Par thierrydeparis
Communauté : Gay infos

recit gay de julien

 

L’histoire se déroule dans un pensionnat de garçons. Cette école avait pour habitude d’inculquer aux jeunes hommes tout ce qu’un père de famille doit être. C’est, pour cette raison, qu’en plus des cours traditionnels de français ou autre, le directeur tenait grandement au sport très physique. Football, aviron ou tennis se succédaient. Des cours de musculation ponctuaient régulièrement l’entraînement. Et, c’est dans toute cette atmosphère humide, remplie de testostérone, que des ébats entre garçons avaient régulièrement lieu dans les vestiaires et dans les chambrées.  
 
C’était le début d’année. On présenta aux dernières années le nouveau professeur de sport. La différence d’âge était bien faible entre M. Timoïc, 25 ans, et ses jeunes élèves, qui eux ne devaient avoir à peine 20 ans. D’habitude, c’était un prof généralement bedonnant qui donnait des cours, mais, cette année, tout avait changé… Ce qui n’échappa pas aux élèves. Dès lors, ils soupçonnèrent l’ambiguïté de la sexualité de M. Tim.
 
Mais, avant de s’occuper de M. Tim, ils devaient tous fêter la rentrée dans les douches, sachant que leur premier cours était un de sport. Aujourd’hui, c’est course à pied. Chacun se rendit dans les vestiaires pour se changer. La tenue était la même pour tout le monde : un short et un tee-shirt. Pendant les 2 heures de course, ils en profitèrent pour observer le nouveau prof. Mais, son heure n’était pas venue. 11h30, le cours est interrompues. Il est l’heure de se changer…
Dans les vestiaires, tous les jeunes hommes retirèrent le haut. Certains, dont l’effort avait été intense, prônaient déjà une excitation dans leur short. Les jambes frottant l’une contre l’autre les avaient rendues vulnérables. Les garçons étaient tous dans la douche. L’attitude de certains laissait présager de la suite. Ils se savonnaient en se pinçant les tétons, se caressaient le torse et s’attardaient sur leur sexe. Personne n’osait partir à l’aventure, jusqu’à cet instant. Marc se dirigea alors vers Pierre et commença à l’embrasser. Les deux langues s’entrelaçaient, les mains se frottaient dans les cheveux. C’est Pierre qui prit le premier l’initiative. Il retira sa langue de la bouche de Marc et commença à lui biser son cou, ses épaules, son torse. Il mordilla tendrement les tétons en état d’excitation de Marc. Pierre ne cessait d’embrasser, après, les pectoraux et les abdominaux de Marc, recouverts d’une légère toison de jeune homme. Pierre aimait bien le goût salé de la peau encore suave.  


Marc gémissait devant ces préliminaires si agréables et si doux. Sa respiration était devant haletante, quand soudain, Pierre arriva à l’endroit tant espéré. De sa bouche, il happa le gland de Marc et le suça en tapotant sa langue sur le fruit rose. Puis, il enfila le sexe en entier dans sa bouche. Les va-et-vient étaient tantôt lents, tantôt rapide. Les mains de Pierre qui caressaient les bourses de Marc, glissèrent lentement vers ses fesses. Il les massa tout en continuant à sucer la queue tendue. De son index, Pierre pénétra lentement l’anus de Marc, ce qui le fît sursauter. Il émis un  petit cri de douleur. Mais, celui-ci se transforma en son délicat de plaisir au fur et à mesure que Pierre enfonçait son doigt. Et, quelques secondes plus tard, Marc n’en pouvait plus. Il cracha sa semence dans la bouche de Pierre. Le liquide débordait des lèvres et coula lentement le long du visage et perlait au niveau du menton. Pierre retira alors son doigt de l’anus. Et, c’est à ce moment là que les deux compères se rendirent compte que tous les autres les avaient observés en se masturbant et qu’ainsi, une mare de sperme s’était formée autour du couple.

 

La semaine suivante, il était temps de tester M. Tim. Depuis plusieurs jours, les jeunes hommes s’entretenaient tous les soirs afin de monter un stratagème pour tester le prof de sport. Après mûres réflexions, le scénario était ficelé. Chacun avait un rôle bien déterminé. Il fallait que tout soit crédible. Nous étions alors à J-1.
Jour J. Cette journée là, le cours était le dernier dans l’emploi du temps. Les heures défilèrent et le complot se tramait. Aujourd’hui, c’était musculation.
Rien ne se passa pendant le cours. Tout viendrait après. Lorsque la sonnerie de fin de cours retentit, tout le monde se remémore ce qu’il a à faire en entrant dans les vestiaires. Seul un reste à l’extérieur afin de surveiller M. Tim qui, seul, rangeait des haltères et autres accessoires. Quand celui-ci eu fini, il se rendit dans le vestiaires des profs pour se changer. A ce moment là, celui qui le surveillait, Franck, coura dans le vestiaire afin de prévenir les reste de ses camarades. Franck ressorti pour jeter un œil par la serrure afin de pénétrer dans le vestiaire du prof à un moment donné. Celui-ci arriva. Franck, d’un geste rapide, ouvrit la porte en faisant semblant d’être épuisé. En face de lui, M. Tim, ne portait qu’un boxer…


Franck raconta alors l’histoire : En allant prendre leur douche, un camarde, Etienne, s’était écroulé par terre. Les autres l’avaient assis alors sur le banc et il est à peine conscient ». En entendant cela, le prof parti en trombe sans prendre le temps de se rhabiller. Il déboula en trombe dans le vestiaire des garçons et vit le groupe faisant semblant de prêter attention à Etienne.  
Il demanda à tous de ses reculer. Il s’avança vers Etienne ; réputé pour son entrejambe proéminente, même au repos ; qui feignait dormir. M. Tim décida de l’allonger sur le banc. Il pencha son oreille sur Etienne pour voir si il respirait.  En posant sa joue contre la bouche d’Etienne, M. Tim senti une pression au niveau de son sexe. C’était Etienne qui avait plaqué sa main contre le boxer du prof. En chuchotant, il lui dit : «  M. Tim, je vois que ma queue ne vous laisse pas indifférent. ». Il est vrai qu’en voyant le bas ventre d’Etienne, le prof se sentait déjà moins à l’aise dans son boxer…
Que faire ? S’en aller en courant, en laissant une rumeur circulée dans l’internat ? Ou bien rester et gérer les réactions des autres ? M. Tim connaissait l’âge des jeunes gens. Ils avaient tous la vingtaine et lui en avait à peine 25. La décision fut vite prise.  


Après les paroles d’Etienne, M. Tim tourna légèrement sa tête et retrouva ses lèvres face à la bouche d’Etienne. Soudainement, les deux hommes s’embrassèrent. C’était la stupeur autour d’eux. Chacun était atterré. Mais, il n’allait pas laissés passer l’occasion d’une partouze improvisée, avec le prof de sport.
Ce fut un grand moment de débauche. Les sexes tendus passaient de bouche en bouche, de cul en cul. Le sperme jouissait à droite, à gauche, au dessus, au dessous. Des râles puissants s’échappaient de cette masse humaine. Des groupes plus petits se formaient puis se déformaient. Les partenaires baisaient tantôt avec un, tantôt avec un autre. Petit à petit, les bruits se sont estompés, les gens partaient et laissaient sur le sol les traces blanches de leur acte bestial. Seul, restait M. Tim, allongé sur le sol, les boxer en bas des chevilles, le torse recouvert du fluide de ses élèves, les yeux grands ouverts et la queue encore raide, d’où s’échappait encore un filet de sperme.

 

a suivre


Publié dans : Divers - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Rechercher

Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés