Par thierrydeparis
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histoire gay de julien

Dans le corridor qui mène à la salle de bain, je croise son regard dans le grand miroir que mes parents ont ramené un jour où leur gout était au plus bas.  
J’entre dans la salle de bain suivi par le garçon glaçon.
-Je vais te faire couler une douche chaude, tu devrais aller mieux après.  
Il m’adresse un sourire désarmant, me tend la main.
«Mon nom est Valentin ! »
-Le mien Julien !
«Merci beaucoup Julien de m’avoir sauvé du froid»
Sa main est froide est tremblante. J’ai du mal à la lâcher. Ses doigts sont doux sur ma main.
-Je vais te sortir une serviette. Donne-moi tes vêtements, je vais les faire sécher.
«Oui, merci… tout de suite» répond valentin.
Subitement, il ouvre sa braguette et sans hésiter descend son pantalon. Ses cuisses sont fines et claires. Ses pieds nus s’enfoncent dans le tapis que mes parents on ramené un jour où leur gout était au plus haut. Valentin enlève son sweet et son tee-shirt.

Tout à coup je cligne des yeux devant son corps si attirant. Je pense aux branlettes de mes vingt prochaines années avec lui et lui et lui. Les épaules de Valentin ne sont pas vraiment celle d’in déménageur mais je les trouve à mon gout. Ces nombreux grains de beauté m’enivrent et je tente dans un éclair de seconde d’apprendre leur géographie.
Le nombril de valentin est si parfait, si mignon, si…
-Peux-tu me laisser ? fit soudain Valentin.
«Oui oui, bien sûr» dis-je gêné après ma visite du Louvre sans guide. Mes yeux s’arrêtèrent sur son boxer, remplit généreusement  par son sexe .
Je sortis de la salle de bain à regret, me consolent en respirant les vêtements humides de Valentin. Ils portaient un parfum de lessive et de déodorant. Je les déposais devant un chauffage en espérant qu’ils ne sèchent pas trop vite.  Pendant ce temps j’entendais l’eau de la douche et je me serrais bien transformé en goutte d’eau pour glisser sur le corps de valentin.

Dix minutes plus tard, Valentin débarqua sans prévenir dans ma chambre.
-C’est donc ici que tu te caches, dit-il.
Je sursautais, et me retournant je découvris Valentin torse nu, une serviette autour de la taille. Sans une seconde d’hésitation je sentis ma queue gonfler dans mon boxer, et je glissais ma main dans ma poche pour contenir son volume. Mon pénis au garde à vous saluait le voisin inconnu.
-tes vêtements doivent être secs… sauf ton boxer que tu ne m’as pas donné.
«Je ne me serais pas permis de te donner mon boxer à sécher»
Charmant mon prince charmant ! C’était aussi l’avis de ma queue.
-je te prêterais bien l’un des miens mais je n’en ai plus, dis-je.
«tu n’a qu’un boxer ?» s’étonna Valentin.
-C’est une longue histoire, dis-je en réalisant que je parlait de mes boxers avec un inconnu.
«Tu pourrais me prêter celui que tu portes», souffla Valentin.
Je restais bouche ouverte attendant de mourir de honte, mais la mort ne vint pas.
-Heu…si tu veux…si ça te gêne pas…

«J’ai vu que mes vêtement étaient dans le salon, je vais les chercher.»
Tremblant, pathétique, je me précipitais d’enlever mon pantalon et mon boxer avant que Valentin ne revienne.
«Raté !» s’exclama Valentin en revenant
Il avait vu mes fesses, il avait vu mes fesses, il avait vu…
Là, quand il laissa tomber la serviette qui entourait sa taille, je compris enfin que dieu existait.
Valentin se dévoilait devant moi, offrant à mes yeux son corps nu. Son pénis était long, fin et clair. Son gland rose apparaissait un petit peu. Ses testicules hautes étaient imberbes. Tout son corps était attirant. J’imaginais m’agenouiller et le toucher mes j’étais bien trop lâche et puceau pour oser quoi que ce soit. Seul mon pénis courageux se dressait encore dans mon pantalon.

Valentin se rhabilla vite et après un coup de téléphone, il m’annonça que ses parents étaient chez eux. Je le raccompagnais à la porte et lui tendis la main. Il ne la prit pas. Il approcha sa joue de la mienne. Je pensais qu’il voulait m’embrasser mais ne le fit pas. Il me murmura juste au creux de l’oreille :
«Tu as de très jolies fesses Julien» et il disparut comme il était venu.

On sonne à la porte. Quand j'ouvre, je suis en boxer et tee-shirt. Je suis souvent dans cette tenue quand je suis seul à la maison.
-Salut Julien !
C'est Valentin. Je n'arrive pas à y croire, d'autant que 30 minutes avant, Valentin était allongé nu sur moi...en pensée, lorsque je me branlé tout nu dans ma chambre. je baisse les yeux, j'ai peur que dans le fond de mes yeux, il s'y voit.
«je peux t'aider» dis-je.
-Non. J'ai un cadeau pour toi, sourie Valentin en exibant un petit paquet cadeau.
«Fallait pas !»
-je te devais bien ça.
«entre valentin»

je ne sais pas si je dois le conduire dans ma chambre mais dans le doute, je le précede. j'attends ses pas derrière moi. Je rêve de son souffle sur ma nuque, de ses doigts sur mon visage. De ses cheveux sur mes cuisses.
-Tiens ! dit valentin une fois que j'ai fermé la porte derrière lui. Il me tends son petit cadeau comme un enfant, tout sourire.
je le prends, suis gêné mais je me dis que même si c'est une chemise à fleurs oranges je vais l'adorer. J'ouvre le paquet et trouve un boxer calvin Klein gris et noir. Il est trés sexy.
-T'avais l'air d'être limité au niveau sous vêtements. je me suis dit que tu serais content.
«Je le suis, merci valentin.»
-T'as pas l'air...

«si... mais c'est la première fois qu'un garçon m'offre un boxer !» dis-je intimidé
Valentin éclata de rire. Je ne connaissais pas son rire et il m'est apparut le plus beau rire du monde.
-ben alors...  
«Alors quoi ?»
-ben tu l'essaye pas ?
«Si ..bien sûr, je vais dans la salle de bain»
-Julien, tu peux l'esssayer ici si tu veux ...
En vérité, ce que je veux c'est me cacher dans un trou de souris et avoir une discution avec ma queue pour qu'elle reste tranquille.
je suis planté devant Valentin et là je suis sensé baisser mon boxer, me foutre à poil. Jusqu'a présent, même mon frère ne me voit pas tout nu.
-Allez...s'il te plait, demande Valentin en murmurant.
 Je m'attaque à mon boxer les doigts tremblants devant Valentin qui me dévisage dans un sourire béhat. Mon boxer tombe sur mes cheville. Je ne peux pas regarder valentin en face. je dois être tout rouge.
Mon dieu, Valentin s'approche. Je recule un petit peu.
-Il faut que je te rende le boxer que tu m'a prêté, chuchote Valentin

 

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