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recit gay de julien

 

On tape à la porte de ma chambre. Vu l’heure tardive, sans doute ma mère qui vient vérifier si je ne me suis pas endormi avec la lumière allumée comme ça m’arrive souvent.
Ce n’est pas la tête de ma mère qui apparait dans le cadre de la porte mais celle de Jérémie.
-Tu dors pas ? demande t-il
«Comme tu vois…»
-je peux te parler ?
Jérémie est anormalement gêné. Il vient s’assoir sur mon lit,  
et pose son menton sur ses genoux en jouant nerveusement  
avec ses orteils.  


-Ce matin, je me suis senti…comment dire…
«Excité?» je connais trop bien mon frère pour connaitre la fin de la plupart des phrases qu’il prononce.
-C’est ça, excité, reprend t-il.
«Tu veux dire que, voir les mecs tout nu dans le vestiaire du stade, ça ta fait bander ? Moi aussi je bandais. Juste la vu de Patrick et de Valentin, c’est déjà très hot.
Jérémie rit.  
-Alors toi tu bandais et tu me l’as pas dit ?
«Non. J’allais pas faire une annonce au micro quand même.»
Je vois Jérémie frissonner, J’ouvre mon lit et Jérémie vient se glisser contre moi. Ses pieds sont glacés contre les miens. Il se tourne sur le côté dos à moi et viens me coller contre lui, mes genoux dans le creux des siens, ma poitrine sur son dos et mon sexe contre ses fesses.
C’est l’heure des confidences ? Je me pose. Quand nous étions plus jeunes, les confidences étaient fréquentes. Nous avons lui et moi vu nos corps changer et avons connu nos premières séances de plaisir solitaire, mais toujours chacun pour soit.  


La pudeur est passé par là depuis longtemps et à part quelques bisous au creux des lèvres, des caresses dans les cheveux, et se coller sur le divan devant un film d’horreur, nos contacts physiques étaient restreints. Ceci dit, beaucoup de gens, y compris les amis de Jérémie trouvent bizarres l’intimité que nous avons mais ni Jérémie ni moi  nous retenons pour ne pas choquer.
Je me sens bien, là, coller contre le corps inerte de mon frère. Environ un an nous sépare mais nous sommes parfois comme des jumeaux. J’hésite un moment puis me lance.
«Tu sais Jérémie, je crois que je suis amoureux»
-De qui, demande, Jérémie sans bouger.
«Je crois que je suis amoureux de…Patrick…et de Valentin»
-Des deux ? s’exclame Jérémie dans le silence de ma chambre. Le plus étonnant est qu’il s’étonne du fait que je sois amoureux de deux personnes à la fois mais ne fait pas de commentaire sur le fait qu’il s’agisse de deux garçons.
-Faut dire qu’ils sont beaux tous les deux, pense Jérémie tout haut. J’ai…j’ai été…attiré par eux… et je me suis…
Le silence et l’hésitation de Jérémie s’allongent.  
Je lui retends la perche.
«Tu t’es quoi?»


-je me suis branlé en pensant à eux tout à l’heure dans la douche.
Je laisse ma respiration se calmer avant de répondre :
«Moi aussi»
Le fait d’imaginer Jérémie se branler dans l’intimité de sa douche, me fait bander instantanément.  
Au moment où j’envisage de reculer mon bassin pour que Jérémie de devine pas mon érection, celui-ci recule ses fesses qu’il colle à ma queue raide. Il marque un temps d’étonnement ou bien de gêne puis recule encore ses fesses contre ma bite.
Nous sommes parfaitement emboités l’un dans l’autre.
-elle est grosse, murmure Jérémie.
Je ne réponds pas.
La mienne est moins grosse, rajoute t-il
«Oui mais là je bande» dis-je comme si ça ne se voyait pas.
-Moi aussi, fait Jérémie. Tu…tu veux voir.
Je suis décontenancé. Je reste muet.
-Tu dors ?


La sagesse me dit que je dois rester silencieux afin que Jérémie imagine que je me suis endormi; mais à mon âge, la sagesse…
«Non, je dors pas»
-Alors tu veux voir ?
«T’es sûr ?» proposant une dernière marche arrière à Jérémie.
Jérémie ne se retourne pas. Je suis toujours emboité contre lui. Ses pieds se sont réchauffés sur les miens et ses fesses sont tendues sur mon sexe qui l’est tout autant.
Jérémie saisit mon poignet et glisse ma main sur ses côtes saillantes puis plonge dans la douce chaleur de son pantalon de pyjama. Jérémie pose ma main sur sa queue et resserre mes doigts sur sa bite raide et dressée.
Je ne fais aucun mouvement, ne prononce aucun mot. Je reste juste immobile, le souffle court. Au bout de quelques secondes, je sens la main gauche de Jérémie se frayer un chemin entre ses fesses et mon entrejambes. Je tire légèrement sur l’élastique de mon pyjama et je sens les doigts de mon frère saisir avec application ma queue raide.
Mon cœur cesse de battre un instant pendant que Jérémie explore mon pyjama touchant mes couilles et me décalottant totalement.  


Je resserre mes doigts sur la queue de mon frère et il fait de même.  
On ne se branle pas, on serre juste le sexe raide de l’autre.
Cela n’a rien de sexuel. On est comme un petit enfant à qui sa mère manque et qui se rassure en se touchant. On se touche pour se rassurer, pour exprimer notre peur devant nos nouveaux désirs. Pour se dire qu’on s’aime.
Je sens le pénis de Jérémie s’assouplir dans ma main. Il vient de s’endormir et je laisse mes paupières se fermer, ma main toujours dans le pyjama de Jérémie.

 

Quand j’ouvre les yeux, Jérémie n’est plus là. Je touche les draps de son côté, ils sont froid. Il doit être debout depuis un petit moment. Je m’étire et essayer de ranger le mieux possible ma queue raide pour aller dans la salle de bain.
Mes parents sont déjà partis travailler et la maison est silencieuse. Juste quelques bruits de vaisselle dans la cuisine. Après un petit tour aux toilettes, je prends la direction de la cuisine où je retrouve Jérémie, juste en boxer attablé devant un pot de Nutella et une tasse de lait.
-Salut, Jérémie, dis-je m’efforçant de ne pas laisser paraître la gène de ce qui c’est passé hier soir.
«Salut Julien» dit sobrement mon frère sans même lever les yeux de son livre.
-Bien dormi après notre conversation d’hier soir ? demande ai-je.  
«Je préférerais qu’on en parle pas» coupe Jérémie.


-Pas de problème, dis-je avec ma fausse assurance de grand frère.
Je viens m’assoir prés de lui et il fait glisser le pot de Nutella vers moi. Il me regarde l’air boudeur mais je vois bien que dans ses yeux il y a un sourire. Je le connais par cœur mon frère.
-Valentin a téléphoné pour te parler, dit finalement Jérémie
«Pourquoi il n’a pas téléphoné sur mon cellulaire ?»
Jérémie hausse ses épaules nues. Il est vraiment maigrichon. Il faut vraiment qu’il finisse le pot de Nutella.
Je vais chercher mon cellulaire dans ma chambre et compose le numéro de cellulaire de valentin. Pas de réponse, je réessaye puis décide de téléphoner sur son téléphone résidentiel. On décroche enfin. Je reconnais la voix de Valentin mais lui pas la mienne.
-C’est moi, Julien…
- Oups désolé, je ne t’avais pas reconnu. Je t’appelle parce que comme je suis seul chez moi, tu pourrais passer si tu veux.


Je m’efforce d’adopter un ton modéré mais à l’intérieur de moi, je suis en ébullition.  
«Je suis là dans un quart d’heure» dis-je en regardant ma montre. Juste le temps de prendre une douche et ne choisir quoi mettre et je serai là.
-ca me dérange pas que tu viennes en pyjama vu le temps que tu vas rester habillé, fit valentin en riant.
«Je vais quand même prendre une douche» insistais-je.
 
Ma douche fût rapide mais l’habillage beaucoup moins. Enfin je me décide et nerveux, je me présente à la porte de la maison de Valentin.
Il vient m’ouvrir et m’accueille avec un grand sourire. C’est pas permis d’avoir des dents pareilles. Dés que la porte se ferme, je me sens plaqué contre le mur et Valentin me saute dessus. Il fourre sa langue dans ma bouche et vient jouer avec la mienne. Je réponds à ses baiser empressés et je laisse courir mes doigts dans son dos, le long de sa colonne vertébrale.  
-Tu me fais bander, me dit Valentin en déboutonnant ma braguette. Il fouille dans mon pantalon et attrape ma queue raide.
-Tu vois, t’es pas le seul à bander.


Valentin sourit et m’entraine dans sa chambre. Il m’allonge et je me laisse faire avec plaisir. Je l’aide à me déshabiller et en un rien de temps, je suis entièrement nu sur son lit. Valentin regarde mon sexe comme s’il ne l’avait jamais vu. Il le caresse, joue avec mes couilles et embrasse tout mon corps.
Je le déshabille aussi et caresse chaque centimètre de sa peau parfumée et délicate. Son pénis apparait enfin sortant de son boxer avec empressement. Je ne me souvenais pas que sa queue était si longue. Valentin la frotte sur moi et je m’enivre de cette sensation merveilleuse. La chaleur de ses couilles courant sur mon corps me rend fou. Je renverse Valentin en arrière et lui écarte les cuisses sans attendre. Il m’offre la vue de sa longue queue. Je la détaille à quelques centimètres de mon visage et remarque un joli grain de beauté sur ses couilles imberbes. Je tiens solidement la bite de Valentin et du bout de ma langue, je la lèche comme s’il s’agissait d’une bonne glace. Valentin gémit, murmure mon nom, écarte encore les cuisses, renverse sa tête en arrière en fermant les yeux. Docilement, j’effleure son gland du bout de ma langue gourmande puis, dans un ultime plaisir fais coulisser sa bite dans ma bouche. Elle n’a pas tout à fait le même gout que la dernière fois mais je ne m’occupe pas de ce détail préférant m’appliquer dans cet exercice dont je ne connais pas toutes les nuances. Valentin gémit plus fort quand j’accélère le mouvement de ma bouche et de ma langue. Furtivement, je me caresse la queue qui brule littéralement de plaisir. Valentin caresse mes cheveux pendant que je caresse sa queue de toute ma langue.


-Attend Julien, dit-il soudain dans un souffle, je vais te sucer aussi. Je quitte à regret sa queue magnifique et laisse valentin plonger entre mes cuisses. Je ne ferme pas les yeux préférant m’offrir le spectacle de Valentin ma queue dans sa bouche. Sa longue langue fait rouler mes couilles et je gémis bruyamment tandis que ma bite disparait presque entièrement dans la bouche chaude et humide de Valentin. Sa langue domine tout mon plaisir et je sens mon sperme monter dans mon ventre. Valentin devine mon frisson mais ne cesse d’accélérer ses mouvements de langue sur ma bite.
-Je vais gicler, Valentin, je vais gicler, dis-je.
Je n’en peux plus et j’éjacule avec force sur le menton et les mains de valentin.
Je gémis comme une fille mais je n’en suis pas gêné.


-Tournes toi maintenant, murmure Valentin. Mets-toi à quatre pattes.  
J’obéis offrant la vue de mes fesses blanches aux yeux de valentin. Je suis cambré, fesses en l’air. Je sens soudain un liquide chaud glisser dans la raie de mes fesses. Je devine que c’est mon sperme. Puis, je me crispe sentant le bout du gland de Valentin se poser sur mon anus.
-Ne - Sois pas nerveux Juju, chuchote Valentin. Il ne m’a jamais appelé ainsi et je m’en étonne, mais déjà la pression de son pénis raide dilate mon anus encore vierge de toute pénétration. Lubrifié par mon sperme chaud, mon anus se détend. Je suis terrorisé à l’idée de souffrir quand Valentin enfoncera son pénis entier en moi. A quatre pas, je pose mes coudes sur le lit offrant encore d’avantage mes fesses à Valentin. Celui-ci saisit mes hanches et dans un mouvement long et maitrisé enfonce peu à peu son sexe raide dans mes fesses. A chaque coup de son bassin, il s’enfonce de quelques centimètres.  
A l’intérieur de moi, je sens des vibrations, des sensations nouvelles et surtout le volume de son sexe. C’est une drôle de sensation ni vraiment agréable ni vraiment désagréable. Je me laisse aller doucement et commence à trouver du plaisir dans cette puissante et pourtant inexperte pénétration.  


Valentin caresses mes couilles sans cesser son va et vient. Je sens comme son petit homme, dominé par sa beauté, par son corps magnifique et sa queue tendue de plaisir.
Valentin accélère et je sens la pression et le frottement de son sexe en moi.  Je me mets à gémir sans pudeur et lui demande d’éjaculer en moi dans un râle. Mon souhait est exaucé et dans une ultime accélération, Valentin vient se coller à mes fesses enfonçant encore plus son pénis pour venir éjaculer au fond de mon ventre. De longs jets de sperme viennent arroser mes fesses et je trouve cette sensation extraordinaire. Valentin est totalement en moi et j’ai du mal à imaginer que son énorme pénis que j’ai sucé toute à l’heure à pu pénétrer en moi si facilement.
Valentin retire son sexe souple de moi et s’allonge sur moi, son torse nu sur mon dos pendant que je sens son sperme couler entre mes cuisses. Son souffle ralenti et Valentin dépose un long baiser reconnaissant derrière mon oreille.
-Merci de m’avoir offert tes fesses, chuchote t-il.  
J’entends ses mots dans un brouillard me concentrant plutôt sur la sensation de son ventre chaud au creux de mes reins.

 

a suivre

Mer 14 avr 2010 1 commentaire
Superbe histoire , j'espere quil va se passer quelque chose avec son frere ca serait mignon
Hakim - le 15/04/2010 à 11h01