recit gay de octu
Les vacances d’été arrivèrent enfin, mais j’en fus déçu. À moins de faire le premier pas et d’aller sonner chez Thomas, je ne pourrais plus l’épier en cachette. En plus, un ami à moi devait venir
passer une semaine dans ma maison et je devrais partager son lit. Je le surnommais Max qui est, vous devez le deviner, le diminutif de Maxime, et il était vraiment bien foutu. Malgré sa petite
taille, il avait un teint mat, et ses muscles saillaient sous sa poitrine. En temps normal, j’aurais été fou de joie à l’idée qu’il allait dormir avec moi, mais mes pensées étaient occupées sur
une autre personne. C’est songeur et mélancolique que je l'accueillais dans la semaine.
- Salut toi ! Me lança t-il, tout joyeux.
Ma réponse, quant à elle, fut bien plus triste. Après une matinée interminable de jeux vidéos, nous décidâmes, en début d’après-midi, de jouer au badminton. L’idée ne m’enchantait guère,
mais plus par politesse que par envie, j’acceptai. Je dois dire que mon adversaire n’était pas bien fort, mais je mettais beaucoup de puissance dans mes coups. Cela me faisait du bien, de libérer
tout mes douleurs et de les muer en colère. Je n’étais pas fâché contre Max, mais je tapai bien fort ! Assez concentré, je n’avais pas entendu la sonnerie de l’interphone, si bien que ma mère
vint me voir.
- Il y a un copain qui veut te voir, m’annonça t-elle.
Mon coeur, qui ne s’y était pas préparé, fit un bon. Le volant tomba à côté de moi sans même que j’y fasse attention. J’espérai plus que tout au monde que ce soit mon voisin. Mais après
tout, qui cela pouvait-il être d’autre ? Tous mes amis étaient partis. Quittant le jardin, je m’avançai vers le portail. Le mur de ma maison m’empêchait de l’apercevoir, mais je n’eus pas à y
aller. En effet, l’élu de mon coeur avait anticipé ma venue et était là, devant moi. Je ne savais pas quoi dire, tout mon être était pris de stupeur. Cet instant, je l’avais attendu avec tant
d’impatience, et voilà que je me retrouvais tétanisé. Qu’il était beau ! Sa jeunesse était masquée par un grand corps à la musculature impressionnante. Je déposais mes yeux sur sa chevelure,
châtain aux mèches blondes, puis sur son visage, à la mâchoire carrée. Comme une caresse, je descendais, observant chaque détail de son corps divin. Ses pectoraux formaient une bosse alléchante
sous son t-shirt et ma virilité jusque là au repos s’en fit fortement ressentir. Mon voisin portait un vieux short tout sale, mais qui laissait apparaître tout le bas de son corps. Je n’en
revenais pas tant ses jambes étaient belles. Dorées par le Soleil, elles étaient imberbes, mais si musclé ! Je trouvais leur courbe sensuelle et délicate. Si je m’y attendais ! Je fantasmais sur
ses jambes, partie du corps pourtant banale.
- Tu ne me présentes pas ? Demanda Max, gêné.
Son intervention interrompit mes pensées. Quel con, je venais de passer plusieurs secondes à reluquer l'Apollon qui se tenait devant moi.
- Euh, oui, répondis-je, embarrassé. Ben voilà mon voisin et voilà Max, un ami.
Je n’osai pas avouer mon ignorance en lui demandant quel était son nom, mais bien heureusement, Max fit le travail à ma place.
- Thomas, je m’appelle Thomas, fit mon voisin en prenant un air ridiculement sérieux.
J’éclatai de rire avec eux. Enfin ! Enfin, je pouvais mettre un nom sur ce doux visage. “Thomas, Thomas, Thomas…” Me répétais-je, inlassablement, dans ma tête.
- ça te dirait d’aller faire un tour dans le bois, Romain ? S’enquit Thomas.
Incrédule, j'acquiesçais. Comment pouvait-il connaitre mon prénom ? Il avait dû faire des recherches, le petit…
Quelques pas derrière Thomas, je fixai avec délectation ses petites fesses musclées et rebondies. À mes yeux, elles étaient magnifiques ! Mais comment aurait-il pu avoir des défauts ? Il proposa
un jeu quelque peu… immature : mettre des pétards dans des crottes de chien, mais j’acquiesçai tout de suite, de peur de le contrarier. Bien évidemment, c’est à moi qu’incomba la tache de mettre
l’explosif dans la chose puante. Mes deux amis éclatèrent de rire lorsque je reçu quelques projectiles. La matinée se passa ainsi, à faire divers bêtises inutiles à raconter, mais j’étais heureux
car il nous avait invité à venir chez lui le lendemain soir. Malheureusement, je devrai me passer de lui jusqu’à demain car il partait avec sa famille sur la côte dès midi. Dommage, j’aurais bien
aimé l’accompagner…
Son souffle régulier trahissait son sommeil. Sa petite chambre était masquée par la nuit qui recouvrait tous les murs, nous plongeant dans un clair obscur effrayant. Seule la lumière d’un
réverbère venait ajouter à la scène des ombres inquiétante. Mais moi, je n’avais pas peur. Rien que de penser à ce que j’allais faire, mon sexe décousait presque mon caleçon. Je me suis avancé
près de lui, à son chevet, et l’ai regardé longtemps. Sa peau dorée me faisait si envie ! Me plaçant à l’autre bout du lit, j’ai mis une main, puis deux sous sa couverture. Je sentais ses pieds
froids sous mes doigts. Lentement, je les ai remontées jusqu’aux chevilles, puis jusqu’aux mollets. Qu’ils étaient doux et musclés ! Je mourrai d’envie d’y poser les lèvres, mais chaque chose en
son temps. Mes mains passèrent derrière ses genoux, là où la peau est chaude. Il s’agita dans son sommeil, je devais sûrement le chatouiller. J’ai alors caressé ses cuisses, larges et puissantes.
Je pouvais sentir un petit duvet, esquisse de sa future pilosité. La courbe devint alors plus raide, je débutai l’ascension de ses fesses. Soulevant son caleçon, je les pris à pleines mains.
Elles étaient humides de transpiration, mais froides à certains endroits. Je n’en pouvais plus d’excitation, un doigt téméraire descendit dans la vallée, mais revint vite de son exploration car
le maître de la caverne menaçait de se réveiller. Comme s’il répondait à mes désirs, Thomas se retourna pour se mettre sur le dos.
Fuyant le bas de son corps, je venais caresser sa poitrine. Je touchai avec douceur ses pectoraux, et titillai ses téton. Avant de descendre plus bas encore, je me penchai en avant pour déposer un doux baiser sur ses lèvres entrouvertes. Continuant l’aventure, j’effleurai ses abdominaux finement dessinés. “Plus bas, plus bas” Pensais-je. Encore une nouvelle fois, je franchis la barrière qu’était son caleçon. Son buisson était doux comme la fourrure d’un petit animal. Je ne tardai pas à saisir son sexe, relativement petit, mais tout de même exquis. Enlevant ses couvertures, je pus l’admirer en entier. Le simple vêtement que je portai menaça de craquer lorsque je vis ma main sur son membre. Délicatement, je retirai ce qui masquait l’objet de mon désir pour laisser Thomas complètement nu. Son sexe ne tarda pas à prendre de la vigueur pour se dresser devant moi comme un index accusateur. Je ne pensais plus, obsédé par ce que j’allai faire. Peut-être était-ce mal ? Mais j’y réfléchirai une fois l’acte accompli. Même en érection, son prépuce cachait tout son gland, mais ce n’est pas ce qui m’a empêché de faire de lents mouvements de va et vient. Tout mon corps était parcouru de frissons d’excitation. Une goutte de sueur perlait sur mon front. Ma main descendit sur ses couilles, encore imberbes, et je les touchais avec précaution, comme si j’avais entre les mains une figurine de cristal d’une valeur inestimable. Ma bouche s’avança lentement de son sexe pour l’englober entièrement. Le goût était étrange, mais il venait de lui et c’était l’essentiel. Je continuai ainsi pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que je lève les yeux et le vis en train de me regarder.
Il s’était réveillé et me fixait avec attention. Heureux qu’il ne me jette pas, je repris mon travail. Son sexe était plus dur que jamais dans ma bouche. Mes main allaient et venaient elles aussi sur tout son corps. Tout d’abord sur sa poitrine ou sur ses bourses, puis derrière ses fesses et sur ses jambes. Je sentis son corps se crisper lorsqu’il éjacula dans ma bouche. J’avalai tout d’une traite, heureux de recueillir sa semence. Avec plaisir, je vis qu’il allait me me rendre la pareil, mais le réveil sonna pour me dire qu’il était tant de se réveiller.
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