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Par thierrydeparis
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recit gay de tom

 

Chapitre 5: La révélation


Les rayons de soleil pénètrent dans le studio et viennent réchauffer nos corps à demi-nus. Nos jambes se sont entrelacées. Nos têtes sont côte-à-côte. Mon bras gauche est sous sa tête et mon bras droit sur son généreux ventre. Ma main droite est  dans sa main gauche. Je me réveille. J'embrasse Yoann sur le front. Il se réveille à sont tour.
-"Pardon pour cette nuit. Je suis désolé."
-"Tu n'as pas à t'excuser."
Nos deux corps commencent à se dissocier. Nous nous relevons le dos contre la tête de lit.  
-"Mitch, tu peux m'aider à monter le draps, il fait frais ce matin".
-"Ok pas de pb"
Je remonte le drap jusqu'à la ceinture.  
-"Je…Je n'ai pas eu un accident de scooter mais…"
Il commence à pleurer. Je lui prends la main.  
-"Prends ton temps. Je veux t'aider."
-"Ok. Après que l'on se soit rencontrer sur internet. Comme tu étais en vacance, j'ai continué à chercher quelqu'un. J'ai trouvé un mec sympa, Mika. Il m'a proposé un rendez-vous dans le parc d'Ys. J'y suis allé en scooter. Je ne savais pas que ce parc est celui des RDV gays. On se rencontre. On se balade et on se fixe à l'ombre d'un pin. On se caresse, se touche et on s'embrasse. La nuit commence à tomber, quand soudain…"
Il recommence à pleurer.
-"Prends ton temps, je suis là"


-"Un groupe de 7 jeunes arrivent. Des casseurs de PD comment on dit. Ils nous rouent de coups. Mika a réussi à prendre rapidement la fuite. Ils m'ont tabassé, roué de coups de pieds et de poings. Ils m'ont déshabillé. Ils m'ont uriné dessus. Un jeune couple gay qui passaient son venu à mon secours. Ils m'ont aidé à me rhabiller. Ils voulaient que j'aille porter plainte mais je ne pouvais pas car cela signifier que je devais dévoiler ma sexualité à ma famille et à mes amis. Ils m'ont amenés chez eux. J'ai pu me laver pour me débarrasser de l'urine. Ils m'ont proposé de dormir chez eux. Mais je me suis habillé et je suis rentré à la maison. Avant d'arriver à la maison, j'ai volontairement foncé sur un arbre pour abimer le scooter pour faire croire à un accident. Voilà tu sais tout."
Il s'effondre à nouveau dans mes bras. Je le serre contre moi. Les larmes perlent sur la fourrure de mon ventre.
-"Je suis désolé. Si j'avais su. Je comprends ta colère et ta peur dans tes yeux. Je comprends pourquoi tu ne veux pas que l'on te touche. Maintenant, je suis là et je vais t'aider."
Il me regarde avec ses yeux humides.
Chapitre 6: Le début d'une histoire
-"Merci. Il faut que tu ailles dans ton lit, mon père va arriver pour m'aider à faire ma toilette."
-"Je vais t'aider à te laver".
-"Mais…"
-"Je ne sois pas gêné. En plus on sait déjà vu à poils"
 
-"Ok"
Il esquissa un sourire sur son beau visage rond.
Je me lève.
-"Reste coucher, je vais te faire couler un bain".
-"Ok merci".
Quelques minutes plus tard, je l'aide à aller dans sa salle de bain. Son père entre alors que nous atteignons la salle de bains.
-"Bonjour Mitch. Bonjour fiston. Vous êtes déjà debout."
-"Bonjour Richard"
-"Bonjour papa"
Son père est surpris. En effet, le regard de son fils a changé. Il y avait moins de peur et moins de colère. Mais il ne compris pas ce qu'il s'était passé.
-"Mitch, je vais prendre le relais."
-"Ne vous inquiétez pas, je peux le faire".
-"Oui, papa. Mon copain va m'aider".
Les visages de son père et le mien s'illuminent à l'écoute du mot copain.
-"Ok, je vous laisse mes grands. Je passerai tout l'heure."
Une fois dans la salle de bains, Yoann quitte son caleçon et je l'aide à enjamber la baignoire.  
-"Merci"
Il commence à se laver, je constate qu'il a du mal se laver le dos et sa jambe blessée.
-"Je vais t'aider".
Je prends son éponge et je la plonge dans le bain. Je lui nettoie le dos délicatement. Yoann semble détendu.
-"Merci, ça me fait du bien."
-"Avec tes poils, on dirait un gros nounous mouillé."
-"Arrête de déconner".
Puis, je lui lave sa jambe blessée. En remontant le jambe vers l'aine, j'ai touché par mégarde son sexe.  
-"Pardon, je suis désolé. Je ne voulais pas…"
-"Ce n'est pas grave !!!"
Aussitôt je vis son sexe en érection sortir de l'eau.
-"Euh pardon, c'est à m'excuser!!"
-"Non c'est pas grave."
Je sens mon sexe se durcir dans mon caleçon. Je redonne l'éponge à Yoann. Au lieu de prendre l'éponge, il me saisit le poignée et attire mon visage vers le sien. Il m'embrasse.
-"Merci de m'aider, merci d'être là"
-"Tu n'as pas à me remercier. Un copain s'est là pour ça."
-"Tu me rejoins dans le bain"
-"Ok"
J'enlève mon caleçon. Je mets ma main devant mon sexe en érection. Avec un sourire, Yoann me dit:
-"Mitch, on s'est déjà vu à poils"
-"Très drôle"
Dans le bain, nos deux corps ronds et poilu se frôlent. On s'amuse avec la mousse du bain. Son père entra de nouveau dans le studio.
-"Alors je vois que vous vous amusez bien. "
-"Oui papa tout va bien. "
-"Vous voulez venir à la pêche où vous souhaitez entre vous aujourd'hui".
Nos regards se croisent.
-"Papa, on ira à la pêche demain. Nous allons faire plus ample connaissances entre nouveaux potes".
-"Ok à ce soir. Vous avez la maison pour vous. Ta mère et ta sœur viennent avec moi. Mitch occupe toi bien de mon fils."


-"Ok Monsieur".
Alors que je regardais son père partir. Yoann s'était rapproché de moi. Il m'embrasse. Nos corps s'entrelacent près à fusionner. On se caresse. Alors que Yoann commence à descendre sa main vers mon bas-ventre, il s'arrête net.
-"Je ne peux pas".
-"Je ne te demande rien. Et nous avons le temps. Tout notre temps."
On reste quelques heures dans le bain, lui adossé à moi.
On sort du bain. Nous nous séchons mutuellement.
-"Je te prête un de mes shorts de bain. Comme ça on pourra se baigner dans la piscine."
-"OK pas de pb"
Nous partons vers la maison. Yoann me fait un méga petit déjeuner. On s'assoit à la table du jardin.
-"Mitch je te propose de nous baigner dans la piscine et de bronzer". Je te propose de regarder le match de rugby Toulouse-Paris. Ça te va?"
-"Très bon programme chef"
-"Tu parles de moi, mais tu es un bon gros nounours, toi aussi"
-"Je prends çà pour un compliment".
L'après-midi se déroule bien. Nous nous baignons et bronzons. Vers 13h nous rejoignons son studio. On s'allonge côte à côte dans son lit. Après quelques baisers et caresses échangés, on s'endormi.
Yoann se réveille le premier. Il m'embrasse pour me réveiller. Je lui rends son baiser. On s'enlace et on se caresse. Nos sexes sont tendus. A nouveau, la main de Yoann quitta ma main pour aller vers mon bas-ventre.
-"Yoan, tu n'es pas obligé et on a le temps".
-"J'ai envie de le faire avec toi".
Il glissa sa main dans mon short et se saisis de ma queue. Il commence à me masturber. Il enlève mon short. Je caresse son dos en l'embrassant. Je passe mes mains sur ses fesses et je lui enlève son short. Nous voilà nus, sur son lit. Nos corps s'agitent. On se masturbe mutuellement. Lui sur le dos, je l'embrasse, je baise son ventre, sa toison. Je lèche ses tétons. Je descends vers son sexe. Je commence à le masturber et je gobe sa queue. Je le suce.  
-"Arrête, je vais éjaculer."
-"Ok, éjacule sur moi"
Je le finis en le masturbant. Dans un râle puissant, son foutre inonde ma toison. Je me tombe avec douceur sur lui. Il m'embrasse et me retourne sur le dos. A son tour, il me fait une fellation dont la purée finit dans cri jouissif sur la toison de Yoann. Yoann s'allonge à côté de moi. On s'embrasse.
-"Pour le reste, je ne peux pas".
-"Je t'ai déjà dit que nous avons le temps. L'essentiel s'est d'être ensemble"
Nous nous levons et nous nous douchons ensemble. En sortant de son studio, nous nous rendons compte que ses parents sont revenus. Le week-end s'est super bien passé. Nous avons continué à nous connaître et pour le reste nous avons décidé de prendre notre temps.  
Le dimanche soir, mon père est venu me rechercher. Avant de partir, Richard a voulu me voir en privé.  
-"Merci"
-"Merci pourquoi?"
-"Pour avoir rendu son sourire à mon fils. Il est plus heureux maintenant."
-"De rien mais c'est le rôle d'un copain. Je l'aime bien votre fils"
-"Je sais que vous vous aimez" (il a un sourire en coin)
-"Euh que voulez-vous dire??
-"Samedi matin, quand je vous ai laissé dans votre bain. Je suis revenu sur mes pas pour te dire que ton père avait amené tes vêtements. Je vous surpris en train de vous embrassez. Samedi après-midi, nous sommes rentrés plus tôt que prévu. Et quand je suis descendu, vous étiez nu sur son lit en train de rire."
-"Ah Euh…"
-"Je me doutais que mon fils était gay. Je pense qu'il n'a jamais eu d'accident de scooter mais un passage à tabac en règle pour des homophobes. Il ne m'a rien dit mais un père  ressent ces choses là".
-"Je vous promets de le rendre heureux. Le jour où il sera prêt, il vous parlera. Il faut laisser du temps au temps."
-"Merci. Ton père t'appelle. Ne t'inquiète votre relation restera entre toi et moi."
-"OK merci. Je vais dire au revoir à Yoyo".
Il me salue.
-"Tu pars. Tu me laisses"
-"Non je ne te laisse pas. Je t'emmène dans mon cœur. On se revoit la semaine prochaine. Tes parents m'ont invité à nouveau. On essayera de s'organiser pour les vacances";
-"ok"
On s'embrasse.

 

 

Chapitre 6: Le père de Yoann


 
Mon dieu que la semaine fut longue. Chez moi ou à la fac, je ne pensais qu'à Yoann et à ce qu'il avait enduré. Enfin vendredi soir, je fais mon sac et j'embarque dans la voiture de mon père. Dans la voiture, je en fais que regarder ma montre: 55 min, 50 min, 40 min...
 
-"Tu es pressé de retrouver Yoann"
-"Euh non, enfin si".
-"Oui, non tête de cochon"
-"Tu as fait l'école du rire papa. En fait il y a un match de rugby et une compétition d'équitation qui est retransmis sur une chaîne du câble que possède Richard, qui commence dans 45 minutes."
-"Ah ok. Vous allez faire quoi ce week-end. Je dois faire du soutien en biochimie et biologie moléculaire pour Yoann. Et lui m'aider en physique."
-"Plaisir et travail. Super programme."
 
Enfin, nous sommes arrivés. Je descends de la voiture. Je tappe la bise à mon père.
-"Tchao à dimanche soir".
-"Salut Richard"
-"Salut Mitch, tu as le diable aux trousses".
-"Yoann est là?"
-"Nous passerons un week-end entre hommes. Mon épouse et ma fille sont parties voire la soeur de ma femme qui vient d'avoir un petit garçon".
-"Ok, pas de pb".
-"Yoyo est dans le salon".
Je vais à grands pas vers le salon.
 
-"Salut Yoyo"
-"Salut Mitch"
Nous voilà comme deux ronds de flan, en train de nous regarder sans bouger. Je m'avance vers lui. Il s'avance vers moi. Avec sa main, il frôle ma main et me caresse la joue. Je fais un pas de plus. Je lui caresse à mon tour sa joue et ses cheveux. Il avait une barbe de deux jours. Nos lèvres se frôlent. On s'embrasse. Il me serre contre lui. Front contre contre, j'arrête de l'embrasser.
-"ça va mieux, d'après ce que je vois"
-"Oui merci à toi".
Autour de nous personne n'existe. Nous n'entendons pas la voiture de mon père partir et Richard entrer dans le salon.
-"ça va les garçons".
-"Euh papa, je vais t'expliquer. Je... je dois te... te dire que".
-"Je sais"
-"Tu sais? C'est toi qu'il lui a dit".
-"Sois pas stupide, mes parents ne le savent pas, je n'allais pas prévenir les tiens. Il a deviné".
-"Mais tu sais quoi au fait???"
-"Je sais que tu es plus heureux, plus souriant depuis que tu as rencontré Mitch. Vous êtes ensemble et alors".
-"Tu n'es pas déçu. Mais comment tu sais?"
-"Non, je ne suis pas déçu. Moi ce que je veux c'est que mes enfants soient heureux."
Son père s'avance vers lui et le prends dans ses bras.
-"Merci papa".
-"Je t'aime, fiston. Je sais que tu me caches autre chose mais prends ton temps pour m'en parler."
-"Prends le temps, ça me dit quelque chose".
 
Il se tourne vers moi et me fait un clin d'oeil.
 
-"Mais tu ne m'a toujours pas dit comment tu sais comment on est ensemble et ce que tu as fait cet après-midi dans mon studio".
-"En effet, je vous ai surpris à deux reprises le week-end dernier".
-"Surpris. Mais quand tu veux dire surpris, tu veux dire surpris , surpris".
-"Oui en train de vous embrassez dans le bain et nus sur le lit".
 
Il me regarde.
 
-"Pas top discret, tout ça, Mitch".
 
On éclate de rire.  
 
-"ça fait du bien de t'entendre rire, fiston."
-"Tu as fait quoi dans mon studio"
-"j'ai posé des rideaux opaques aux fenêtres, j'ai remplacé ton lit. Il est plus bas et a deux places (il nous fait un clin d'oeil). J'ai mis une serrure à ta porte."
-"Merci, chef".
-"De rien. Bon allez amener les affaires de Mitch au studio".
-"Ok"
 
On descend jusqu'au studio.
 
-"Super les aménagements de ton père."
 
Je me tourne vers lui. Il est assis sur son nouveau lit, la tête dans ses mains.
 
-"Mais pourquoi tu pleures?"
 
Je m'avance vers lui et je m'assois à ses côtés. Je le prends dans mes bras.
 
-"ces larmes de joie. Je ne pensais pas mon père l'aurait si bien pris. Tu sais, il est militaire."
-"C'est con, mais je ne vois pas le lien".
-"Ben le côté viril, tu vois quoi".
-"Oui je vois ce que tu veux dire. C'est un peu comme les rugbyman"
 
Il me regarde et on éclate de rire.
 
-"Merci d'être là"
 
On s'embrasse.  
 
-"Tu veux faire quoi. Le match de rugby commence à 20h30 et il est 19h30. Mon père va commander des pizzas et les bières sont frigos".(oui j'ai menti à mon père)
-"On va s'amuser dans la piscine"
-"Ok"
 
On se déshabille et on met nos shorts de bain. On part en direction de la piscine.  
 
-"Papa, on se baigne dans la piscine".
-"Ok, les pizzas arrivent dans 45 min."
-"D'ac"
 
J'aide Yoyo à descendre les marches de la piscine. On s'amuse comme des fous ou des nounours mouillés. De temps en temps, on s'embrasse sous le regard complice de son père qui nous mitraille avec son appareil photo.
 
-"Attends, j'ai une idée. Papa, tu peux m'aider à sortir, STP".
-"Ok".
Son père n'avait rien vu venir. Habillé de la tête au pied, il atterrit dans la piscine. On éclate de rire. Son père retire sa chemise et ses tongs et vient s'amuser avec nous dans piscine. Un moment plus tard, on sonne à la porte.
 
-"ça doit être le livreur de pizza. Sortez et séchez vous le match va commencer."
-"OK!!!!"
 
On sort de la piscine et on se sèche mutuellement. On prends la direction du salon. Son père s'installe sur le fauteuil et nous laisse le canapé. Les pizzas et les bières sont sur la table basse. Pendant le match, on s'éclate, on rigole, on crit et on se dispute pour les points. Le match s'éternise. On avance le deuxième canapé pour allonger nos jambes (surtout celle de Yoann). Je m'assoupis sur l'épaule de Yoann. Ma tête atterrit sur les genous de Yoyo. Je suis bien sur lui.  
 
-"Vous êtes dépensé dans la piscine. Il est vidé. En plus, son père m'a dit que ses examens à la fac ont été durs".
-"Oui me l'a dit".
 
Ils continuent à regarder le match. C'est au tour de Yoann de s'endormir. La fin du match est là. Richard éteint la télé et nous met une couverture dessus.
 
-"Bonne nuit mes grands"

 

a suivre


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Site de rencontre


Je m'appelle Mitch. Je suis ce que l'on appelle un chubby bear, c'est-à-dire un jeune homme de 20 ans enveloppé (100 kg) et poilu. Ne trouvant pas l'être élu, par les méthodes traditionnelles, j'entrepris de m'inscrire sur un célèbre site de rencontre gay. J'établis un profil honnête: Jeune homme, gay, 20 ans, enveloppé ou gros (100 kg) et poilu, recherche homme même profil pour premières expériences sexuelles. Après 3 jours, je reçois une proposition: "Je m'appelle Yoann et j'ai 20 ans aussi. Je suis enveloppé et très poilu (chubby bear). Je recherche quelqu'un pour des premiers rapports sexuels. C'est donc un plan cul sans prise de tête que je cherche et plus si affinités.

Je m'empresse de me connecter sur msn. Je lui envoie un mail d'invitation. Quelques heures plus tard, il se connecte:
-"Salut Mitch"
-"Salut Yoann"
-"Mitch, tu me parlais un peu plus de toi"
-"Comme toi, je suis un jeune homme de 20 ans, très enveloppé et poilu, et je suis toujours vierge. Je suis plus intellect que sportif. Je suis étudiant en droit et j'aime le cinéma, la littérature… et TOI??"
-"En ce qui me concerne, j'ai un profil similaire au tien. Je suis en BTS et je fais du rugby tous les week-ends. Veux-tu que l'on se connecte avec la wecam?"
-"Je suis sur Mac et ma version de msn ne me permet d'utiliser ma web cam. Veux-tu que l'on s'échange des photos?"
-"ok pas de pb. Habillé ou nu??"
-" Les deux mon colonel".


Il m'envoie deux photos: une où il est à la plage en short de bain avec des amis  et une autre où il est nu dans une chambre avec une légère érection. Il fait la même taille que moi. Il est un peu moins gros que moi mais plus poilu. Un vrai nounous.
-"Tu es un beau nounous avec une charmante érection."
-"ça te choque?"
-"Non te bile pas."
-"Pourquoi tu cherches quelqu'un comme toi ou moi".
-"Je serai honnête. Je cherche quelqu'un qui ne souhaite pas je faire un puceau ou un gros. J'ai une de nombreux de refus de la part de personnes qui apprécie de parler avec moi et dès qu'il voit une de mes photos, je n'ai pas de nouvelles ou un refus. Donc je cherche quelqu'un qui me ressemble?"
-"Oui, je comprends. Je suis dans la même situation que toi. Je prends régulièrement des râteaux".
-"Tu veux que l'on se rencontre?"
-"Ok, je ne te promets rien".
-"Pas de problème. Je suis actuellement en congés. Je rencontre la semaine prochaine. Je te propose mercredi 14h devant la gare."
-"Ok mais comme la gare c'est grand, je te propose devant le MacDo de la gare."
-"Ok , tu as raison à Mercredi."
-"@+"
-"Bye"

 

Chapitre 2: La rencontre


Anxieux, je me prépare chez moi. Je mets un jeans, une chemise blanche et mes tongs. Je pars pour le MacDo de la gare. Il est 13h45, j'ai un peu d'avance. Je prends un café au MacDO en attendant. 14h00 arrive, toujours personne. Les heures défilent et toujours personnes. Persévérant, j'attends jusqu'à 17h00. Je rentre chez moi déçu et en colère. Je me connecte sur msn. Il n'est pas connecté. Je lui laisse un mail.
"Salut Yoann, je suis déçu que tu ne sois pas venu. J'espère que tout va bien. As-tu eu un problème? Ou as-tu renoncé à me voir? Je suis déçu. Réponds-moi vite. @+ Mitch."
Après un mois, toujours pas de nouvelles. Je fais une croix sur Yoann. Dommage car il m'avait bien plus.
 
Chapitre 3: Soirée chez amis de mes parents


Les vacances d'été sont arrivées. Mes parents annoncent que vendredi soir nous dînons chez de vieux amis de mes parents. Vendredi soir arrive, j'ai envie d'y aller comme une envie de me prendre. Je me prépare : jean, chemise bleu, et tongs. J'embarque dans la voiture de mes parents. Après, une heure de route, nous sommes arrivés. La maison ou plutôt la ferme est magnifique. Un couple d'amis de mes parents sort de la ferme.
-"Bonjour, Robert et Claire (c'est les prénoms de mes parents)".
-"Bonjour Richard et Tina. Comment allez-vous?".
-"Très bien et vous?".
-"Très bien. Ça plaisir de vous voir. C'est vos deux enfants?
-"Oui, je te présente mon fils Mitch et ma fille Mathilde".
-"Bonjour à tous les deux. Nous avons deux enfants nous aussi. Nous allons vous les présenter, ils sont à l'intérieur".
Nous entrons dans le salon et nous ressortons dans le jardin de derrière. Une magnifique table a été dressée et le barbecue est prêt. En face du jardin, il y a une grande dépendance.  
-"Je vous présente ma fille, Lola".
Nous embrassons chacun à notre tour la jeune fille. Elle nous servit à boire. Je discute avec Richard de pêche. Quand soudain:
-"Enfin, mon fils se montre. Je te présente mon fils Yoann."
Je me retourne et je découvre Yoann. Pas n'importe quel Yoann. Yoann, le garçon que j'ai rencontré sur le site de rencontre. Nous devenons aussi blanc que la nappe de la table et de la peur se lit dans nos yeux. Nos regards sont fuyants. Sous le choc, je laisse tomber mon verre.
-"Merde. Excusez-moi Tina".
-"Ce n'est pas grave. Tiens en voilà un autre".


Personne n'avait vu notre malaise. Yoann est presque comme sur les photos. Il porte une chemise blanche à manche longue, un jeans et des tongs. Je m'aperçois qu'il a une béquille et quelques points sur la tempe gauche. Pour essayer de briser la glace, je me présente:
-"Salut Yoann. Je m'appelle Mitch."
-"Euh…"
-"Tu ne sais plus comment tu t'appelles, frangin!!!".
-"Pardon, salut, je m'appelle Yoann".
En serrant nos mains, nos yeux se croisent. Je pouvais lire un sentiment de peur et de colère dans ses yeux noirs.  
Nous nous asseyons à table. Nous échangeons des banalités. Yoann ne parle pas. Enfin de repas, le père de Yoann m'adressa la parole en aparté.
-"Je te pris d'excuser mon fils mais il a eu un accident de scooter il y a quelque temps. Et ça la marquer psychologiquement. Je pensais que vous auriez discuté et serez devenu amis".
-"Ne vous inquiétez pas, Richard. La soirée n'est pas finie."
Je sentis dans ces quelques mots que le père de Yoann se faisait du soucis pour lui. En rangeant la table à la fin du repas, Yoann fit tomber une assiette sale sur moi.
-"Merde, je suis désolé".
-"Ce n'est pas grave, Yoann".
Je l'aide à ramasser les morceaux. Alors que nous allions ramasser le même morceau d'assiette, nos mains se frôlent. Il retire violent sa main, se lève rapidement et fais un pas en arrière. Je ne comprends pas ce qui se passe. Sa mère sort du salon.  
-"Yoann, prête un de tes T-shirts à Mitch. Il ne va rester comme ça!!"
-"Ce n'est pas grave, Tina".
-"Non, j'y tiens. Allez Yoann réveille-toi un peu".
-"Oui, maman. Viens on va à la dépendance, c'est ma chambre".
Nous allons jusqu'à la dépendance. J'entre dans son studio: sa chambre est spacieuse. Il a un lit à gauche en entrant dans son studio; au centre, un mini salon; et à droite, une salle de bain. Les murs sont recouverts de posters de joueurs de rugby et chevaux. Un vrai petit nid douillé!!!  


-"Tiens voilà un T-shirt".
Alors que je défais ma chemise, Yoann se retourne. Je mets le T-shirt. Je m'approche de lui et je lui mets la main sur l'épaule
-"Tu sais, on sait déjà vu nu sur nos photos".
Il se tourne, ses yeux plein de colère et il me décoche une droite. Je me retrouve le cul par terre. Je me relève.
-"Bon dieu, mais pourquoi as-tu fais çà?"
-"Ne me touche pas!!!"
-"Mais qu'est-ce qu'il t'ai arrivé!!!. Il y a plus d'un mois, on se rencontre sur le net. On s'échange des photos. Apparemment, on se plait. On se fixe un RDV. Tu ne viens pas. Je viens ici ce soir. On se retrouve. A peine, on s'est vu, nous devenons blanc comme ton T-shirt. Pour ça j'ai une explication: je pense que nous sommes les seuls ce soir à savoir que nous sommes gays tous les deux. Vrai ou Faux. Je te vois avec une béquille et ton père m'annonce que tu as eu un accident. Donc je pense que c'est pour cette raison que tu n'as pas pu venir à notre RDV. Vrai ou Faux. Réponds-moi!! Dis quelque chose!!".
-"Arrêtes de crier!!! Oui tu as raison, Oui tu me plais, Oui mes parents et mes amis ne savent pas que je suis gay, oui c'est à cause de l'accident que je n'ai pas pu venir au RDV. OUI, OUI et OUI"
-"Ok, pourquoi tu ne m'as pas recontacté? Pourquoi il y a tant de colère et de peur dans des yeux "??
-"Je ne peux rien te dire".
Il me pousse et sort de son studio. Il prend la direction du jardin. Ah mon tour, je rejoins nos familles. Pour finir la soirée, nous étions assis sur la terrasse à boire un dernier verre. Le père de Yoann et moi discutions pêche.
-"Tu sais ce week-end je vais à la pêche avec Yoann. Tu veux venir?"
Je me tourne vers mes parents qui me donnent leur accord. Mon regard croise celui de Yoann. Désireux de comprendre cette colère et cette peur qui résident dans ses yeux. J'accepte.
-"Ok pas de probleme."


-"Tu dormiras dans le studio de Yoann ce soir et ce week-end."
Ça par contre, je ne l'avais pas vu venir. La soirée se termine. Ma famille s'en va.
-"Bon week-end fiston. Demain je passerais t'amener des vêtements de rechange".
-"Ok bonne route".
Me voilà seul ou presque avec Yoann.  
-"Bon les enfants. Il est temps d'aller au lit. Je descends avec vous à la dépendance, je vais préparer ton lit, Mitch."
Arriver au studio, j'aide le père de Yoann à faire le lit d'appoint. Le père de Yoann se retourne vers lui.
-"Veux-tu que je t'aide à te changer?"
-"Non merci papa. Il fait chaud, je vais dormir en caleçon".
-"OK, bonne nuit les garçons".
Son père repart vers la ferme. Je commence à me déshabiller. J'ai décidé de dormir en caleçon moi aussi. J'enlève le T-shirt de Yoann, mes tongs et mon pantalon. Je me baisse pour ramasser mon pantalon. En me relevant, je vois le corps de Yoann en caleçon par reflet sur une glace en face de moi. J'ai la chair de poule. Mes yeux écarquillés, je n'arrive pas à prononcer un mot à cause la vision effrayante du corps de Yoann. Son corps est recouvert d'hématomes et de lacérations. Je me retourne vers Yoann.
-"Ne dis rien, s'il te plaît".
Je m'approche de lui.
-"Mais qu'est-ce qui t'es arrivé?".
-"Ne bouge pas. Ne me regarde pas. S'il te plaît?"
Des sanglots sont présents dans sa voix.
-"Un accident de scooter n'a pas pu te mettre dans un état pareil".
-"Tais-toi, S'il te plaît. Je ne peux rien de dire. Il faut dormir maintenant".
Avec une certaine difficulté, il se mit dans son lit. Je me couche à mon tour. Je suis en pleine réflexion. Que lui est-il arrivé? Pourquoi au tant de colère??? Je m'endormis avec difficulté.
 
Chapitre 4: Une nuit d'horreur
Le calme de la nuit est brisé par des cris d'horreur. Je me lève d'un seul coup avec la chair de poule. Mon regard se tourne instantanément vers Yoann. Son sommeil est agité et il crie.
-"Non, lâchez-moi. Laissez-moi tranquille. Ah!!!!"
Je m'avance vers le lit de Yoann et j'assois au bord de son lit. Les hurlements reprirent et ses yeux pleurent.
-"Non, ne faites pas çà. NON!!!!
Je saisis les bras de Yoann et j'essaye de le réveiller.
-"Yoann, réveille-toi!!!"
Je suis caresse le visage et les cheveux. Je le secoue doucement.
-"Yoann, réveill-toi!!
Ses yeux humides s'ouvrent.  
-"Yoann, c'est Mitch."
-"Oui, c'est toi."
Surpris, il se jette dans mes bras et m'entoure de ses bras. Je fais de même. La tête sur mon épaule, il pleure à chaudes larmes. Je luis caresse le dos et la tête avec douceur.
-"Chut!! Calme-toi. Je suis là."
-"Merci"
-"Mais qu'est ce qu'on t'a fait?"
Dans un sanglot, il me dit:
-"Je ne peux pas… pas ce soir."
-"Recouche-toi. Calme-toi."
Je lui caresse la joue et lui essuie ses larmes.
-"Tu… tu peux… tu peux dormir avec moi"
-"Ok pas de probleme"
Je m'allonge à côté de lui. Je le serre dans mes bras. Il tient solidement mon bras. Nous pensons la nuit ainsi.

 

 

  a suivre

 

 


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Au pensionnat, les jours passaient. Les semaines se suivaient et les cours s’enchaînaient. Régulièrement, pour décompresser, les étudiants organisaient entre eux des moments à tendance très libertine dans leur chambre. Certains soirs, des cris de plaisir émanaient d’une porte, des orgasmes puissants faisaient écho dans les couloirs sombres de l’établissement. Les professeurs qui dormaient à l’étage devaient bien entendre ces bruits répétés. Pourtant, ils ne faisaient rien. Aucun d’eux n’est jamais descendu dans la fosse aux lions pour écouter de plus près ce spectacle. Non, aucun d’eux ne voulaient voir. Peut-être voulaient-ils continuer à imaginer les scènes, seuls, dans leur lit, la main passée sous le drap. Celle-ci caressant le torse puis allant masturber fermement leur sexe jusqu’à la jouissance totale. Sûrement devaient-ils s’endormir tendrement après, en même temps que les cris de l’étage inférieur devaient s’estomper. Voilà à quoi devaient ressembler les nuits au pensionnat.  


Au réveil, c’était comme si toute les traces nocturnes avaient disparues ou presque. Les élèves n’hésitaient pas à s’exhiber avec leurs habits parfois tâchés de semence. Les professeurs, quant à eux, faisaient semblants de rien et déviaient leur yeux de ces indices de débauche qui, parfois, les excitaient et qui, apportaient une turgescence à certains d’entre eux.
Les feuilles mortes d’octobre avaient laissés la place à novembre puis à décembre. Le vingt-cinq décembre était bientôt en vu sur le calendrier. Et, ceux qui pouvaient partir pour les vacances, rejoignaient leurs parents. Quant aux autres, ils iraient partir skier dans les Alpes. Nous étions le vingt-trois, le car patientait devant l’entrée du pensionnat. Les élèves restants avaient fait leurs bagages et attendaient dans la cour. Le directeur, M.Thib, M.Tim, le professeur de sport et M.Dam, l’infirmier accompagnèrent le groupe à la montagne. Ils montèrent tous dans le bus et prirent la route de leur villégiature. Quelques heures étaient nécessaires avant de rejoindre l’arrivée. Mais, bientôt, les sommets alpins apparurent à l’horizon. Puis, les virages se firent de plus en plus prononcés. La montée vers le château était proche et, chacun commença à se réveiller dans le car afin de profiter de la vue qui s’offrait au groupe. Enfin, les grilles ouvertes laissèrent passer le bus et le château, à flanc de montagne se dressait fièrement au-dessus de la vallée.
Un par un, les élèves descendirent du bus et prirent leurs affaires dans la soute à bagages. Le sol était recouvert d’une épaisse couverture blanche et la neige tombait doucement sur nos camarades émerveillés par le lieu. Soudainement, les portes du château s’ouvrirent. Le major d’homme de la demeure invita les jeunes à s’avancer afin de rentrer à l’abri. La nuit allait bientôt tomber, et, la fin de journée était réservée à l’installation dans les chambres avant de descendre pour le dîner qui était donné dans la salle de réception. Le château était entièrement pour eux et ils allaient en profiter.  


Ce soir, les esprits étaient bien trop fatigués pour organiser une soirée de bienvenue, comme ils disaient. En plus, le lendemain, ils allaient skier sur la poudreuse qui tomba durant la nuit. Au petit matin, le soleil radieux baignait la montagne de sa lumière vive. Et, les rideaux ouverts, ils réveillèrent brusquement les jeunes encore pleinement endormis. Certains se pressèrent de descendre prendre le petit-déjeuner afin de profiter au plus vite des joies de la glisse. Les autres prirent leur temps. Marc, en se levant remarqua une petite bosse sur le drap de Joss. Discrètement, il s’approcha du lit du préposé et empoigna la bosse dans ses mains et hurla au visage de Joss : « Alors, heureux ce matin ! ». Joss, dans sa bonne humeur habituelle, renvoya très vite Marc en lui jetant un cousin à la figure.
Une heure plus tard, tout le monde était prêt. La station n’était qu’à dix minutes à  pied. Les skis à la main, les lunettes sur les yeux, ils partirent en ligne vers le plaisir. Le téléphérique se présentait devant eux. Tour à tour, ils gravirent la montagne et arrivèrent au sommet. Ca y est, les joies du ski s’offraient à eux. Plus ou moins rapidement, ils descendirent la pente, montrant aux autres, de manière plus ou moins fière, leur façon de skier. Soudain, dans un portion plus plate, où  il allait moins vite, Marc entendit des cris plaintifs qui se dégageaient des arbres sur le côté. Il se dirigea vers eux et il aperçu quelqu’un à moitié allongé dans la neige. C’est alors qu’il reconnu Joss. Il lui demanda ce qu’il s’était passé. Celui-ci lui répondu qu’il avait dévié de la trajectoire et qu’il était parti tout droit dans les sapins. Marc aida alors Joss à se relever et à descendre le reste de la piste. Arrivé en bas, il croisa le directeur, à qui Marc expliqua la situation. M.Thib ordonna alors à Marc d’emmener Joss à l’infirmerie du château. Là-bas, M.Dam le soignerait.


Les deux jeunes hommes arrivèrent devant l’infirmerie. Marc frappa à la porte et l’infirmier ouvrit. Marc expliqua que Joss avait chuté et qu’il avait des douleurs multiples. M.Dam invita alors Joss à s’installer à l’intérieur et renvoya Marc s’amuser sur les pistes.  
M.Dam demanda à Joss de retirer les épaisseurs de vêtements qu’il avait sur lui afin de l’ausculter. Derrière le paravent, il demanda s’il devait tout enlever. M.Dam lui dit de rester en sous vêtement et qu’un fois fini, il devait s’installer sur la paillasse. Le médecin revint alors vers le jeune et remarqua quelque chose d’étrange. Aucune marque n’apparaissait sur le corps de Joss. Les épaules et les genoux étaient intacts. Aucun bleu n’était à déplorer. M.Dam  demanda alors à Joss où il avait mal. Joss montra alors au médecin une zone autour du nombril. Ce dernier appuya alors sur la zone, mais ne sentit aucune hémorragie. C’est à ce moment là que Joss pris la main de M.Dam et la descendit lentement vers son boxer jusqu’à sa bosse. Joss dit alors : « c’est là que j’ai mal ». Le médecin ne réagissait plus. Joss prit alors les devant et alla plaquer sa deuxième main sur l’entrejambe de son partenaire sentit alors quelque chose gonflé. Les choses étaient lancées. Les deux hommes s’embrassèrent alors fougueusement. Très vite, les vêtements volèrent. Les deux sexes tendus passèrent d’une bouche à l’autre puis d’un cul à l’autre. Il n’y avait aucun sentiment dans cet acte, aucun romantisme. Ce n’était qu’ébauche et bestial. Le sperme joui puissamment. Mais, rien n’y faisait. Il n’y avait dans cette pièce qu’une déperdition de testostérone et rien d’amour.

 

Les vacances de Noël étaient terminées. La neige n’était plus que passée. Chacun devait laisser derrière eux les affres du ski et des soirées, affalés dans des canapés, autour du feu. Il est vrai que lorsque personne n’était là, outre les élèves, quelques bonnes partouzes ont entaché le velours des canapés et les tissus des coussins. Le bon temps allait laisser place au retour à la normale, c'est-à-dire à la reprise des cours.
Nous étions lundi. Et, après une veille de rangement de sacs et de vêtements dans les vestiaires, les jeunes n’avaient pas vraiment l’envie de retourner en classe. Il y avait une légère tendance à la somnolence dans les dortoirs. Quelqu’un osaient se lever, aller prendre leur douche et s’habiller. D’autres, attendaient jusqu’au dernier moment pour se préparer. C’était le cas de Jean, qui, quinze minutes avant le début des cours, sauta de sont lit, rentra dans la douche, écossaise en plus, et alla vers son vestiaire. Et là, mauvaise surprise : aucun sous-vêtement de propre dans le casier. Et, ce n’était pas l’habitude de Jean d’aller renifler dans son paquet de linge sale, un habit encore portable ! Tant pis ! La journée sera « commando ».


Huit heures, le premier cours est celui de mathématiques. Jean est plutôt bon dans cette matière. Equations et graphiques ne lui font pas peur. D’habitude à l’aise avec les problèmes, aujourd’hui son comportement est différent. Cette chaleur au niveau de la cuisse a une forte tendance à le déranger. Il n’est pas habitué à ne rien porter sous lui. Il préfère nettement les boxers qui maintiennent l’ensemble.
Au fil des heures, Jean s’accoutuma à cette impression. Mais, celle-ci ne le laissait pas indifférent. Les différents frottements, au cours de la journée, avaient tendance à faire monter en lui une certaine excitation. Excitation qui, eu été maximale vers quinze heures, en plein cours de chimie.  
Cela était trop. Jean senti, soudain, sa queue prendre de l’ampleur. Délicatement allongé contre la cuisse, le sexe remonta le pantalon. Son gland fixait dès lors son voisin. Discrètement, il fit glisser sa main gauche vers le puits de chaleur. Il le caressa de plus en plus frénétiquement à tel point que son voisin, Kevin, le remarqua. Doucement, Kevin, à son tour, fit glisser sa main vers l’entrejambe de Jean. Une fois cette main délibérante sentie, Jean se laissa aller sous les caresses de l’invité. Kevin déboutonna alors le jeans de Jean et rentra sa main dans le coffre au trésor et y découvrit une tige bien droite qui n’attendait que la délivrance. Après plusieurs va et vient musclé, Jean éjacula dans la main de Kevin. Celui-ci le masturba jusqu’à ce la raideur laisse place à une douce et tendre queue. Il dégagea alors sa main et la frotta, au passage, sur la tee-shirt de Jean afin d’enlever la trace de son acte. Bien évidemment, en sortant, Jean s’attira tous les regards sur sont torse recouverts de semence blanche, à peine sèche.  
Depuis, Jean a pris, la bonne habitude, de renouveler quelques opérations commandos jusqu’à la fin de l’année.

 

fin


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Par thierrydeparis
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Deux adorables jeunes latinos dans la cuisine se posent l'éternelle question : Quoi manger pour déjeuner? En ouvrant le frigo, un des deux mecs aperçoit la bouteille de chantilly et décide de faire une blague a son amoureux. Il extirpe sa bite de son slip et met une bonne quantité de chantilly dessus puis se retourne et offre le repas improvisé a son conjoint.

 

Prenant la chose au sérieux, le brésilien s'agenouille et commence a déguster son repas qui se met aussitôt a gonfler et durcir. Surpris mais excité, l'amant se laisse pomper le dard à fond et ajoute aussi un dose de chantilly sur ses couilles. Mais un tel repas ne serait pas complet sans une sodomie en repas principal et une abondante éjaculation faciale comme dessert...

 

 

 

 


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Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

L’histoire se déroule dans un pensionnat de garçons. Cette école avait pour habitude d’inculquer aux jeunes hommes tout ce qu’un père de famille doit être. C’est, pour cette raison, qu’en plus des cours traditionnels de français ou autre, le directeur tenait grandement au sport très physique. Football, aviron ou tennis se succédaient. Des cours de musculation ponctuaient régulièrement l’entraînement. Et, c’est dans toute cette atmosphère humide, remplie de testostérone, que des ébats entre garçons avaient régulièrement lieu dans les vestiaires et dans les chambrées.  
 
C’était le début d’année. On présenta aux dernières années le nouveau professeur de sport. La différence d’âge était bien faible entre M. Timoïc, 25 ans, et ses jeunes élèves, qui eux ne devaient avoir à peine 20 ans. D’habitude, c’était un prof généralement bedonnant qui donnait des cours, mais, cette année, tout avait changé… Ce qui n’échappa pas aux élèves. Dès lors, ils soupçonnèrent l’ambiguïté de la sexualité de M. Tim.
 
Mais, avant de s’occuper de M. Tim, ils devaient tous fêter la rentrée dans les douches, sachant que leur premier cours était un de sport. Aujourd’hui, c’est course à pied. Chacun se rendit dans les vestiaires pour se changer. La tenue était la même pour tout le monde : un short et un tee-shirt. Pendant les 2 heures de course, ils en profitèrent pour observer le nouveau prof. Mais, son heure n’était pas venue. 11h30, le cours est interrompues. Il est l’heure de se changer…
Dans les vestiaires, tous les jeunes hommes retirèrent le haut. Certains, dont l’effort avait été intense, prônaient déjà une excitation dans leur short. Les jambes frottant l’une contre l’autre les avaient rendues vulnérables. Les garçons étaient tous dans la douche. L’attitude de certains laissait présager de la suite. Ils se savonnaient en se pinçant les tétons, se caressaient le torse et s’attardaient sur leur sexe. Personne n’osait partir à l’aventure, jusqu’à cet instant. Marc se dirigea alors vers Pierre et commença à l’embrasser. Les deux langues s’entrelaçaient, les mains se frottaient dans les cheveux. C’est Pierre qui prit le premier l’initiative. Il retira sa langue de la bouche de Marc et commença à lui biser son cou, ses épaules, son torse. Il mordilla tendrement les tétons en état d’excitation de Marc. Pierre ne cessait d’embrasser, après, les pectoraux et les abdominaux de Marc, recouverts d’une légère toison de jeune homme. Pierre aimait bien le goût salé de la peau encore suave.  


Marc gémissait devant ces préliminaires si agréables et si doux. Sa respiration était devant haletante, quand soudain, Pierre arriva à l’endroit tant espéré. De sa bouche, il happa le gland de Marc et le suça en tapotant sa langue sur le fruit rose. Puis, il enfila le sexe en entier dans sa bouche. Les va-et-vient étaient tantôt lents, tantôt rapide. Les mains de Pierre qui caressaient les bourses de Marc, glissèrent lentement vers ses fesses. Il les massa tout en continuant à sucer la queue tendue. De son index, Pierre pénétra lentement l’anus de Marc, ce qui le fît sursauter. Il émis un  petit cri de douleur. Mais, celui-ci se transforma en son délicat de plaisir au fur et à mesure que Pierre enfonçait son doigt. Et, quelques secondes plus tard, Marc n’en pouvait plus. Il cracha sa semence dans la bouche de Pierre. Le liquide débordait des lèvres et coula lentement le long du visage et perlait au niveau du menton. Pierre retira alors son doigt de l’anus. Et, c’est à ce moment là que les deux compères se rendirent compte que tous les autres les avaient observés en se masturbant et qu’ainsi, une mare de sperme s’était formée autour du couple.

 

La semaine suivante, il était temps de tester M. Tim. Depuis plusieurs jours, les jeunes hommes s’entretenaient tous les soirs afin de monter un stratagème pour tester le prof de sport. Après mûres réflexions, le scénario était ficelé. Chacun avait un rôle bien déterminé. Il fallait que tout soit crédible. Nous étions alors à J-1.
Jour J. Cette journée là, le cours était le dernier dans l’emploi du temps. Les heures défilèrent et le complot se tramait. Aujourd’hui, c’était musculation.
Rien ne se passa pendant le cours. Tout viendrait après. Lorsque la sonnerie de fin de cours retentit, tout le monde se remémore ce qu’il a à faire en entrant dans les vestiaires. Seul un reste à l’extérieur afin de surveiller M. Tim qui, seul, rangeait des haltères et autres accessoires. Quand celui-ci eu fini, il se rendit dans le vestiaires des profs pour se changer. A ce moment là, celui qui le surveillait, Franck, coura dans le vestiaire afin de prévenir les reste de ses camarades. Franck ressorti pour jeter un œil par la serrure afin de pénétrer dans le vestiaire du prof à un moment donné. Celui-ci arriva. Franck, d’un geste rapide, ouvrit la porte en faisant semblant d’être épuisé. En face de lui, M. Tim, ne portait qu’un boxer…


Franck raconta alors l’histoire : En allant prendre leur douche, un camarde, Etienne, s’était écroulé par terre. Les autres l’avaient assis alors sur le banc et il est à peine conscient ». En entendant cela, le prof parti en trombe sans prendre le temps de se rhabiller. Il déboula en trombe dans le vestiaire des garçons et vit le groupe faisant semblant de prêter attention à Etienne.  
Il demanda à tous de ses reculer. Il s’avança vers Etienne ; réputé pour son entrejambe proéminente, même au repos ; qui feignait dormir. M. Tim décida de l’allonger sur le banc. Il pencha son oreille sur Etienne pour voir si il respirait.  En posant sa joue contre la bouche d’Etienne, M. Tim senti une pression au niveau de son sexe. C’était Etienne qui avait plaqué sa main contre le boxer du prof. En chuchotant, il lui dit : «  M. Tim, je vois que ma queue ne vous laisse pas indifférent. ». Il est vrai qu’en voyant le bas ventre d’Etienne, le prof se sentait déjà moins à l’aise dans son boxer…
Que faire ? S’en aller en courant, en laissant une rumeur circulée dans l’internat ? Ou bien rester et gérer les réactions des autres ? M. Tim connaissait l’âge des jeunes gens. Ils avaient tous la vingtaine et lui en avait à peine 25. La décision fut vite prise.  


Après les paroles d’Etienne, M. Tim tourna légèrement sa tête et retrouva ses lèvres face à la bouche d’Etienne. Soudainement, les deux hommes s’embrassèrent. C’était la stupeur autour d’eux. Chacun était atterré. Mais, il n’allait pas laissés passer l’occasion d’une partouze improvisée, avec le prof de sport.
Ce fut un grand moment de débauche. Les sexes tendus passaient de bouche en bouche, de cul en cul. Le sperme jouissait à droite, à gauche, au dessus, au dessous. Des râles puissants s’échappaient de cette masse humaine. Des groupes plus petits se formaient puis se déformaient. Les partenaires baisaient tantôt avec un, tantôt avec un autre. Petit à petit, les bruits se sont estompés, les gens partaient et laissaient sur le sol les traces blanches de leur acte bestial. Seul, restait M. Tim, allongé sur le sol, les boxer en bas des chevilles, le torse recouvert du fluide de ses élèves, les yeux grands ouverts et la queue encore raide, d’où s’échappait encore un filet de sperme.

 

a suivre


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