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Par thierrydeparis
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recit gay de ame

 

Et les yeux dans les yeux, bientôt la main dans la main, le temps fut comme suspendu, plus rien n’exista. Nos corps peu à peu ce rapprochèrent, jusqu’à ce que nos lèvres se touchent, ses lèvres furent d’une douceur incomparable, puis Johan s’éloignât brusquement, avec un aire gêné.  
 
Je pris mon courage à deux mains et entrepris de l’embrasser à nouveau. Ma langue s’insinua sans aucune couardise, entre ses dents qu’il entrouvrit, pour laisser passer la gourmande avide de nouvelles rencontres. Nos langues se frôlèrent avec timidité. Je ne pourrais décrire la première sensation avec précision, un frisson me traversant le corps, une nouvelle drogue, la dopamine, faisant de ce moment un moment parfait. Nos langues aillant dorénavant faire connaissance, se lancèrent dans une danse au rythme effréné, presque incontrôlables, pendant une période qui me sembla être des heures, peut être seulement deux ou trois minutes en réalité, car le temps n’a plus de valeur, lorsque l’on est face au pur bonheur.  


Ma main vint parcourir sa joue, puis remonta pour arriver dans ce champs de blé, nourri par le soleil, sa douce chevelure, pour laquelle j’abandonnai sa bouche, pour m’enivrer de son parfum, puis ma langue experte atteint son oreille droite, descendit sur sa nuque … lentement sur ses tétons en érection. Un cri me fit sursauter, je compris rapidement, que ce n’était pas parce qu’il avait mal, mais que chaque mordillement augmentait un peu plus son plaisir, que je sentais courir le long de ma cuisse.  


Le chemin fut loin d’être terminé, alors je décidai de continuer vers l’objet de tous les fantasmes. Je m’attardai un moment sur son tatouage, juste à coté de son magnifique nombril, préalablement gratifié de coups de langue. Un tribal à vrai dire, qui apparemment s’insinuait sous son boxer, tendu par le plaisir.  
Curieux de nature, j’étais résolu à en savoir d’avantage sur celui-ci. Je saisis son boxer entre mes dents, dans un geste alors coordonné au mien, il leva les fesses, pour m’aider. Subtilement devant moi s’érigea le mont Olympe, digne d’Apollon, sa beauté n’eut d’égale que sa grandeur. Une fois ôté son boxer, ma main dans la quête du plaisir vint effleurer son sexe, il ne put s’empêcher d’émettre un râle, ce qui m’encouragea, car pour lui et son plaisir rien n’était impossible.  


Mes doigts agiles vinrent jouer avec son prépuce, dieu que sa peau était exquise. Après quelques minutes de ce jeu, ma langue glissa sur ses divines valseuses imberbes, sur son phallus et s’orienta vers son gland décalotté gonflé et rougi d’envie, j’ouvris grand la bouche et happai son épée presque jusqu’à la garde, ma langue s’amusait avec son gland, en quelque va-et-vient, quelques titillements du périnée, quelques délicieuses explorations des bourses, l’ensorcelante friandise finit par jaillir à grand jet, dans ma bouche charmée par le jus que j’avalai sans plus tarder.  
Après un doux baiser de mon prince très charmant, et pour le moins envoûtant, je lui demandai : « t’es tu déjà fait bouffer ? » A ceci il me répondit que non. Et bien soit, il fut avide d’apprendre, et en bon pédagogue, je m’empressai de lui montrer le fond de ma pensé.  


Je le priai de se mettre sur le ventre, pour découvrir une chute de reins splendide, surplombée par deux collines fermes et lisses, coupées par un petit sentier, non boisé, auquel il est impossible de résister. Ma langue commença son long périple, par la nuque, sans rompre le contact avec la peau, celle-ci slaloma le long de sa colonne vertébrale, pour atteindre son rein, puis ses fesses, finalement son anneau. Ensuite elle s’immisça lentement dans l’intimité de mon tendre Adonis. Ses fesses se soulevèrent et se cambrèrent, sa respiration s’accéléra, ses gémissements ce multiplièrent d’avantage, à chaque coup de langue. Après quoi, il se retourna, et m’embrassa tendrement, son regard, celui d’un enfant à Noël, celui de l’innocence, de la joie, de la tendresse, me fit fondre. Voluptueusement, il me fit basculer pour se retrouver au dessus de moi, pour me retirer mes vêtements, tout en continuant de m’embrasser. Au fur et à mesure ses doux baisers se dirigèrent vers mon pénis.  


Maladroit, il attrapa celui-ci et le cogna contre ses dents, il s’excusa et me dit que c’était la première foi, pour ensuite titiller le bout de mon gland avec sa langue, tout en massant généreusement mes bourses, puis sa main revint s’occuper de mon phallus, qu’elle agrippa et se mit à faire de lents va-et-vient coordonnés aux coups de langue et mordillements si bien placés. Pour un débutant, il avait tout le talent pour se faire pardonner, car vite monta le fruit de la passion, pour s’échouer sur ses jolies lèvres rosées, que je m’empressai à mon tour de lécher.  


Après quelque charnelles embrassades, peau contre peau, ma passion fut vite remontée, pour atteindre des sommets, peut être celui du mont Olympe ? Mon jeune éphèbe, m’ordonna, alors qu’il senti que lui aussi pouvait encore exprimer quelque passion, « je veux que tu me prennes ». Ni une ni deux, au branle-bas de combat, toutes armes en main, casque de protection porté, je me lançai à l’assaut de sa tranchée, toute offerte à l’allié. Je le plaçai sur le dos, avec les jambes sur mes épaules, pour pouvoir l’embrasser tendrement, le rassurer de mon amour, et voir son regard, à chaque minute de notre fusion.  


Un peu de lubrifiant, et quelque va-et-vient de mes fidèles doigts, ont fait de sa grotte une accueillante demeure, où je pus glisser petit à petit toute l’immensité de ma tendresse, jusqu’aux valseuses. D’abord un cri de douleur, puis peu à peu des soupirs d’allégresse, pour atteindre des hurlements de jouissance. Je le pris, lentement au commencement, et augmentai à chaque minute le rythme de mes mouvements, pour atteindre une vitesse vertigineuse, qui me procura la sensation d’être le chef d’orchestre de notre symphonie d’amour, dans laquelle les notes sont le reflet du plaisir procuré.  


Il n’en fallut pas plus pour que ma semence, vienne remplir le préservatif, simultanément avec Johann, qui m’envoya tout son sperme sur le ventre, le visage. A cet instant nos cœur battirent à l’unisson, et instinctivement nos corps ce collèrent, peau contre peau, tête contre tête, les yeux dans les yeux, pour ne plus former qu’un être unique, et seller nos âmes à tout jamais (enfin c’est ce que je crus). Rien ne fut plus jamais comme avant ….


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Par thierrydeparis
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recit gay de la voix l'ame

 

Un cadre idyllique pour des amours romantiques, moi François, 21 ans, châtain clair, yeux bleu, un look que je qualifierais de banal,  je vais vous raconter la chaleur incandescente d’une histoire passionnée et passionnelle.          
   
Un beau jour ou peut être une nuit d’été, la chaleur de la journée s’estompait, laissant place à la douce fraicheur du crépuscule. Les majestueux flamants roses s’endormaient, les chevaux se reposaient, et les moustiques par milliers s’éveillaient, en somme le bonheur parfait.      
   
Dans le village mythique ou peut être plus touristique, ce village typiquement camarguais que sont les Saintes-Maries-de-la-Mer, gisait un lieu où la relaxation est maîtresse, ce lieu même où je travaillais, comme assistant du directeur de restauration durant mon stage de licence.      
   
Je vivais alors dans cet établissement, dans un appartement, avec deux garçons plutôt sportifs, âgés de 18 ans, avec des styles bien distincts.    
   
L’un prénommé Johann, le romantique, l’affectueux, le calme, le tendre, extraverti, dont l’élément représentatif est l’eau. Habile surfeur, skateur, il combine à merveille deux nationalités, allemande par sa mère, et française par son père. Du haut de ses 1m 90, il incarne la fraîche et pure beauté, blond aux yeux bleus, un corps svelte, une peau hâlée.    
   
L’autre, Vincent, le mystérieux, le fougueux, introverti, au fort caractère, pourrait être représenté par le feu. Ses sports de prédilection sont le basket et le football. Grand, brun, aux yeux sombres, un corps musclé, une peau finement grainée, il a tout le charme que l’on peut espérer d’un beau ténébreux.      
   
Bien qu’ils connaissaient mon goût plus que prononcé pour l’amour entre hommes, peu farouches, ils exposaient régulièrement leur corps à mes yeux ivres de plaisir. Ce qui les amusait beaucoup, et puis m’ont-ils affirmé «c’est toujours agréable d’être admiré».      
   
Ce soir a été le soir où tout à basculé, non dans les ténèbres du crépuscule, mais dans la clarté de celui-ci. Comme chaque soir  après une journée harassante de travail, après avoir discuté avec mon directeur, de mecs (celui-ci étant bisexuel), de films, et commérages en tout genre, je rentrai paisiblement dans mon appartement, pris une douche, me changeai, et attendis patiemment  le retour de mes deux somptueux colocataires, pour pouvoir jouer, boire, sortir, …        
   
Le premier à rentrer fut Vincent, qui prit une douche, et la tangente car, solitaire, il aimait à se promener pendant des heures au bord de la méditerranée.    
   
Johann rentra à son tour 20 minutes après le départ de Vincent, prit une douche, et finit par me rejoindre dans ma chambre, vêtu de son unique vêtement, un boxer de couleur noire mettant en valeur ses attributs avec une harmonie déconcertante.      
   
Il vint s’installer sur le lit prés de moi, m’offrant la vue de son corps tout entier, et vit alors que je le scrutais dans ses moindre détails et me dit « arrête un peu, tu ne veux pas regarder la télé plutôt ». Nous regardâmes  Anne Roumanoff et son fameux sketch « Harmonie la solution anti crise », et partîmes alors dans un fou rire incontrôlable.      
   
Une chose en amenant une autre, nous retournâmes à notre jeu habituel, qui s’était installé entre lui et moi, pour des moments de pure complicité. Celui-ci consistait à chahuter et  toucher délicatement l’autre pour le faire frissonner, sur le torse, la poitrine, les aisselles, les pieds, Vincent nous appelait d’ailleurs, lorsqu’il était témoin de ces « ébats » le petit couple, ce qui ne perturbait pas Johann pour autant.      
   
Puis je proposai a celui-ci une petite séance de massage avec une huile essentielle de jasmin, il se retourna donc pour que je lui masse le dos. Tout excité, je me mis alors au travail, en commençant par la nuque et après avoir doucement titillé ses oreilles, mes mains se dirigèrent lentement, méticuleusement vers ses omoplates. Les cercles décrits par mes pouces lui donnèrent tant de plaisir  que sa respiration s’accéléra, mais je jouissais d’avantage de cette situation. Après tout s’il était hétéro, et que nous pouvions prendre tout deux du plaisir charnel, même sans sexe, c’était pour mon plus grand plaisir.      
   
Mes mains glissèrent  le long de sa colonne vertébrale. Mes sens en alerte imprimaient tout, mes yeux détaillaient chaque centimètre de sa peau, chaque grain de beauté, chaque coin et recoin de son être, mes oreilles enregistraient le résultat de mon travail en chaque soupir qu’il poussait et m’enfonça d’avantage dans le désir, mon nez capta son odeur mélangée au jasmin, au pêcher en fleur, au chèvrefeuille, aux odeurs printanières, mes mains dessinèrent ses courbes que je jugeais parfaites, chaque frôlement, chaque frottement étant une joie incommensurable.  
   
Après 30 minutes Johann me dit d’arrêter. Il me fixa alors de ses yeux, semblables à deux émeraudes éclairées par le coucher de soleil, son regard profond qui mélangeait  à la fois le désir, l’innocence, celui qui a mon plus grand désarroi me faisait fondre, il pouvait me demander ce qu’il souhaitait, tout lui était accordé.    
   
Je me relevai pour ranger l’huile de massage, lorsque Johann reçu un message de Vincent lui indiquant que celui-ci partait pour une boite de nuit située sur une plage privée, et qu’il ne rentrerait probablement pas avant 2h00.  
   
Le sourire béat, il m’annonça la nouvelle. En mon for intérieur je me demandai pourquoi ce sourire, cette question fut vite résolue, le jeune homme me fixa encore du regard, s’assit et me fit signe de la main de le rejoindre.      
   
Ne sachant que faire j’exauçai son désir

 

a suivre


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Par thierrydeparis
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recit gay de tom

 

Chapitre 26 : La rupture.
 
Je ne vois pas la semaine passée. Je demande à ma prof si je vous peux partir plus tôt vendredi. Ce qu'elle m'accorda.  
 
A 16h, je fais mon sac et j'appelle un taxi. Je fais la surprise à Yoann  . C'est son anniversaire demain. Une heure plus tard j'arrive chez Yoann.
 
-"Bonjour Richard, Bonjour Tina".
-"Bonjour, ça fait du bien de te voir  ."
-"Yoann est dans le coin?"
-"Oui, il est dans le studio avec Maxence."
-"Ok, j'y vais."
 
Je descends vers le studio. J'ouvre la porte. Personne dans la chambre. Je me dirige vers la salle de bain. Je suis horrifié par le spectacle que je vois. Yoann et Maxence sont nus. Deux capotes usagées par terre. Yoann en train de sodomiser Maxence.  
 
-"Euh... euh..."
-"Mitch, je vais t'expliquer".
-"Tu n'as rien à expliquer, c'est plutôt clair  ".
 
Je sors du studio et je vais à la maison.
 
-"Tina, j'ai oublié mon portable. Je peux téléphoner pour appeler un taxi."
-"Mais oui bien sûr mais pourquoi veux-tu appeler un taxi?."
-"Je ne reste pas et je pense que je ne reviendrai plus".
-"Mitch, qu'est-ce qu'il se passe? Vous vous êtes disputé?"
-"Richard, je viens de surprendre Yoann avec Maxence dans la salle de bain en train... en train de... Putain mais quel con  ."
-"Tu as l'air bouleversé. Reste ici cette nuit et Tina ou moi te ramènerons demain matin."
 
Yoann arrive.
 
-"Reste il faut que l'on parle?"
-"C'est un peu tard pour parler. ça fait combien de temps que cela dur?"  
-"ça fait un mois".
-"Putain mais je suis le roi des cons. J'arrive pas à la croire."
-"Pourquoi, parce que j'avais besoins..."
-"Mais pourquoi tu me l'as pas dit?"
-"Je ne sais pas".
-"Tu sais pertinemment que j'ai énormément de taf que je n'ai pas choix. Le reste de mon temps je te consacre."
-"Oui, c'est ça le pb, le reste de ton temps".
-"Le soir quand je rentrais tard, on discutait par msn j'essayais de tenir le plus longtemps possible. Des fois, je m'endormais devant la webcam, c'est vrai mais cela ne veut pas dire que je m'ennuyais mais que j'étais fatigué."
-"OUI OK, mais j'avais besoin de toi physiquement, à mes côtés."
-"Je pense avoir fait le maximum pour être avec toi. J'ai bossé 15 jours à plein temps pour décrocher un stage à mi-temps aux US pour l'été prochain..."
-"Tu allais encore me laisser!!"
-"Non, c'est pour ça que je suis venu plus tôt aujourd'hui, je voulais te dire qu'entre mon stage cet été et mon taff à la fac, j'ai économisé pour t'acheter un billet pour que tu viennes avec moi cet été. Mon stage était . Cela devait être ton cadeau d'anniversaire."
-"Euh..."
-"Richard, pouvez-vous me ramener?"
-"Oui, il n'y a pas de pb".
 
Yoann reste figer dans le salon. Je m'en vais. Sur le chemin, Richard n'ose rien me dire.
 
-"C'est ma faute, j'ai merdé ma relation avec Yoann. Je n'ai pas su comprendre ses besoins et ses désirs."
-"Mitch, je pense que les tords sont partagés".
-"C'est quand même dingue, j'arrive à comprendre les autres, à les analyser et à les aider. Mais je n'y suis pas arrivé avec le mec que j'aime. Faut vraiment être con  ."
-"Tu entres dans l'univers difficile des grandes personnes. Par exemple, Tina qui est une grande spécialiste dans les traumas n'est pas arrivé à aider notre fils. Je ne la blâme pas. Mais elle aussi ne comprenait pas pourquoi elle n'avait rien vu. Très souvent, on arrive à aider les autres mais quand il s'agit des nôtres, on n'y arrive pas."
-"Vous avez peut-être raison".
-"Te voilà arriver. Sache que si tu as besoin de quoique se soit Tina et moi nous sommes là."  
-"Merci Richard".
 
Il me serre dans ces bras. Je monte dans ma chambre. Je m'allonge dans mon lit, je me recroqueville, je pleure.

 

fin


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Par thierrydeparis
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recit gay de tom

 

Chapitre 25 : Une relation tendue
 
L'été passe assez rapidement. J'ai essayé de conjuguer mon travail avec ma relation avec Yoann. S'il est vrai que je rentre fatigué du travail avec Tina, je consacre le reste de mon temps à Yoann.  
 
Un mois après la rentrée, mon boulot de fac et mon travail d'assistant me prennent énormément de temps. Cela fait 15 jours que je n'ai pas vu physiquement Yoann.  
 
Vendredi, il est 21h00 quand je rentre à ma chambre. Je vois une silhouette assise devant ma porte.  
 
-"Yoann, qu'est-ce que tu fais là?"
-"Il est vendredi soir et avant que tu m'envoies un mail ou que tu me téléphones pour dire que tu ne peux pas venir ce week-end, j'ai décidé de venir  ".
-"Entre dans ma chambre, si le responsable te voit je risque de me faire virer."
 
Je pose mes affaires. Je me retourne vers Yoann et je prends la tête bougonne de Yoann entre mes mains.
 
-"Arrêtes de faire la tête. On a déjà eu cette conversation."
-"Ouais!!!"
 
Je l'embrasse.
 
-"Bon je vais prendre une douche."
-"Je peux venir?"
-"Yoann, les douches sont communes!!!"
-"ça peut être excitant!!!"
-"ok"
 
On se dirige en catimini vers les douches. Il n'y a personnes. On se déshabille et on entre dans la cabine de douche.  
 
On s'embrasse, on s'enlace. Le corps de Yoann est super chaud. Il m'embrasse avec force. Je sens sa bouche parcourir mon corps. L'excitation de Yoann contraste avec ma fatigue.
 
Soudain, quelqu'un entre dans les douches. Je soulève le corps de Yoann, il enroule ses jambes autour de ma taille.  
 
-"Mitch, c'est toi?"
-"Ouais"
-"Avec les gars, on va boire une bière au pub, tu viens avec nous?"
-"Non, merci. Je suis trop fatigué."
-"Ok bye".
 
Une fois partie, je repose Yoann.  
 
-"Yoann, on retourne dans la chambre. Si on continue, on va se faire choper".
-"Ok".
 
Arriver dans la chambre, nos deux corps nus s'allongent sur notre lit. On s'embrasse. Yoann m'embrasse et son corps chaud descend jusqu'à ma queue.
 
-"Yoann, je suis crevé".
-"Ein!!!, ok"
 
Il s'allonge à mes côtés et me tourne le dos. J'entoure son corps de mes bras. On s'endort.
 
Le lendemain matin, je me réveille. Yoann est entrain de s'habiller et de ranger ses affaires.
 
-"Où est ce que tu vas?"
-"Je rentre".
-"Attends"
 
Je caresse chez yeux. Je l'embrasse. Il fait tomber son sac qu'il a à la main. Je lui enlève son sweat. Je dégraffe son jeans et son caleçon qui tombent à ses chevilles. On se caresse le dos, les fesses. Mon corps devient aussi chaud que le sien. Yoann est adossé à mon armoire, je m'agenouille et je prends en bouche son sexe. Yoann gémis. Yoann me force à mettre sa queue plus profond dans ma gorge.
 
-"Vas-y doucement Yoann".
-"Excuse, je suis tellement excité".
 
Je me relève. On continue à s'embrasse. Yoann m'allonge sur mon lit. Il lève mes fesses. Il embrasse ma rondelle. Il saisit son lubrifiant et me pénètre (Après un test des IST, on a entrepris des relations sans capote). Ses va-et-vients chauffent mon trou. Yoann commence à transpirer. Il met beaucoup de force.
 
-"Doucement Yo. Tu me fais mal."
-"Pardon!!"
 
Tout en me pénétrant, il me masturbe. On jouit ensemble  . Il retombe sur moi et m'embrasse.
 
-"Bon je vais rentrer maintenant".
-"Quoi? Je sais que j'ai du travail mais reste au moins aujourd'hui. On passe la journée ensemble. Je bosserais cette nuit."
-"Je vais voir Maxence jouer cette après-midi".
-"Ah ok!!"
 
Après une douche, on s'habille. Je raccompagne Yoann à une station de taxi.
 
Je l'embrasse.
 
-"Je te promets d'être avec toi le week-end prochain".
-"Ouais".
 
J'ai la nette impression que notre relation prends l'eau. J'aurais peut-être dû faire un effort avec Yoann.

 

a suivre


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Par thierrydeparis
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recit gay de tom

 

Chapitre 24 : Première journée de travail.
 
Mercredi-7h00
 
Je me réveille. Mon regard se tourne naturellement vers Yoann. Il me tourne le dos. Je me lève. Je range le matelas d'appoint. Je prends ma douche, je me rase. Je m'habille avec mon costume en col Mao (Je déteste les cravates). Je prends mon sac et je me dirige vers la maison. Tina est déjà en train de prendre son petit-déjeuner.
 
-"Bonjour Tina".
-"Bonjour Mitch".
-"Tu as bien dormi?"
-"La nuit a été un peu agitée".
-"ça va aller, ne t'en fait".
-"Ouais. Richard ne travaille pas aujourd'hui".
-"Non, il est d'astreinte. Allez on y va".
-"Ok"
 
On part au cabinet. Sur le chemin, je réfléchissais à ce que m'avez dit Tina hier soir. Une question me trotte dans la tête, si nous nous ressemblons physiquement, nous sommes différents d'un point de vue psychologique, doit-on rester ensemble?
 
Nous arrivons au cabinet. Je signe quelques papiers.
 
-"Tu assisteras à mes consultations mais tu es soumis au secret médical par la signature de ces clauses de confidentialité. Tu verras mes patients sont très différents et ils ont un point commun, ils ont subit de gros traumatismes."
-"Il n'y a pas de problème".
 
Pendant la journée, différents patients qui ont subit de gros traumatismes (viols, abus sexuels, accident de voiture, brûlés, femmes battues) se succèdent. Vers 16h00, arrive une femme avec son bébé. Elle vient consulté car elle a été battu par son mari.  
 
-"Je suis désolé docteur mais ma nourrisse est malade et je n'ai trouvé personne pour m'occuper de mon fils Thibault".
-"Je vais m'en occuper pendant votre consultation."
-"Merci Mitch".
-"Merci, je vous laisse ses affaires".
 
Pendant la consultation, je m'occupe de Thibault. Il est mignon. Il rigole, il gazouille. Un vrai rayon de soleil dans cette journée. Je lui donne son biberon. Il fait son petit rot. Je le change. Il s'endort dans mes bras. A la fin de la consultation, sa maman le récupère.
 
-"Merci Monsieur".
-"De rien. Bonne journée Madame".
-"Bon allez Mitch, on rentre à la maison"
 
On ferme le cabinet et on part à la maison.
 
-"Qu'as-tu pensé de cette journée?"
-"Honnêtement, elle a été riche en souffrances".
-"Veux-tu que je t'aide à canaliser ton empathie?"
-"Oui je veux bien!!!"
-"Tu sais bien t'y prendre avec les bébés."
-"Ils sont tellement mignons et innocents".
-"Tu aimerais avoir des enfants".
 
Je souris.
 
-"Dans ma situation, cela va être difficile. Mais je n'exclus pas d'adopter un enfant."
-"ça y est on est arrivé".
 
Tina gare la voiture. On rentre dans la maison. Tina embrasse son mari.
 
-"Bonjour Chéri, ça va? Tu as passé une bonne journée?".
-"Bonjour mon coeur. Moi ça va."
 
Yoann est dans le salon. Je m'avance vers lui, je lui passe la main dans les cheveux.
 
-"Lâche-moi".
 
Il se lève et va à son studio. Je souffle.
 
-"Il faut que tu lui parles".
-"J'y vais".
 
J'entre dans le studio. Je pose mon sac.
 
-"Il faut que je te parles".
-"Moi, je n'ai pas envie de te parler."
 
Il tente de sortir. Je l'empoigne et je le plaque contre la porte.  
 
-"Si tu ne veux pas me parler ok mais écoute moi au moins. J'ai besoin de ce stage, de ce travail à la rentrée, de cette chambre pour être à côté de la fac. Je vais avoir beaucoup travail mais je te promets de garder du temps pour toi, pour nous, pour que l'on s'amuse ensemble. Je te promets d'être là pour toi. Je ne te promets pas que l'on sera tout le temps d'accord. La seule chose que je sais aujourd'hui c'est que je tiens à toi. Dis-moi si tu veux que je reste avec toi sinon je m'en vais. Je te laisse le temps que tu a besoin"
 
Il me repousse et s'en va vers la piscine. Je suis plus doué pour aider les autres que moi-même.  
 
Je me déshabille, je prends une douche. Je me sèche, je m'habille d'un sweat, d'un bermuda et j'enfile mes tongs.
Je me dirige vers la maison et j'aide Tina en cuisine.
 
-"Alors?"
-"Il ne veut pas me parler. Je lui expliquais que j'aurais beaucoup de travail mais que je consacrerais du temps à lui et à notre relation. Je lui ai demandé qu'il me donne une décision vis-à-vis de notre couple."
-"La balle est dans son camp".
-"Si ça réponse est négative ou s'il ne m'en donne pas, je partirais, j'emménagerai dans ma chambre de cité U".
-"Ok"
 
Pendant le repas, Yoann ne parle pas, même pas à ses parents. Après le repas, il pars au studio. Je reste regarder la télé avec ses parents. Puis je pars me coucher. Arriver au studio, Yoann est sur son lit en caleçon et il écoute de la musique avec son casque sur les oreilles. Je me déshabille. Je ne trouve pas le matelas d'appoint. Dois-je prendre çà pour une réponse? Je prends ma couverture et je repars vers la maison. Quand soudain, Yoann me plaque à son tour contre la porte.
 
-"Ecoute-moi bien."
-"Oui..."
 
Il m'embrasse pour me faire taire.
 
-"Je comprends que tu dois travailler énormément parce que tu n'as plus tes parents derrière toi. Je sais que je peux être un petit con parfois..."
-"Oui mais".
 
Il m'embrasse pour me faire taire, à nouveau.
 
-"C'est vrai que j'ai tendance à faire l'ado capricieux alors que j'ai 20 ans et que je devrais avoir un certain nombre de préoccupations, étude, boulot. Je tiens à toi, moi aussi. Je te promets d'être là pour toi et pour nous. Notre relation est jeune, j'essayerais de la consolider avec toi."
 
Cette fois si, c'est moi qui l'embrasse. Nos larmes se mélangent. On se couche sur le lit, on s'enlace et on s'embrasse.  
 
-"Au fait, tu es sex avec ton costume".

 

 

a suivre


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