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Par thierrydeparis
Communauté : gay video

recit gay de julien

fait comme lui envoi moi ton recit

 

 

Patrick pose son menton sur mon épaule et je me tords le cou pour l’embrasse. Je trouve sa bouche, je trouve sa langue, je trouve le plaisir et je trouve que ma queue est bien coincée dans mon boxer. Valentin nous regarde d’un air attendrit avant de nous lancer :
«Et les amoureux, vous pouvez vous embrasser en silence ? C’est pas Titanic qu’on regarde !»
Patrick sourit et je sens son souffle sur ma bouche.
-Serais-tu jaloux ? Le taquine Patrick
-Un peu que je suis jaloux. Laid comme tu es tu sors avec le plus beau mec du continent, alors que moi je suis tout seul comme un pauvre malheureux, répond Valentin en riant.
Patrick lui donne un coup de pied amical et Valentin fait mine de pleurer.  
Je découvre leur connivence, leur complicité amicale qui a grandit en même tant qu’ils ont grandi eux même. Je n’ai jamais eu cette union avec un pote.
J’embrasse à nouveau Patrick et je sens au creux de mes reins une bosse durcir et gonfler. Le souffle de Patrick et plus court. Je pose ma main sur le front de Valentin et avant même que j’ai pu lui caresser les cheveux il se redresse surpris de mon geste.
-Julien t’es bien sûr de ce que tu fais ? Gêné comme je ne l’ai jamais vu. Il lance un regard interrogateur à Patrick.  
Dans un silence à peine troublé par le film sur l’écran, Patrick approche sa bouche de mon oreille et me demande : «Tu en as envie ?»
J’hésite un instant puis répond à son murmure par un autre murmure :


-J’en ai envie si tu en as envie, dis-je avant de caresser son cou du bout de ma langue.
Valentin s’approche de moi à quatre pattes comme un félin et vient m’embrasser sur la joue. Je tourne un peu la tête et sa bouche atterrit sur la mienne. Patrick regarde notre baiser furtif, puis attrape doucement la nuque de Valentin. Celui-ci se laisse faire et quand ses lèvres rencontrent celle de Patrick, il sourit un peu intimidé.
-Putain, ça fait bizarre de t’embrasser Patrick, s’amuse t-il; mais avant que Patrick puisse répondre quoi que ce soit, c’est moi qui viens à l’assaut de leur bouche embrassant successivement Patrick puis Valentin. Je suis très excité et c’est peu de le dire. Patrick me repousse doucement et je m’allonge sur son lit. Il s’allonge sur moi et frotte son entrejambes sur ma queue qui ne demande qu’à être libérée.
J’ai envie d’être tout nu, de voir et sentir Valentin nu de sentir Patrick sur moi, sa queue dressée dans les poils fins de mon pubis. Patrick s’assoit sur mes cuisses et m’enlève mon tee-shirt. Mon torse nu et blanc est vraiment pas attirant mais pourtant, en un instant, les doigts et les bouches de Valentin et Patrick courent dessus. Leurs lèvres effleurent ma peau, leurs langues me font vibrer. Patrick retire aussi son tee-shirt et je vois les doigts un peu tremblants de Valentin caresser son ami d’enfance. Patrick m’abandonne un instant pour venir déshabiller Valentin. Je me joins à lui et entre caresses et déshabillage, Patrick lui retire son tee-shirt et moi je m’affaire sur sa braguette avant de laisser glisser son pantalon sur ses cuisses. Je lui retire ses chaussettes et me souviens tout à coup comme j’avais trouvé les pieds nus de Valentin si sensuels. Patrick échange des baisers complices avec moi et on descend tous les deux le boxer trop serré de Valentin. Il est finalement tout nu le premier avec une queue délicate et dressée comme un mat. Il passe ses doigts sur le bout de sa bite et se décalotte. C’est au tour de Patrick de se faire déshabillé et lui aussi nous laisse découvrir sa bite raide, incroyablement tendu.  


Je regarde Valentin et Patrick entièrement nus sur le grand lit blanc. Ils sont si beaux, si frais et attirant. Je perçois malgré tout une gêne somme toute un peu naturelle quand leur peau se touchent. Quand leurs mains effleurent par mégarde l’intimité de l’autre. Je suis le dernier encore habillé et les doigts de Patrick et Valentin s’occupe de me débarrasser de mes chaussettes, de mon pantalon et avec un rien de timidité de mon boxer libérant enfin ma queue.
Patrick fait courir sa bouche sur mon ventre et Valentin joue avec sa langue dans ma bouche que je lui offre. Je caresse son dos et glisse jusqu’à ses fesses. Il prend soudain mon poignet et pose ma main sur son sexe. Je l’explore, le redécouvre, joue avec son prépuce délicat pendant que Patrick vient d’attraper ma bite raide. Je gémis au plus grand plaisir de Valentin et Patrick. Le bout de la langue de Patrick vient s’égarer dans mon nombril. Je suis pris de spasme incontrôlables  jusqu’au moment où je sens le souffle de Valentin dans mon pubis. Il pose ses lèvres sur ma bite et fait de légers ronds avec sa langue, et c’est à ce moment là que la bouche de Patrick vient s’emparer de mon gland rose. Je relève la tête et vois le visage de Patrick et Valentin, leurs bouches gourmandes sur ma queue. J’écarte les cuisses, docile. Au début, je remarque que leurs langues s’évitent sur mon sexe mais peu à peu, ils se laissent aller. La langue de Patrick passe là où celle de Valentin était et vice et versa. Ils prennent même mon gland successivement dans leur bouche. Je ferme les yeux, envahi par le plaisir. Une cuisse vient à la rencontre de ma main droite; je la saisis et l’attire vers ma tête. Je me retrouve soudain avec une magnifique bite devant le visage. A ce moment là, je ne sais pas si c’est celle de Patrick ou Valentin mais j’entoure ce gland rose de ma langue avant de laisser coulisser presque toute la longueur de cette jolie queue dans ma bouche. Je me concentre sur les mouvements de ma langue quand j’entends chuchoter à mon oreille :
«Julien, tu es si beau…» c’est la voix de Patrick. Ainsi, je réalise que c’est la bite de Valentin qui est dans ma bouche. Il me tient la tête et j’aime qu’il m’impose la cadence de son plaisir. Patrick lui, presse son sexe contre mes fesses qu’il caresse en alternance avec un va et vient vigoureux sur ma bite; puis il change de position et plonge sa tête entre mes jambes pour venir engouffrer ma bite dans sa bouche gourmande. On reste là un moment gémissant tous les trois trop inexperts pour pouvoir contrôler notre jouissance.


Je me suis assis pour mieux profiter du spectacle. Les cuisses ouverte, j’offre ma bite à la bouche de Valentin. A quatre pattes, les fesses en l’air il me suce affamé tandis que je devine que Patrick, à genoux derrière lui joue avec ses fesses. Je comprends en voyant un petit flacon de lait hydratant qu’un doigt ou deux de Patrick doivent jouer avec les petites fesses de Valentin, mais quand Valentin pousse un petit cris arrêtant de me sucer quelques secondes, je comprend que Patrick vient de le pénétrer. Valentin grimace un peu puis son visage se détend, sa bouche s’entrouvre et vient avec encore plus de force affoler ma bite.
Patrick tient les hanches de Valentin qui se laisse pénétrer au rythme du bassin de son ami d’enfance. De mon côté je suis prés à éjaculer et je repousse la tête de Valentin pour ne pas éjaculer dans sa bouche. A regret, sa bouche abandonne ma bite et j’éjacule longuement sur son visage. Nos trois gémissement se mèlent pendant que Patrick accélère son mouvement de bassin introduisant encore plus loin sa queue dans les fesses vierges de Valentin.
Doucement, Patrick abandonne l’intimité de Valentin et vient lécher mon sperme sur le visage de Valentin. Je les regarde se masturber mutuellement pendant que mon sperme passe de lèvres en lèvres.
A ce moment là, Valentin fait basculer Patrick sur le dos et vient plaquer le bout de se sexe énorme sur les fesses de Patrick.  


Patrick murmure doucement : «doucement Val, j’ai un peu peur d’avoir mal»
Valentin lui adresse un sourire et s’empare de la crème et recouvre l’anus de Patrick.
Quand Patrick se mord les lèvres au bout de quelques minutes, je comprends que Valentin a enfoncé sa bite dans ses fesses. Patrick se fait pénétrer pour la première fois et pendant que j’embrasse ses lèvres parfumées de mon sperme chaud il gémit.
-J’aurais jamais pensé te faire ça, dit Valentin entre deux respirations saccadées.
-J’aurais jamais pensé que tu me mettrais ta queue dans les fesses Val.
Je regarde les deux garçons avec envie et au bout d’un moment, je met un peu de crème entre mes fesses et Patrick m’enfonce le majeur dans les fesses pendant que je me branle. Les pieds de Patrick sont posés sur les épaules nues de Valentin. A plusieurs reprises, Valentin embrasse les chevilles de Patrick et je trouve cette vision très excitante.  
Je murmure à Patrick : «prends-moi»  
Valentin a entendu et il retire sa queue des fesses de Patrick qui pousse un petit cri aigu.  
Je me mets à quatre pattes et je regarde Patrick se positionner derrière moi. Il prend mes fesses et vient les coller sur sa bite raide.


Valentin reprend sa respiration et se branle. Patrick présente son gland sur mon anus. Je recule un peu les fesses, il avance les siennes et je sens son gland en moi. J’ai un peu mal mais j’ai envie qu’il continu. La crème hydratante aide sa longue bite à s’enfoncer centimètre par centimètre dans mes fesses. Je gémis comme une fille mais je me laisse aller sans aucune pudeur. Valentin vient s’agenouiller devant moi et je plonge sa bite dans ma bouche entrouverte. La queue raide de Patrick pénêtre au même rythme dans mes fesses que la bite de Valentin dans ma bouche. Je jouis plusieurs fois mais Patrick s’arrête à chaque fois juste avant d’éjaculer en moi. Quand Valentin donne de petits coups de bassins frénétiques et que sa queue vient s’enfoncer encore plus dans ma bouche, je serre les lèvres le long de sa queue et Valentin m’éjacule sur le visage.
Je sens sur ma bouche le gout de son sperme. Il y trempe un index et le lèche, puis recommence quand Patrick lui saisit le poignet, l’indexe recouvert de sperme vient glisser entre les lèvres de Patrick.  
Le doigt brillant de Valentin passe de bouche  en bouche. Je sens finalement ce que je veux depuis un petit moment. Patrick accélère en moi. Il tient fermement mes hanches quand tout à coup, plusieurs jets chauds de son sperme viennent m’emplir de sa douceur sucré.
 
 a suivre


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Par thierrydeparis
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recit gay de stomper

 

Je venais juste d'avoir 18 ans.  j'allais habiter dans un grand appartement avec mon meilleur amis,j'étais heureux je quittais enfin le nid familiale je pouvais enfin vivre ma vie comme je voulais.j'allais souvent louer des films au club vidéo et parfois j'en profitais pour louer des films porno, je voyais souvent des films bisexuel ou gay mais j'étais trop timide pour en louer, mais ca m'excitais juste à y penser.j'avais une érection soudaine juste à regarder les pochettes de films.Au dernière nouvelle je suis hetero et j'avais déjà eu des relations sexuel mais à chaque fois que je voyais un beau gars je me demandais si il avait un gros membre,pour tout dire j'avais le goût de faire une fellation à un mec juste pour essayer. c'était mon plus grand fantasme caché,mais en même temps j'avais très honte de cela.
 
Je me disais pas gars mais j'avais le goût de mettre une verge ben dure dans ma bouche,une bonne pipe comme j'aimerais me faire faire et bien sur me faire sucer à mon tour.Disons que c'était mon secret honteux mais en même temps tellement excitant.Mais disons à cette époque j'étais jeune et plein de testostérone et je me masturbais constamment et mon attirance pour les hommes pouvait d'une facon etre comblé.
 
Je savais un jours que ca arriver mais comment avec qui,et il n'étais pas question que j'en parle à personne,surtout pas à mon coloc mon meilleur amis il ne me parlerais plus et il m'éviterais.
 
Mon coloc avais déménagé après le secondaire et je l'ai revue que deux ans plus tard,il étais élancé et très mince que je pouvais voir ses muscles tellement qu'il était mince,les grand yeux bleue et une chevelure blonde un peu long et un boxer assez garnie.

 

UN soir nous décidons d'aller louer des films pour passer le week end tranquille, mais à mon grande étonnement il se dirige vers la section de films pour adulte alors je rentre à mon tour il me demande si je veux louer un films porno, un peu surpris je répond bien sur ,nous regardons toutes les pochettes et ont décide de louer un films bisexuel. j'étais encore surpris mais surtout excité depuis le temps que je veux en louer et en plus mon coloc est en accord hummmmmm

 

rendu à l'appartement ont décide de regarder le films dans sa chambre,ont commence à écouter le films et ca commence avec deux gars .j'étais en dessous de ses couverture et j'étais tellement en érection que ca me faisais mal,mais je faisais comme si toute étais normal,après cette scène nous décidons de la regarder à nouveaux.Mon coloc fait comme si c'était normal lui aussi mais je vois bien son pantalon qui est gonflé et je suis tellement excité.Après regarder la scène encore et toute suite après ont décide d'aller se laver les pied et de faire comme madonna sur sa nouvelle pochette d'érotica qui étais très populaire à l'époque et de faire comme elle de se sucer le gros orteil...

 

Alors après notre toilette de petit pied, mon coloc mais aussi mon meilleur amis de gars commence tranquillement à me sucer le gros orteil avec beaucoup de passion,j'avais l'impression qui me faisais une fellation,j'étais bandé ben dure je ne pouvais le croire un gars me suçais enfin j'ai jamais pensé que ce petit de pied étais si érogène,je savourais ce moment avec intensité.Enfin qu'est-ce que je désirais depuis longtemps arriva,maintenant il en voulais plus il commençait à se diriger vers mes sexe qui n'en pouvais plus tellement que j'étais excité ,sans attendre il m'arracha mon boxer et pris ma verge en entier au plus profond de sa gorge toute au chaud et me suçais avec une passion et vigueur il me savourais totalement,j'ai eu des blonde dans ma vie avant mais cette pipe étais la meilleur jusqu'à maintenant ,j'avais l'impression qu'il avait fait ca toute sa vie,et pourtant c'était sa première fois à lui aussi.J'avais l'impression que mon gland allais éclater au fond de sa gorge gourmande et chaude,il fallait que je me retire sinon parce que j'étais sur le point de décharger dans sa bouche,mais je ne voulais pas que sa arrête mais en plus je voulais tellement goûter à son sexe et le déguster à mon tour.Je sortie ma queue de sa bouche affamée chaude et humide et à mon tour je lui arracha carrément son slip,enfin mon fantasme étais réalité j'allais enfin goûter au plaisir charnelle avec un homme.Je me précipita sur sa verge sans attendre,elle était longue et largue la mienne étais bien, circoncis de taille moyen très droite un peu large mais mon gland étais assez prédominant.Lui c'était long large avec un prépuce qui recouvrais son gland sans problème et même qu'il en avais en surplus.

 

 

Je descendis délicatement son prépuce pour découvrir son gland qui mourrais de désirs de se mettre au chaud dans ma bouche,j'essayais de le mettre en entier au plus profond de ma gorge ,mais sa verge étais longue je ne pouvais pas la prendre en entier, je le sucais comme un dieu et j'aimais ca et je ne pouvais m'arrêter et en attendant ses gémissement je savais qui aimais ca et sa grosse bite déversais dans ma bouche son lubrifiant naturel,mais j'étais tellement en extase que je m'en foutais carrément.Je voulais le faire jouir comme aucune femme l'avais fait auparavant,nous changions de position pour nous retrouver à faire un 69 c'était tellement bon après quelque minute je n'en pouvais plus j'étais sur le points de jouir, je voulais me retirer prisonnier de sa bouche ,mais il ne voulais rien entendre ,alors j'ai éjaculer comme une fontaine dans sa bouche,je ne voulais pas mais en même temps c'était tellement bon,je voulais qu'il jouisse lui aussi je lui pompa la bite et quelque seconde plus tard il gémit et je sentais la pression dans verge,mais je n'étais pas prés à déguster son jus,je me poussa mais il éjaculais tellement qu'il avait de sa semence partout y compris moi...........

 

Quelque jours avais passé depuis cette fameux soirée mais ses scènes me revenais constamment en tête et C était plus fort que moi ,je me branlais sans arrêt cette journée là, comme si je venais de découvrir la masturbation pour la première fois de ma vie . j'étais seul à la maison,mon cher coloc étais partie pour son cours et moi j'étais tellement épuisé et relaxe que je m'endorma .Plus tard je dormais encore mais ,je commençais à sentir quelque chose qui me réveilla ,j'ouvris les yeux à demi pis je vis mon coloc qui sans faire de bruit m'avais baisser mon shorts et il avait commencé à me sucé, il était vraiment salope ce gars  qu'il savait comment si prends pour m'exciter ,il me suça tellement bien c'était  trop bon je resta sur le dos les yeux cloc et profita de l'instant ,il gémissait avec ma bite dans sa bouche,il aimait vraiment ca  ne manquais pas de salive, il me suca comme un veaux et commença à se cracher dans la main et je se badigeonnais l'anus.Et Sans rien me dire il s'assoit sur moi et prends ma verge dure comme de la roche et déjà bien lubrifier et se la dirigea vers son anus,un d'un seul coup j'étais et  dans son cul,c,était bizarre comme sensation c'était chaud assez serrer .

 

Puis il me dit fourre moi le cul ... il  bandé ben dure lui aussi,je commençais sans attendre à lui mettre ma bite au plus profond de ses entrailles et de plus en plus vite,son visage démontrait du plaisirs et en même temps de la douleur,je lui demanda si je lui faisais mal ,il répondis encore fourre moi le cul.Je continue mon va et viens en lui prennent le bassin et lui écarta ses belle fesses bombé.J'étais sur le point d'éjaculer quand sans attendre il gémit et m'éclaboussa de tout son jus sur mon torse et encore une giclée pour ma figure maintenant et encore une fois pour le reste de mon corps et moi j'ai éclaté dans son anus entre ses trois giclé..je ferma les yeux et nous nous sommes coucher torse contre torse et moi encore à l'intérieure de lui,nos torse encore chaud de sperme collé ensemble et je pouvais entendre son cors battre à toute vitesse,nous somme resté comme ca 5 min et décidions de prendre un douche,mais maintenant c'était trop tard ,j'avais essayé avec un mecs et j'aime ca

 

fin

 

 

 

 


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Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

Merde, mais qu’est-ce que je fais là ? Je réalise la situation dans laquelle je me suis mis et prend la mesure de ce que je vais faire. Je resserre  les cuisses refusant l’accès de ma queue à Valentin qui ne semble pas très étonné. Je repousse le menton de Maxime et sa langue quitte la mienne. Personne ne parle un instant avant que je me décide finalement :
-Je peux pas, je suis désolé, je peux pas, dis-je dans un souffle.
J’ai envie de fuir mais pourtant récupère mes affaires éparpillées au sol comme au ralenti. Je suis très mal à l’aise.
Valentin et Maxime restent là, nus. Ils bandent encore tout comme moi mais ne touche plus à leur bite pourtant magnifique.
Enfin habillé, je me retourne juste avant de quitter la chambre et les regarde tout deux. Ils sont de parfaites répliques, ils sont d’une beauté saisissante et leurs visages encore enfantins ne me font aucun reproche. Dans les yeux de Valentin je lis : Je comprends, file et dans le regard de Maxime, je crois apercevoir un regret. Ce regret là n’est pas ironique, il est triste, sincèrement triste.
 
 
8 heures du matin. Assis sur mon lit, je ronge mes ongles et mon cellulaire dans les mains, dix fois je compose le numéro de Patrick, enfin, jusqu’avant le dernier numéro. Je ne peux ni ne veux pas lui cacher ce qui c’est passé hier avec Valentin et Maxime. Je sais que je vais perdre Patrick. Je sais qu’il va éprouver du dégout en me regardant dans les yeux. Il va sans doute me dire que je ne suis qu’un petit pd en manque qui est prés à sucer toutes les queues qui passent. Peut-être va-t-il me gifler ou pire encore ne rien me dire.
 
C’est finalement lui qui m’appelle. Je décroche et je reconnais sa voix unique. Patrick semble ne pas avoir définitivement mué et sa voix est tantôt grave ou s’envole régulièrement dans les aigus.
-Patrick, il faut que je te parle. C’est important.
-Moi aussi il faut que je te parle, répond t-il après un silence interminable de deux ou trois secondes.
Il n’a pas l’air en colère, il n’a pas l’air nerveux non plus.
-Viens chez moi pour dix heures s’il te plait, propose Patrick. Ce n’est pas un ordre ni une menace; juste une proposition que je ne suis pas en mesure de refuser.
 
Entièrement nu, je me dirige vers la salle de bain où je prends une longue douche pour survivre à la nuit blanche que j’ai vécu. Mille choses passent dans ma tête mais ne trouve pas la façon dont j’avouerai ce que j’ai fait avec Valentin et Patrick.

Je n’ai jamais hésité autant avant de poser le doigt sur une sonnette. Un doigt pour faire basculer une vie. Suis-je à un doigt de la catastrophe?
Je fais le grand saut. Silence puis le cliquetis dans la serrure et Patrick apparait. Je baisse les yeux évitant de croiser son regard.
-Entre, me dit-il
Je l’accompagne ou plutôt le suis dans sa chambre. Il sait, je suis certain qu’il sait.
-Je dois te parler, dit-il.
-Moi aussi…j’ai fait une bêtise.
Patrick fronce les sourcils. Il semble plus inquiet que fâché.
Il me prend par la main, croise ses doigts avec les miens en on s’assoit sur son lit.
-Je veux que tu m’écoutes sans m’interrompre.
-promis, dit Patrick.
-Hier, j’ai…je suis allé chez Valentin. Il y avait Maxime aussi. On était tous les trois dans la chambre de Valentin et je sais pas ce qui m’a pris mais j’ai allumé Valentin.
-Allumé comment ?
-Je lui ai demandé de me déshabiller.
Patrick, ne réagit pas, il semble juste attendre la suite.
-Il l’a fait? finit-il par demander.
-Non, ils l’ont fait, dis-je péniblement
-Maxime et Valentin ?


-Oui.
-Ils t’on mit tout nu tous les deux ?
-Oui. On était excité et on est allé plus loin.
-Plus loin jusqu’où ?
-J’ai sucé Valentin et j’ai branlé Maxime.
Patrick semble avoir pris un coup de poing dans l’estomac.
-Mais on n’est pas allé trop loin ? Je me suis sauvé.
-Tu t’es sauvé répète, Patrick. Tu as sucé la queue de Val puis tu t’es sauvé.
-je m’en veux tellement.
Contre toute attente, Patrick est calme. J’aurais pleuré, donné des coups de poings mais Patrick non.
-je suis tellement désolé, j’ai tellement honte.
Patrick me toise et lit dans mes yeux puis il se penche vers moi. Je sens son souffle sur mon nez et je reçois une claque à me démonter les cervicales.
Ma joue brûle, j’ai envie de pleurer mais me retiens.
-va t’en. 

 

Dix jours passent durant lesquels je ne vois ni Valentin ni Patrick. Aucun message, aucun signe de vie puis, un soir, vers 19 heures un message de Patrick sur mon cellulaire : « Viens passer la nuit chez moi ».
Je saute au dessus de mon lit, déboule dans la cuisine ou mon père fait la cuisine et ma mère téléphone à ma tante.
-Je peux aller passer la nuit chez un copain ce soir ?
-Pas ce soir, on va bientôt passer à table, dit mon père sans lever le nez de ses casseroles.
-S’il vous plait, s’il vous plait !!!
Je les implore, je suis pathétique.
-Bon après le repas seulement, tranche ma mère en décollant le téléphone de son oreille.
-Tu vas passer la nuit chez Patrick, vient me murmurer à l’oreille Jérémy.
-Ta gueule, dis-je avant de m’excuser d’un bisou.
 
 
J’arrive chez Patrick vers 21h. Avant même que je sonne, Patrick vient ouvrir. Il m’embrasse sur la bouche furtivement.
-Tu es pardonné, dit-il.
Je reste à la porte surpris du retournement de situation.
-tu dors dehors ou tu entre?
La maison est vide en apparence et c’est juste en entrant dans la chambre de Patrick que j’aperçois Valentin. Je le regarde et tourne les yeux vers Patrick.
-Valentin déménage demain, fait Patrick devinant mon hésitation. Il dort ici ce soir.
-Je n’ai plus de lit, ajoute Valentin. Il est tout sourire, très beau dans un débardeur blanc qui souligne ses abdos.
-Puis on voulait passer un moment ensemble avant de se quitter, rajoute Patrick.
-On allait regarder un film. Tu préfères lequel ? demande Valentin.
Il me tend deux boitiers. Tout a l’air si normal.


Je choisi le premier sans même regarder le titre. Peux importe, l’essentiel étant de retrouver Patrick. Il vient d’ailleurs se coller derrière moi et m’entoure de ses bras.
Je suis surpris par son manque de gêne vis-à-vis de Valentin.
On s’installe sur le lit de Patrick et Valentin démarre le film. Patrick s’assoit adossé à la tête du lit et je m’installe contre lui, entre ses jambes, mon dos sur son ventre. Je sens sa respiration et me pince pour ne pas rêver. Valentin lui est allongé de toute sa longueur les mains croisées derrière la nuque.
De temps en temps, Patrick dépose de petits bisous sur ma nuque et à chaque fois je commence à bander. Au bout d‘un moment, Valentin change de place et vient appuyer sa tête sur ma cuisse. Je suis gêné vis-à-vis de Patrick mais ne réagit pas. Je me contente de regarder son visage si harmonieux me nourrissant de la respiration calme de Patrick.

 

a suivre

 

 

 


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Par thierrydeparis
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Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

Patrick dort sur le ventre. Son visage est serein. Tout juste une moue un peu boudeuse. Il a le menton sur son poignet droit ce qui lui donne l’air d’avoir huit ans. Son corps gracieux alanguit et souple se déploie sans retenu dans mon lit. Sa parfaite nudité le rend plus fragile. J’ai envie de le prendre dans les bras mais ce serait me priver de la vision parfaite que j’ai sur lui. Ses pieds nus disparaissent en partie sous le drap et seuls les orteils de son pieds droit sont visible. Parfaitement alignés, les ongles soignés démontre un soucis esthétique. Sur ses chevilles, un fin quasi invisible duvet qui laisse en remontant le long de ses tibias, une peau vierge de tous poils disgracieux. Deux cicatrices derrière le genou gauche sont les seules imperfections. Ses fesses sont rondes et assez petites. Son dos même au repos laisse apparaitre des muscles fin et gracieux ce qui est étonnant vu  la minceur de Patrick. Quelques grains de beauté clairs comme les étoiles dans le ciel s’étalent, réguliers et discrets. Sa nuque longue se perd dans sa tignasse et son port de tête laisse deviner un garçon élégant.
Je finis par ne plus finir de le regarder et avant  que ça tourne au voyeurisme, je pose ma main sur sa tête. Aussitôt, il cligne des yeux, les ouvre et m’adresse un large et sincère sourire.
-Ca fait longtemps que je dors ? demande Patrick.
-Deux jours et une nuit, dis-je sérieusement.
Patrick me donne une claque amicale et je me dis qu’aucune claque que j’ai reçue n’est agréable comme celle-là.  
Patrick se redresse sur les coudes et tend sa bouche que j’embrasse. Sa langue que je reconnais à présent est gourmande.


-vingt minutes environ.  
-J’aime dormir dans ton lit, fait-il en s’étirant du bout des doigts au bout des orteils. Son pénis est sagement couché vers sa cuisse, ses couilles délicatement cachées sous ce pénis magnifique. Il me contemple à m’en gêner. Je baisse les yeux mais Patrick relève mon menton doucement.
-Tu es tellement mignon, me dit-il.
-Tu es tellement aveugle.
-T’es au courant du déménagement ?
Mon cœur cesse de battre.
-Quel déménagement?
-Valentin déménage à la fin du mois. Son père a eu un nouveau poste à Québec.
Je reste muet. Je ne sais que penser. Patrick et sa douceur m’ont fait un peu oublier Maxime mais les reproches de Valentin me font toujours mal.  
-A quoi penses-tu Julien ? S’inquiète Patrick.
-Je sais pas trop quoi penser. Valentin compte pour moi mais j’ai un peu honte de ce qui c’est passé avec Maxime. J’ai pensé un moment que Valentin était au courant…
-J’y ai pensé aussi mais je connais Valentin depuis très longtemps et je ne crois pas à cette hypothèse.  
Je reste songeur.
-T’as pas avoir honte de ce qui c’est passé avec Maxime.
-Je sais mais c’est comme ça.  
Patrick pose sa main sur ma joue et la caresse doucement.
-Je tiens trop à toi Julien, dit-il doucement

 

-Pourquoi tu ne m’as pas dit que tu partais ?
-Je n’ai pas eu l’occasion, bredouille Valentin.
-Valentin, il faut que tu me fasses une promesse.
Nous sommes tout prés l’un de l’autre, planté au milieu de l’entrée de sa maison. Je sens le parfum du shampoing qu’il vient d’utiliser. Il sort visiblement de la douche car, il ne porte rien sauf une serviette blanche qu’il a noué autour de sa taille. Sa quasi nudité me trouble et j’essais de rester concentré sur mes mots plutôt que sur sa peau si parfaite où de nombreuses gouttes glissent là où je voudrais glisser.  Je suis arrivé à l’improviste et j’ai cru voir les yeux de Valentin s’embués.  
-Étais-tu au courant que Maxime allait me piéger ?
Valentin ne répond pas. Il s’adosse au mur, ferme les yeux et renverse sa tête en arrière.
-Viens, finit-il par dire en m’entrainant dans sa chambre.
Aussitôt passé la porte, je me fige. Maxime est là, allongé sur le lit de Valentin. Il ne porte qu’un boxer gris et pianote sur son ordi portable.
Sans aucun scrupule, il m’adresse un large sourire et referme l’écran de l’ordi.
-Assis toi, me demande Valentin en me poussant doucement en arrière. Mes mollets rencontrent le bord de lit. Je m’y assois sans résistance.
-Réponds à ma question ? dis-je.


Valentin vient s’agenouiller devant moi et pose sa tête sur mes genoux. Curieusement, ma colère s’estompe et me dit que je peux bien attendre encore un peu pour la réponse à ma question. Le poids de sa tête sur mes genoux me rassure et je caresse ses cheveux.
L’aveux ne vient pas de valentin mais de Maxime.
-Julien je suis désolé d’avoir abusé de toi. J’ai pensé que c’était une blague mais je me suis rendu compte après de ce que j’avais fait.
-Une blague ? J’aurais voulu crier mais j’ai parlé doucement.
-J’étais un peu jaloux de toi et de Valentin et un jour je lui ai dit que je te trouvais beau et que je voulais bien le remplacer le jour où tu le balancerais. On déconnait puis il m’a dit que tu avais trop d’importance à ses yeux. On a parié que je pourrais t’avoir dans mon lit. Valentin pensait que non. C’était pas un vrai pari, juste une blague puis le jour où Valentin est parti à Québec, je me suis dit que c’était le moment de gagner ce pari de merde. Je regrette vraiment Julien, mais je veux aussi te dire que quand on était à poil toi et moi et qu’on baisait, j’étais sincère et je me moquais pas de toi. Le plaisir que je voulais te donner, c’était vraiment sincère.
Valentin toujours agenouillé ne dit rien depuis le début laissant ma main courir dans ses cheveux mouillés; à ce moment là il relève la tête et me regarde droit dans les yeux. Il hésite un instant puis me dit :
-Je suis désolé de ce qui c’est passé et je comprends que tout soit terminé entre nous. Je suis un peu responsable aussi. J’ai bien fait en sorte de me vanter devant Maxime d’avoir fait l’amour avec toi.
Je ne sais plus quoi dire. Moi qui avais prévu une grande scène ou bien carrément une bagarre, je reste touché par les mots que j’entends. Je pose mes doigts sur les lèvres humides de Valentin puis les caresse tendrement.  
-J’avais vraiment envie de te donner du bonheur en venant en toi. Je voulais que tu m’offre ta confiance et que tu me laisse te prendre.  


Les yeux de Valentin sont si tendres et plein de regrets que, dans un murmure les mots s’échappent de ma bouche et s’envolent dans le silence de la chambre :
-Fais le Valentin, dis-je conscient que je fais une bêtise.  
Valentin me regarde un instant et je le laisse imprimer mon visage dans sa mémoire puis, j’attire son visage prés du mien. J’embrasse sa bouche, infiltre ma langue sur la sienne, goute sa salive, dévore ses lèvres, me couche en arrière et attire Valentin sur moi. Mes doigts s’affolent sur sa peau fraiche, sur son dos, sa nuque, ses cheveux.
-Déshabille-moi, dis-je les yeux clos.
 Je me laisse faire laissant Valentin enlever mes baskets et mes chaussettes. Il déboutonne ma braguette et descends  mon pantalon. Les yeux toujours fermés, j’ai bien conscience que c’est quatre mains qui me déshabillent et non deux. Je suis enfin tout nu, le sexe dressé sur mon nombril la bouche et les cuisses légèrement ouvertes.
Valentin s’est débarrassé de la serviette qu’il portait. Il est allongé sur moi et je sens la pression de sa queue chaude et raide sur mes couilles. Sa langue explore ma bouche. Quand j’ouvre enfin les yeux, je regarde Maxime, une main plongée dans son boxer. Je glisse mes doigts sur sa cuisse imberbe et pénètre dans son boxer où je  redécouvre son pénis gonflé et raide. Je caresse ses couilles bouillantes et tire sur l’élastique de son boxer que je descends partiellement. Maxime s’en débarrasse et reste appuyé sur son coude, sa main droite caressant sa queue.
Valentin plonge sa tête entre mes jambes qu’il ouvre au maximum, saisi délicatement ma queue et l’enfourne dans sa bouche. Son nez vient effleurer régulièrement les fins poils de mon pubis. Sa langue court le long de ma bite raide. J’attire maxime vers moi et pose ses lèvres sur ma bouche. Sa langue glisse entre mes dents et vient succéder à celle de Valentin qui me suce toujours

 

a suivre

 

13 30


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