant l’auto, je jette un coup d’œil discret vers la fenêtre de Valentin. Hélas, personne à l’horizon.  
La soirée se passe dans le calme malgré le drame vécu par mon frère qui a un bouton sur le front. Mon esprit est troublé par Valentin et Patrick et Jérémie qui se trouve face à moi. Je le revois, sa jolie bite au creux de ma main et prie pour ne pas qu’il se souvienne de ma visite nocturne. Comment ai-je pu branler mon frère. Je suis trop bizarre.
 
Au chaud dans mon lit, ma main glissée dans le pantalon de mon pyjama, je suis au téléphone avec Valentin. Il m’apprend qu’il joue au soccer et pratique la guitare.  Il me parle de lui, de sa famille de ses rêves, de son frère, de ses plaisirs et je tombe amoureux à chacune de ses syllabes.  
Il m’invite à allumer la cam de mon ordi et je le vois torse nu sur son lit, son téléphone posé sur son épaule menu. Valentin est tellement craquant.
Cela fait prés de deux heures qu’on parle quand il me demande soudain :
-T’es gay depuis quand ?

«Je ne suis pas sûr de savoir exactement depuis quand, je crois…vers douze ans, j’ai réalisé que j’étais plus intéressé pas les garçons que les filles mais je suis pas certain d’être vraiment gay...et toi, depuis quand ? »
-Je ne suis pas gay Julien, tu es le premier garçon. Je suis sorti juste avec des filles.
Tu es en quelques sortes un accident de lit…
Je ne sais pas comment je dois prendre ça mais j’avoue que je suis un peu déçu de savoir que Valentin me considère comme un accident.
On se quitte vers deux heures du matin quand Valentin se met à bailler à répétition.
Il raccroche le premier et je reste le téléphone sur l’oreille pendant quelques secondes réalisant que je tiens plus à Valentin que lui à moi.
Quand Valentin passe la porte, il dépose un bisou sur la joue de son frère avant de prendre la direction du salon. Je suis surpris et intrigué par ce geste. Ce geste d’affection a l’air naturel entre eux et je me dis que c’est moi qui me fais des idées.

Maxime n’a pas lésiné sur la taille de la pizza. Il a choisi une jumbo, large comme une table de salon. On s’installe dans le canapé de cuir et Maxime commence à zapper sur le câble. On tombe sur un film qui s’appelle élève libre.  (pour ceux qui ne connaisse pas, honte à vous !) La pizza disparait à vue d’œil et tous les trois, on s’enfonce tout autant dans le confortable canapé.
Je sens la cuisse de Valentin contre la mienne. Il tremblote nerveusement. Je le regarde discrètement. Il est si beau il a l’air si sûr de lui pour quelqu’un de notre âge. Dans ses yeux, les images colorées de la télé se reflète. Dans la pénombre, je souri au ange. Je suis si bien avec Valentin. Nous sommes tous les trois silencieux, absorbés par le film quand je sens la main de valentin se poser sur ma cuisse. Je sursaute mais suis rassuré de voir que Maxime n’a rien remarqué. Valentin caresse ma cuisse et remonte tout prés de mon entrejambe. Cette fois, c’est lui qui oubli Maxime qui est à quelques centimètres de nous.

Valentin pose maintenant sa main sur mon sexe qui me trahit en se dressant héroïquement. Je tourne la tête vers Valentin pour lui faire les gros yeux mais lui me regarde tout sourire. Je repousse sa main sur mon genou mais il revient à la charge sur mon sexe à présent compressé dans mon jeans. Je n’en peux plus d’excitation esclave de la main gauche de Valentin. Celui-ci repli ses jambes sur le canapé en posant son menton sur ses genoux. Il aurait l’air d’un petit garçon s’il n’était pas en train de jouer avec les boutons de ma braguette. Je ferme les yeux oubliant le film quand je sens les doigts de Valentin glisser dans mon boxer. Sa main est chaude et délicate. Valentin ne me regarde pas, les yeux fixé sur la télé et je le laisse explorer le contenu de mon boxer.

Je regarde régulièrement maxime qui semble ne rien remarquer et je prie pour que Valentin ne veuille pas aller plus loin. C’est fou comme certaines prières ne parviennent pas à leur destinataire. Valentin commence à me masturber; enfin plus de longues et insistantes caresses sur toute la longueur de ma queue. Je le regarde et un léger sourire apparait sur son visage d’ange. Je veux qu’il arrête et je veux qu’il continue. Je veux qu’il lâche ma bite et je veux qu’il la serre fort entre ses doigts. Je me demande si lui aussi se branle et je tente d’apercevoir sa main droite, derrière ses genoux paravent. Dans la pénombre, je remarque surpris que Maxime et Valentin se tiennent par la main.

Je n’ai pas le temps de me poser plus de question car Valentin commence réellement un va et vient sur ma queue. Pas les vagues caresses de tout à l’heure mais une vraie branlette. Je m’efforce d’être silencieux mais Valentin ne m’épargne aucun plaisir. Il masse mes couilles puis retourne sur mon pénis raide. Je sens mon plaisir monter et je redoute les secondes qui suivent. Soudain, le plaisir et trop fort. Mon sperme gicle contenu par la main de Valentin. Comment a-t-il osé me branler là, en présence de son frère. Me voilà bien confortable, du sperme plein le pubis et le bas ventre. Valentin me regarde amusé et lâche mon sexe. Sa main humide luit dans la pénombre. Il l’approche de mon visage et la pose sur ma bouche. Je sens mon sperme sur mes lèvres et je comprends que Valentin veut que je nettoie ses doigts. Je les lèche avec application et au bout de deux minutes, mon sperme n’est plus sur mon pubis mais glisse sucré dans ma gorge.

A suivre


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