Le drapeau doit son origine à l'artiste Gilbert Baker de San Francisco qui s’inspire des symboles propres au mouvement hippie et du drapeau à cinq couleurs utilisé par les groupes pour la défense des droits des Noirs.
Il conçoit le drapeau arc-en-ciel avec l’aide de 30 personnes 2 énormes drapeaux pour répondre aux besoins de la communauté gaie et lesbienne qui désire un symbole pour l’identifier. Baker et trente bénévoles taillent, cousent et teignent à la main deux énormes drapeaux. A l’origine, les drapeaux comportaient huit bandes de couleurs différentes: le rose vif, le rouge, l'orange, le jaune, le vert, le turquoise, l'indigo et le violet.
- le rouge pour la vie.
- l’orange pour la réconciliation ou la guérison.
- le jaune pour le soleil.
- le vert pour la nature.
- le turquoise (couleur disparue depuis) pour l’art.
- l’indigo pour l’harmonie.
- le violet pour l’esprit de communauté.
- le rose (couleur disparue depuis) pour le sexe.
Ces drapeaux ont été utilisés pour la première fois en 1978 lors du défilé de la journée de liberté gaie et lesbienne de San Francisco.
Les garçons ont deux zones qui peuvent être considérées comme semblable au point G des femmes : la prostate, glande située autours de l'urètre, qui ne peut être excitée qu'en passant par l'intérieur du cul, et le corps spongieux, partie inférieure de la bite qui reste souple même en érection. C'est dans ce corps spongieux que chemine aussi l'urètre. Le massage de cette partie de la bite peut entraîner un orgasme différent du gland.
Si tu peux, va aux toilettes avant, pour évacuer tes matières fécales. c'est mieux surtout si c'est fait ça sans capote(attention au sida)
Les deux meilleures positions pour une sodomie pour moi: coucher sur le ventre et assis dessus
Avant la pénétration, fait des caresses variées et des approches de l’anus, puis un massage plus appuyé avec le doigt pour détendre le cul.
Après, il est conseillé d’insérer un doigt doucement et lentement sur quelques centimètres, en arrêtant un instant si une douleur se fait sentir (surtout s' il a des hemorroïdes). Le doigt sera enduit d’un gel lubrifiant a base d'eau, pour le prevervatif. sois à l’écoute de ton partenaire, soit doux et sans, empressement et en douceur(un peu d'amour que diable)tourne le lentement en effectuant de petits mouvements de va et vient de quelques centimètres.
Lorsque ton partenaire se sentira prêt pour la pénétration, met une capote et avec du lubrifiant sur ton sexe et sur son anus. Attention, il faut utiliser un gel non gras avec la capote.
La pénétration doit se faire lentement, en arrêtant si ton partenaire ressent une petite douleur, mais sans te retirer. Dans ce cas, dit à ton partenaire de respirer à fond en se décontractant. Si la douleur est trop intense, retirez-toi doucement et attend une minute avant une nouvelle tentative. En cas de nouvelle douleur, n'insiste pas ! essaye une autre fois, Par contre si tout se passe bien, tu peux alors effectuer quelques mouvements de va et vient, sans brutalité, en restant à l’écoute de votre partenaire, mais aussi tout à votre plaisir partagé.
Le retrait de votre sexe doit toujours se faire très lentement tenir le preservatif et en douceur surtout si tu as joui.
Enfin il est assez fréquent qu'il ressente, dans l’heure qui suit le retrait, une envie pressante d’aller à la selle avec des petites coliques( du au gel).
Maintenant que tu as appris l’essentiel de cette pratique, oublie tout ce côté technique pour te concentrer sur le contexte de l'amour
Conseils de prudence
4/2006
Face aux agressions, SOS Homophobie rappelle quelques conseils de prudence élémentaires aux gays recevant de nouveaux partenaires chez eux : "Préférez un lieu
public, au premier rendez-vous. Ne donnez pas le numéro de téléphone de votre domicile, échangez vos numéros de portable et appelez votre correspondant pour vérifier ses
coordonnées.
Informez un proche de votre rendez-vous… Laissez entendre à votre partenaire qu'une autre personne est au courant de ce rendez-vous, etc."
Infos sur www.sos-homophobie.org
Pour joindre SOS Homophobie : Ligne d'écoute anonyme :
0810 108 135 ou 01 48 06 42 41
Les origines de l'homophobie dans la société sont un sujet de débats. On remarque que les croyances et attitudes homophobes sont indépendantes de l'orientation sexuelle.
Pour certains, c'est l'existence de relations mâle / mâle qui serait la plus à même de choquer et de faire naître l'homophobie, au contraire des relations femelle / femelle, qui peuvent même participer de l'érotisme hétérosexuel (on trouve en effet souvent des scènes de lesbianisme dans les films pornographiques pour hétérosexuels).
En sorte, c'est le fait qu'un homme puisse être pénétré (lors de la sodomie, par exemple) qui contredit le schéma stéréotypé dévolu aux sexes : la femme est passive, l'homme actif. Or, entre deux hommes, la notion de rôle actif et de rôle passif est réduite à néant (contrairement à une idée reçue, d'ailleurs, car les homosexuels masculins ne se répartissent pas forcément entre actifs pénétrants d'une part et passifs pénétrés d'une autre) : l'homme pénétré effraie l'homophobe car il contredit l'ordre « naturel » des choses, comme si la pénétration d'un homme pouvait être le symbole d'une perte d'intégrité.
Il faut noter, du reste, que certains hétérosexuels apprécient la pénétration anale pratiquée par leur partenaire féminin (au moyen de
godemichets, par exemple), ce qui ne permet pas d'affirmer que l'acceptation de la pénétration est une négation de la masculinité.
Historiquement, cependant, c'est bien ainsi que les Romains concevaient la sexualité : alors que l'homosexualité n'était pas tolérée, il n'y avait rien de choquant à ce qu'un citoyen
pénètre, par sodomie ou fellation, un homme, tant que ce dernier n'était pas un autre citoyen. Il n'y avait pas là, dans la vision romaine, d'homosexualité mais seulement l'affirmation d'une
virilité puissante ; seulement, l'homme libre ne pouvait pas être pénétré sans que l'on considère qu'il s'aliénait à autrui.
On trouve donc le plus grand nombre d'homophobes parmi les hommes, surtout les jeunes. L'homophobie, en outre, peut être simplement culturelle ; ce n'est ni une peur innée ni une réflexion construite qui en est à l'origine, mais souvent un trait culturel acquis au contact d'une société globalement homophobe par habitude. La psychanalyse explique quant à elle que l'homophobie peut être le résultat de désirs homosexuels refoulés, ce qu'un test récent de l'American Psychologist Association tend à prouver : sur un public d'hommes se disant hétérosexuels — et se déclarant homophobes ou non — auxquels l'on a fait visionner des images érotiques homosexuelles, 44% des non homophobes ont montré des traces d'excitation, contre 80% des homophobes. De même, 24% des non homophobes étaient en érection complète contre 54% pour les homophobe. Toutefois, les auteurs eux-mêmes de l'expérience soulignent que l'anxiété augmente l'excitation sexuelle, que cela a pu contribuer à augmenter les résultats des homophobes, et que d'autres expériences sont nécessaires pour trancher.
Beaucoup des jeunes se disant dégoûtés par l'homosexualité n'ont en effet aucun avis réel sur la question et ne sont pas capables d'expliquer leur homophobie. Celle-ci fait partie de la culture dans laquelle ils se développent, souvent influencée par la religion Homosexualité et religion.
Dans de nombreux cas, à la question « pourquoi êtes-vous dégoûté par l'homosexualité ? », la seule réponse est soit une tautologie :
« parce que c'est dégoûtant », soit un argument d'autorité : « parce que la Bible / le Coran / telle ou telle personne l'a dit » ; ce sont là deux formes de
sophismes.
L'homophobie culturelle peut même être facilitée par un cadre légal discriminant, soit par interdiction de l'homosexualité, soit par l'établissement d'une différence entre les âges de la
majorité sexuelle selon que la relation est hétéro- ou homosexuelle.
Note publiée sur PotinBlog.
Quand on est bloggeur homosexuel, il ne faut pas d’après l’Education Nationale parler de sa vie sexuelle…
Un proviseur de Montpellier vient d’être révoqué, mesure extrêmement rare sans condamnation, parce qu’il a osé mélanger des notes sur sa vie professionnelle et
des notes sur sa vie privée.
Gardfieldd, c’est le pseudo de ce bloggeur, bloguait de manière anonyme. Il a été retrouvé assez facilement puisqu’il n’existe que 2 lycées à Montpellier.
On lui reproche d’avoir écrit des propos pornographiques, en effet il parlait de sa vie sexuelle, mais je ne savais pas qu’il fallait faire vœux d’abstinence
lorsqu’on travaillait dans l’éducation nationale.
Il me semble que le 9 décembre dernier, on avait fêté le centenaire de la séparation de l’église et de l’Etat ??? De plus on lui reproche d’avoir mis des photos à
caractère pornographique, il s’agissait de photos de mec en sous-vêtement !!! Je crois qu’aujourd’hui nous avons régressé d’un siècle. Alors pourquoi ne pas se scandaliser des pubs pour sous
vêtements que nous voyons dans les rues, sur les abris-bus à coté des Lycées, des collèges, des écoles primaires et même de certaines maternelles ou crèches…
Aujourd’hui ce proviseur, cet ex-proviseur, se retrouve à la rue sans rien, sans avoir le droit d’exercer son métier, sans avoir le droit de postuler
dans aucun poste de la fonction publique, sans salaire, sans logement de fonction… Officiellement cela n’a aucun rapport avec son homosexualité, mais alors qu’est ce que cela avait de si
choquant ??? Les magazines pour ado écrivent des articles beaucoup plus osés.
Mais il était proviseur, me diront certains… Quel rapport, pour être proviseur faut-il être hétérosexuel, être marié, avoir deux enfants et aller à l’église tous
les dimanches ? On ne comprend pas pourquoi l’éducation nationale va si mal ? Pourquoi les ministres de l’éducation nationale ne sont jamais aimés ? La raison est simple.
Ils sont coupés de tout sens des réalités ! Dans son blog il n’a jamais critiqué sa hiérarchie qui l’aurait pourtant méritée, il n’a parlé que de sa vie privée. Et aujourd’hui on lui reproche d’en avoir parlé.
Dans ce cas là soyons honnête, interdisons l’homosexualité, supprimons le pacs, revenons sur l’abrogation de la loi qui faisait de l’homosexualité un délit, loi
supprimée par François Mitterrand en 1981, et je propose même à notre ministre de l’Education Nationale de demander à l’Organisation Mondiale de la Santé de remettre l’homosexualité comme
maladie mentale. Pour rappelle cela n’est pas très vieux, l’homosexualité était considérée comme une maladie mentale par l’OMS jusqu’en 1995 !!! Allons soyons fou, je propose même de
continuer le boulot d’Hitler, en ré-ouvrant des camps d’extermination pour les homosexuels. Dans ces cas là, je me tiens à votre disposition pour être le premier candidat à être
exterminé... (Pour éviter de déplacer le problème, j'ai préféré retirer une partie de cette note que je ne renie pas pour autant)
Monsieur le Ministre je ne vous salue pas.
Cordialement,
Julien Van Caneghem
Le proviseur révoqué a vu sa sanction ramenée à une suspension d'un an, dont six
mois avec sursis. L'annonce de la sanction il y a un mois avait soulevé un tollé de protestations sur Internet, et en particulier dans la communauté des bloggeurs.
Ce proviseur avait déposé un recours gracieux auprès du ministre de l'éducation nationale, Gilles de Robien.
Cette suspension a pris effet le 3 février et le proviseur se verra attribuer un nouveau poste le 4 août prochain, a précisé le rectorat de l'académie de Montpellier.
Dans la nuit du 13 au 14 août 2004, David Gros, étudiant homosexuel âgé de 26 ans au moment des faits, avait été agressé à coups de casque de motos et de barre de fer dans un lieu de drague du quartier de Saint-Giniez, à Marseille, par une bande de 6 jeunes qui lui avaient aussi lancé des injures homophobes.36 mois de réclusion contre cinq prévenus dont des peines fermes s'échelonnant de 12 à huit mois et une pour le 6 prévenu dix mois avec sursis qui n'aurait pas directement donné de coup à la victime.
comment devenir hetero ?
Dans les Émirats arabes unis a trouvé la solution pour guérir les homosexuels
À la suite de l'arrestation de 22 hommes lors d'une cérémonie de mariage gay, les autorités ont décidé de faire un exemple public. Une campagne a été lancée dans les médias pour dissuader les hommes et avertir les parents afin qu'ils détectent chez leurs enfants tout signe de comportement gay . «II n'y aura aucune place pour des actes homosexuels aux E.A.U. », a déclaré le ministre de la Justice et des Affaires islamiques. En vertu de la loi islamique, les hommes arrêtés subiront des évaluations psychologiques et des traitements à base d'hormones masculines avant d'être fouettés et condamnés à cinq ans en prison.
Un «psychologue» de Dubaï a déclaré qu'à la différence d'autres nations islamiques les E.A.U. ne punissent pas simplement les homosexuels en les laissant ensuite repartir, mais leur font subir un traitement médical.
Les coulisse
Sébastien Nouchet, un cuisinier de formation, âgé de trente-cinq ans, Trois jeunes gens surgissent. « Deux m’ont choppé, les bras en arrière pour ne pas que je bouge. J’avais le coeur qui battait, je ne pouvais pas me débattre. Pour moi, c’était la fin, ils me tuaient. Surtout quand il a mis son Zippo devant moi. je me roule par terre dans l’herbe humide. Le feu ne s’arrête pas, alors je arrache mes vêtements avec la main droite. Si j’avais pas fait ça, je serais plus là. Un voisin se précipite avec des serviettes humides. Il est quand même brûlé au troisième degré. Dans l’hélicoptère qui l’emmène dans le centre de grands brûlés de Charleroi, en Belgique, les médecins le mettent sous coma artificiel. Quand il se réveille, « momie complète », j’entend la voix de ma mère : « C’est maman, on est là, avec toi, on t’aime. » Quand il sort du coma,
La famille de Sébastien Nouchet a porté plainte après l’agression.
Il avait déjà subi des agressions de même nature En effet, Sébastien et Patrice Jondreville, son compagnon, avaient déjà été victimes à plusieurs reprises d’agressions homophobes et de dégradations de leurs biens par plusieurs jeunes. A chaque nouvelle agression (porte d’entrée incendiée, coup de tournevis dans le dos), Sébastien et Patrice portaient plainte... et à chaque nouvelle plainte, ils subissaient des représailles. Cette fois-ci, la vendetta de leurs agresseurs est allée jusqu'au bout, encore plus loin dans l’horreur.
Quatre mois plus tard, Yannick Cornuel, vingt-trois ans, est arrêté. Déjà connu des services de police pour avoir agressé la victime alors qu’elle habitait à Lens, ce jeune homme est mis en examen pour tentative d’homicide volontaire. Oui mais voilà : plus d’un an après les faits, la vérité peine à être établie. Jusqu’à mettre en doute, chez les enquêteurs, la réalité de cette agression.
Comme l’a révélé hier le Parisien, Yannick Cornuel a été remis faute d’éléments à charge justifiant son maintien en détention. Une décision confirmée le 4 mai dernier par la chambre d’instruction de la cour d’appel de Douai. Et aujourd’hui, l’enquête semble au point mort. Les auditions de témoins n’ont rien donné de probant. Pas plus que les perquisitions au domicile de Yannick Cornuel. Tout comme sont restées vaines les confrontations entre la victime et son agresseur présumé qui continue de clamer son innocence. Toutes les pistes restent donc encore ouvertes. Y compris celle d’une automutilation, eu égard au tempérament dépressif de Sébastien Nouchet.
Une hypothèse qui fait bondir ce dernier. « J’ai été violé à l’âge de neuf ans et j’ai fait plusieurs tentatives de suicide autour de trente ans. Je regrette que la justice se serve de ce passé pour tout me mettre sur le dos ».
Au final, Sébastien Nouchet se dit « écoeuré » par la décision de la chambre de l’instruction
1 ans après ces mains son encore en soin. Le torse ressemble à une carte de géographie en relief. Le cou aussi a été abîmé par les flammes, heureusement rien sur le visage.
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