Il porte ses doigts à sa ceinture qu'il défait. Je suis toujours tout nu et commence à bander. Personne au monde ne m,a vu bander sur cette terre et là, ma queue se dresse à la vitesse de l'éclair,
mon gland se décalotte et mes joues prennent feu.
Valentin ouvre sa braguette et laisse tomber son pantalon sur ses chaussettes. il s'en débarasse d'un coup de pied. je reconnais mon boxer. j'ai jamais était aussi content de le voir.
Valentin cambre ses fesses et le fait glisser. je retrouve le pénis de Valentin, mais contrairement à hier, il est incroyablement dressé. Mon dieu, je ne savais pas qu'on pouvait bander à ce point.
Du coup, j'ai une vision panoramique sur les couilles de valentin.
Ni Valentin ni moi ne parlons. Je me contente d’oublier que je suis tout nu en train de bander devant quelqu’un mais j’essaye d’imprimer la vision de Valentin et surtout de sa queue qui a l’air de
me proposer un câlin.
Soudain Valentin avance vers moi et son gland vient effleurer le mien. Je sursaute de gêne et Valentin sourit en me faisant un clin d’œil.
-Tu m’invite, dit-il en jetant un coup d’œil vers mon lit.
Là je pense plus, je suis tremblant, je hoche juste la tête; alors, je sens les doigts de valentin qui prennent les miens et je trouve sa main si douce. J’ai tellement envie qu’il la promène sur
moi.
Il me tire et moi maladroit, je lui marche sur les orteils. Il grimace et je me demande comment on peut être si beau en faisant des grimaces.
Valentin m’assois sur mon lit, puis me pousse doucement en arrière. Je résiste de tous mes biceps, c'est-à-dire pas du tout. Je suis allongé et il se met sur moi. Il me regarde appuyé sur ses avant
bras. Hé, mais qu’est ce que je sens la sur ma queue ? Mais c’est la sienne ! Je trouve son pénis raide et chaud et la surprise passée, j’aime le contact de sa bite sur la mienne. Valentin me
regarde dans les yeux et approche son visage. Il dépose ses lèvres sur les miennes. Je frissonne. Bon il faut que je vous avoue un truc : Je n’ai jamais embrassé de garçon…ni de fille.
Les lèvres de Valentin s’entrouvrent et je sens sa langue qui force ma bouche. Je le laisse faire et sa langue rencontre la mienne. Un feu d’artifice vient d’éclater dans ma tête. Alors, c’est ça
embrasser un garçon ? J’aurais dû pratiquer plus tôt. En fait, si je m’étais entrainé avant, j’embrasserais valentin beaucoup mieux, parce que là, je suis pas sûr d’être au point.
Valentin, ses lèvres effleurant les miennes me demande :
«je peux ?» tout en glissant une mains vers mon entrejambes.
Je ne répond pas laissant sa main voyager de ma poitrine vers mon ventre, vers mon bas ventre, vers mon pénis. Dés qu’il touche ma queue, il termine de me décalotter et je commence un léger
mouvement de bassin qui fait sourire Valentin.
«Ne sois pas si pressé Julien»
Valentin glisse ma bite dans sa main. Il la fait coulisser doucement de haut en bas et de bas en haut, puis descend vers mes couilles brulantes. Il écarte mes cuisses et attrape mes couilles qu’il
masse délicatement. Valentin recommence à m’embrasse et j’ose tremblant passer ma main gauche dans ses cheveux. Ils sont doux.
Valentin me branle doucement et je me laisse faire en gémissant doucement. Je suis l’esclave de ses doigts qui courent sur mon entrejambes.
Puis valentin s’allonge sur le dos. Je le regarde tout nu à côté de moi, son gland sur son nombril. Il est un peu essoufflé, je suis paralysé.
-Viens Julien…caresse moi.
C’est à moi qu’il parle ? Ça en a l’air. Je me redresse sur mon coude et pose une main…dans son cou.
-Plus bas Julien.
Je glisse sur son ventre délicatement parsemé de jolis grains de beauté et je regarde sa bite en gros plan. Elle est belle et longue. Délicatement rosée avec une fine veine bleue qui la décore.
J’y suis, mes doigts sont a un ou deux centimètres de son gland. Valentin remonte le bassin et franchit tout seul l’immense espace qui manque. Je touche le gland d’un garçon, je touche le gland
d’un garçon, je touche le gland d’un garçon. Vous avez compris mais moi, pas encore.
Je me familiarise avec la peau de son gland chaud et délicat et Valentin me regarde dans les yeux; enfin, je suppose parce que moi j’en suis incapable…un peu gêné mais surtout très occupé.
Je ferme mes doigts sur le pénis raide de Valentin et réalise encore plus sa rigidité et sa taille.
- branle-moi, Julien murmure Valentin en attrapant ma queue que je lui donne volontiers.
Il joue avec mes couilles et mon prépuce puis me branle vraiment.
Je me mets au même rythme tout en explorant ses couilles pour la première fois. Elles sont très douces et fermes.
Je soupire autant que Valentin.
Il avance son bassin et gémit et en un éclair un tsunami de sperme envahie mon lit. Son ventre se couvre de sperme ainsi que mes doigts, tendis que ma queue crache quatre longs jets de
sperme clair.
Je suis gêné (encore) de voir mon sperme sur les doigts de valentin mais lui a l’air plutôt heureux de ça.
Il attrape son tee-shirt sur le sol et couvre mon sexe en essuyant mon sperme. Il est délicat et je me laisse faire comme un petit garçon puis je récupère son tee-shirt mouillé de sperme et à mon
tour je nettoie son ventre et sa queue. Valentin a du sperme jusque dans le cou.
-Il faudra que tu me prête un tee-shirt, me dit-il…mais je te le ramènerai…
On rigole comme des enfants pendant que moi je suis fasciné par le sperme bouillant de valentin
a suivre
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