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Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

Je suis sur le dos et Patrick à genoux prés de moi. Son sexe est dressé et remonte vers son nombril. Ses couilles bien confortablement posées entre ses cuisses claires. Patrick me regarde et je me rends compte que ses yeux brillent. Je lui prends la main et l’attire sur moi, son visage face au mien.

-Qu’est-ce qu’il y a Patrick.

Après un court instant qui me parait une éternité il chuchote dans mon oreille :

«Je me sens pas prêt pour aller si loin avec toi. Je regrette, je me sens pas».

Je reste silencieux ses yeux dans les miens. Je suis tellement déconcerté.

Quel garçon se refuserait avec tant d’élégance et de fragilité. Patrick pourrait m’avoir comme une biche à son tableau de chasse. Première mais pas dernière étoile sur la carlingue de sa queue inexpérimentée. J’avoue que je suis horriblement gêné d’avoir proposé d’aller si vite avec Patrick. Il est magnifique dans le fin rayon de soleil qui filtre entre les rideaux entrouverts. Ses cheveux brillent et la perfection de sa peau fait de moi un envieux.

 

-C’est pas grave Patrick. On est pas pressé. Je pose mes mains sur ses joues et pose un baiser enfantin sur sa bouche. Je sens Patrick qui avance son bassin sur mon sexe. Sa queue se presse sur la mienne et l’un et l’autre commençons de petits mouvements de reins plus ou moins frénétique. Patrick prend mon visage et glisse sa langue dans ma bouche. Il intensifie les frottements de sa queue sur la mienne et je sens, à l’avidité de sa langue sur la mienne qu’il est prêt à jouir. Jouir sur moi, sur mon ventre entre mes cuisses là où il le veut. Je suis soumis à son plaisir tout autant qu’au mien.

Dans un ultime et fabuleux mouvement de reins, Patrick arrose mon ventre et mon cou de son sperme brulant et généreux. Je me cambre et son sperme coule au creux de ma pomme d’Adam. Patrick se redresse et je le regarde. La douceur de son visage contraste avec le sperme qui rend luisant son torse fragile.

Patrick m’essuie avec le tee-shirt qu’il a enlevé et me regarde, moi toujours allongé face à lui sur le dos, mon pénis gonflé. Ce que je vois dans ses yeux, ce n’est pas de la convoitise, ni de la domination. Ce que je vois dans la prunelle de ses yeux c’est de la tendresse, de la douceur et de la reconnaissance.

 

Patrick vient s’allonger sur moi et dépose de léger baisers sur ma poitrine encore collante de son sperme. Entre ses cuisses et les miennes, je sens sa main droite qui s’infiltre sans autorité et qui attrape ma queue comme on attrape un moment d’éternité.

La douceur de ses doigts et la détermination de son poignet me font gémir et me cambrer soulevant Patrick comme une plume au moment de jouir dans une vague de sperme clair.

Au bout d’un moment magnifique où nous restons unis dans notre nudité fragile et impudique Patrick essuie à nouveau mon ventre ou les effluves de son sperme se mêlent au parfum du mien.

Le temps passe doucement dans le calme de ma chambre où nous restons silencieux et soumis l’un à l’autre.

 

-J’ai faim!  
J’ouvre les yeux et réalise le bonheur d’avoir ma tête posée sur la poitrine de Patrick.
-Quoi ? Demandais-je.
-J’ai faim répète doucement Patrick.
-Tu veux que je te fasse à manger ?
-Tu sais faire à manger toi ?
-Pourquoi je ne saurais pas ?
-Je te vois pas avec une toque de cuisinier…surtout tout nu.
Je réalise ma nudité offerte à ses yeux et tire le drap sur mon entrejambes quand Patrick arrête mon poignet.
-Pourquoi tu te cache ? demande t-il dans le plus charmant sourire.
-Je me cache pas. J’ai froid.
-Tu sais que tu mens très mal.
-Je suis démasqué, dis-je finalement.


-Tu es encore plus pudique que moi, conclut Patrick.
-J’ai pas l’habitude de me mettre tout nu devant les autres et tu ne vas pas me faire croire que tu es pudique toi vu ce que tu as fait dans le vestiaire au soccer. Tu t’es mis tout nu devant moi alors que tu me connaissais pas.
-Fallait bien que je te montre l’étendu de mes qualités.
-Oui mais t’étais à trois centimètres de mon nez.
-Je  suis sûr que tu bandais comme un malade, rit Patrick
-Oui, mais n’importe qui aurait bandé en te voyant tout nu comme ça.
-Tu as tort d’être pudique, dit Patrick comme s’il pensait tout haut. Ses yeux parcourent mon corps nu et j’ai presque l’impression de sentir le battement de ses cils sur ma peau.
-Alors, tu m’avais promis à manger, réclame gentiment Patrick.
Je me met à quatre pattes pour trouver mon boxer qui a volé tout à l’heure mais Patrick me dit :
-Si tu n’es pas pudique, tu vas me faire à manger tout nu. Il s’amuse beaucoup mais à l’air très sérieux.  
-Tu seras tout nu aussi alors ?
-Oui même si j’ai un peu peur que tu te mettes à bander en faisant mon sandwich.
-Qui te dit que je vais te faire un sandwich. Je suis peut être meilleur cuisinier que tu le penses.
Tout en discutant, Patrick m’a immobilisé à quatre pattes. Il est venu s’emboiter derrière moi et je pense qu’il s’en es pas rendu compte.
Quand il semble réaliser la situation il se dégage rapidement et marmonne des excuses maladroites.
 
On se retrouve dans la cuisine, tout nu comme des vers. Je sors de quoi lui faire un sandwich et Patrick s’accoude sur le comptoir en me contemplant. Ses épaules sont frêles et ses clavicules saillantes. Il regarde mes mains qui s’activent et moi je regarde ses fesses dans le reflet de la fenêtre. Elles sont jolies et musclées.
-Julien, est-ce que Valentin compte pour toi? Demande Patrick soudainement.  
-Je ne sais pas…c’est compliqué pour moi en ce moment.
- Pour moi, aussi, figures toi. Il y a une semaine, j’étais sûr d’être hétéro puis boum. Tu arrives dans ma vie, tout se bouscule et je comprends plus rien. Si on m’avait dit que je… Patrick hésite soudain.
Je lève les yeux et reste attentif à la suite de sa phrase. Ses lèvres bougent mais aucun son n’en sort.  
-Dit quoi ?
-Si on m’avait dit que je tomberais amoureux…d’un garçon, je n’y aurais pas cru.
Je reste muet et pour toute réponse, je tends le plus beau sandwich que j’ai fait de ma vie.
Patrick me regarde changeant radicalement de visage et dans un sourire franc mord dans mon œuvre d’art.

 

Être tout nu tous les deux au beau milieu de la cuisine est un peu incongrue. Patrick dévore mon sandwich et je dévore Patrick des yeux. Comment en suis-je arrivé là ?          Comment moi qui me suis toujours pris pour le vilain petit canard, ado aux trop longs bras et au jambes sans fin, au torse aussi musclé qu’une planche de surf, comment donc j’en suis arrivé à faire un sandwich à un garçon qui me fait une déclaration d’amour à poil au milieu de ma cuisine ? Comment moi vierge jusqu'à récemment me suis retrouvé dans un lit avec Patrick, Valentin, Maxime même malgré moi et pourquoi ai-je touché mon frère comme je n’aurais jamais dû ? Je me sens un peu perdu.
-T’as l’air soucieux, dit Patrick ayant enfin terminé mon sandwich.
-Suis-je à ce point un livre ouvert ?
-Un livre de poche alors, se moque Patrick
-Hé, tu vas voir le livre de poche ce qu’il va faire à l’encyclopédie  du corps humain.
-Des promesses, des promesses, rit Patrick sans retenu.
Je le plaque soudain contre la table. Il fait semblant de se défendre mais en réalité, il pourrait me faire survoler la cuisine s’il s’en donnait les moyens. Au lieu de ça, il est allongé sur la table de la cuisine, les jambes pendant dans le vide et moi debout entre ses cuisses, penché sur son torse menu. Patrick attrape et attire doucement ma tête et juste avant que ses lèvres se posent sur les mienne il chuchote :
«Je crois que je suis en train de tomber fou amoureux de toi»
Ses mots résonnent en échos pendant que ma langue joue avec la sienne et que je sens sur mon ventre la bite de Patrick se dresser. Je prends mon courage à deux mains pour lui avouer que j’ai envie de lui. Il cesse de m’embrasser et plonge ses yeux dans les miens.
-J’ai envie de te faire l’amour Julien, allons dans ta chambre.  
 
Arrivés au pied du lit, Patrick me couche tendrement. Il embrasse mon nombril ce qui me fait frissonner. Il y fait courir sa langue et ma queue se raidit sous l’effleurement de ses doigts. Patrick embrasse chaque centimètre de mon ventre. Mes doigts glissent dans ses cheveux fins. Il redresse la tête ébouriffée. Il est tellement incroyable. Sa beauté me déstabilise. Ce garçon qui fait tomber toutes les filles du collège et qui est sans doute le sujet principal des séances de masturbation de pas mal de garçons est là, avec moi, son visage à quelques centimètre tout juste de mon pénis. Je me sens flatté mais ça me ramène à la platitude de mon corps à tous les sens du terme. Patrick soulève mes genoux jusque sur ses épaules et plonge son visage vers mon sexe. Le premier contact de sa langue me fait pousser un petit cri un peu trop aigu à mon gout mais je n’en suis plus à essayer de jouer au gars viril. Ma nudité et le plaisir que me procure Patrick indiquent que je suis un garçon qui aime les garçons.


Patrick glisse mon pénis dans la douceur de sa bouche et mon gland est accueillit par sa langue un peu maladroite. Patrick serre presque trop fort mes couilles mais je suis presque inconscient tant le plaisir me domine, Je soupire bruyamment puis cri doucement chaque fois que Patrick enfonce mon pénis dans sa bouche. Chaque poussée, chaque frottement de ses lèvres, chaque contact de sa langue me renverse. Je suis  
Prêt à éjaculer et après un ultime mouvement de reins, je repousse le visage de Patrick; celui-ci ne cède pas et resserre encore ses lèvres sur ma queue brulante. Mon sperme gicle violemment dans la bouche de Patrick. Sa langue doit être inondée et je l’entend avaler bruyamment mon sperme chaud tendis que posé sur mes talons, je soulève mes fesses.

 

a suivre


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Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

J’en veux beaucoup à Valentin qui a l’air de penser que je me suis fait sauté par son frère. Comme si moi, pudique et timide, j’étais du genre à me mettre tout nu devant une personne que je ne connais pas ( même s’il est la réplique exacte d’un garçon que j’ai vu tout nu et qui m’a vu aussi tout nu). A ce propos, le manque de gêne de Maxime qui n’a pas hésité à me faire l’amour sans me connaitre me choque.
 
Je traine un peu dans la maison attendant Patrick qui ne tarde pas à arriver.
-Ta une sale tête, me dit-il en grimaçant
-je sais.
-Mais ton pyjama est sexy en tout cas, s’amuse Patrick.
Je m’affale dans le divan du salon et Patrick s’agenouille parterre entre mes jambes, ses mains sagement posées sur mes pieds nus. Il me regarde avec tellement d’amour que j’en baisse les yeux.
-C’est quoi le problème julien ?
Je toussote et me lance comme un homme que je ne suis pas encore.
-tu connais Maxime ?
-le frère de Val ? oui bien sûr.
-tu sais à quel point ils se ressemblent ?
-Oui, comme deux gouttes d’eau.
-Maxime s’est fait passé pour Valentin.
-Ah, cool, s’esclaffe Patrick avant de voir que de mon côté, c’est pas vraiment la joie.
-Tu comprends pas ?
-Oh merde, se rétracte Patrick, scrutant mon sourire et caressant mes orteils du bout de ses doigts. Vous avez flirté ?
-Non. C’est allé plus loin.
-Baisé ?


-Oui, il m’a baisé pour dire la vérité.
-sodo…
Je ne le laisse pas finir le mot en posant ma main sur sa bouche. Ses lèvres sont douces.
Je fais oui des yeux.
Patrick se relève sur ses genoux et son visage est face au mien. Ma main est toujours sur sa bouche.
-J’aurais voulu que se soit spécial la première fois.  
Patrick prend mon poignet et dégage sa bouche.
-Je suis trop désolé pour toi. Moi aussi je voudrais que ce soit spécial ma première fois.
Patrick me regarde avec tant d’intensité, que je fais un mouvement irréfléchi. Je pose ma bouche sur la sienne. Patrick se raidit.


-je suis désolé Patrick, dis-je en me reculant dans le divan.
-Ne le soit pas, chuchote Patrick, en se penchant vers moi. Il m’offre sa bouche à embrasser et sans trop hésiter, je pose mes lèvres sur les siennes. Son souffle sur ma joue, m’émeut et ses mains qui caressent mes cuisses me font frémir. Je glisse ma langue sur sa bouche qu’il entrouvre. Sa langue vient à la rencontre de la mienne. De petits touchés timides puis, des baisers moins maitrisé, plus passionnés. Je caresse ses cheveux, dessine ses sourcils du bout de mes doigts et glisse sur le fil de son nez parfait. Je découvre son visage sous mes doigts tandis que ma langue explore la sienne.


Je me mets à bander comme un diable et Patrick le sens sur son ventre.
Il glisse une main sous mes genoux et l’autre sur mes reins et me soulève comme une plume. Je suis surpris par sa force, lui qui n’est guère plus grand que moi et guère plus gros. Il me porte vers ma chambre pendant que ma langue joue toujours avec la sienne.  
Il me dépose sur mon lit froissé sans même que ma bouche quitte ses lèvres. Je veux qu’il me fasse l’amour, qu’il me fasse oublié les doigts pourtant merveilleux de Valentin et surtout ceux de Maxime. Je déboutonne sa braguette et je sens Patrick surpris par ma précipitation.
-Tu es bien pressé, murmure t-il sur mes lèvres.
-Oui, J’ai envie de toi sur moi. L’idée même que je puisse dire ça ne me serait pas venu en tête mais pourtant se sont bien mes mots.
Patrick m’enlève mon tee-shirt et je me laisse faire comme un enfant. Il embrasse ma poitrine et mon ventre. Ses doigts courent partout et je les laisse m’explorer. Le majeur de sa main droite vient faire le tour de mon nombril et je soupire.


A mon tour j’enlève le tee-shirt de Patrick. Une petite croix pend au bout d’une chaine en argent. J’embrasse ses tétons clairs et finis de déboutonner son pantalon. Patrick vient s’allonger sur mon lit, tout prés de moi. J’entends son souffle. Je m’agenouille et fais glisser son jeans sur ses cuisses, sur ses tibias, sur ses pieds. Je descends et enlève ses chaussettes retrouvant ses pieds nus, si sensuels, si parfaits, si soignés.  
Patrick fait glisser mon pantalon de pyjama sur mes fesses et entraine mon boxer dans sa chute. Il touche mes fesses avec sans doute un peu de maladresse mais ses doigts sur mon petit cul font dresser encore plus ma bite. Patrick soulève ses fesses et je lui enlève son boxer me trouvant subjugué et flatté de la longueur et la raideur de sa queue. Patrick croise mon regard admiratif. Il attrape doucement mon poignet et pose ma main sur sa queue puis prend la mienne. Un peu instinctivement, je commence un léger et timide va et vient qui lui arrache quelques soupirs. Son pénis est si chaud, son prépuce si délicatement rangé pour exposer à mes doigts inexperts la délicatesse de son gland.
 
Je viens m’allonger sur le corps nu et chaud de Patrick et celui-ci presse fort son sexe contre le mien. Il caresse mes fesses et me cambre pour lui offrir. Sa bouche dévore la mienne et ma maladresse provoque encore quelques légers chocs de mes dents contre les siennes. Patrick s’en amuse tout en continuant à m’embrasser. Je quitte sa bouche quand Patrick tire mon bassin vers son visage. Je me retrouve à quatre pattes sur mon lit, la tête de Patrick face à mon sexe .

 

Le pénis de Patrick est tout prés de mon visage, son gland vers mon front, ses couilles devant ma bouche. Tout en caressant ses fesses, j’ose donner de petits coups de langue sur ses jolies couilles. Elles sont imberbes et toutes chaudes. Patrick gémit. Je trouve que le contact sur ma langue est spécial. Je ne peux pas dire si j’aime ou pas; je sais juste que quand je me décide à glisser son pénis dans ma bouche, j’adore ça. Sa queue est longue et dure. Plus grosse que la mienne. Mon nez dans les poils de son pubis je suce et me régale.
Je fais tourner ma bouche sur sa queue en la tenant fermement. Patrick donne de petits coups de reins régulier m’enfonçant sans s’en rendre vraiment compte son gland jusqu’au fond de la bouche. Je m’interromps et Patrick ouvre les yeux inquiets.
-Patrick, je veux que tu me…que tu me pénètre. J’ai hésité sur le terme mais si mon état d’excitation se prêtait plus au terme enculer, je me suis refusé ce terme vulgaire.  
Patrick me sourit visiblement intimidé.
-Je l’ai jamais fait, dit-il tout bas.
Je regrette de ne pouvoir répondre pareil.
-Tu veux qu’on se mette dans quel sens?
-Si tu veux je me couche sur le dos et tu…soulève mes jambes sur tes épaules.
La soudaine explication technique est irréaliste; on est vraiment deux amateurs.

 

a suivre

 

11 16


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Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

Valentin reste allongé sur moi. Je sens le poids de son corps sur moi.  
Je sens son cœur qui ralentit peu à peu. Valentin caresse mes cheveux.  
-J’ai trop aimé venir dans toi Julien.  
«Moi aussi j’ai trouvé ça génial.» dis-je en me retournant pour faire face à Valentin. Il plonge son regard dans le mien. Ses yeux sont plein d’amour. Pas les yeux d’un garçon qui vient de se faire un mec. Le regard qu’il m’adresse est plein de douceur et de complicité.
-T’avais peur ? murmure Valentin.
«Moins que la dernière fois» dis-je en caressant les lèvres de Valentin.
-La dernière fois ? demande Valentin pendant que ses doigts s’immobilisent dans mes cheveux.
«Oui, mercredi»
-Mercredi ?
Quelque chose ne va pas. Valentin se redresse sur un coude et me fixe les sourcils froncés.
-Qu’est ce que tu racontes, Julien ?
«Ben…heu…mercredi quand tu… putain, Valentin qu’est-ce qu’il y a ? J’ai dit une  
bêtise ?
- Mercredi, je n’étais pas là de toute la journée. J’étais à Trois-Rivières.
«Je suis pas fou. Tu te trompes de jour. C’est mercredi qu’on a…»
-C’est mercredi que tu t’es fait baiser par mon frère Maxime !
«Quoi ? Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ? Je panique carrément. Je comprends plus rien, Je vois Valentin se redresser encore nu et me pointe du doigt d’un air accusateur.  
-Julien, tu le fait exprès ? tu comprends ce que je te dis. Mercredi, c’est avec mon frère que tu as couché. Pas avec moi !


Valentin à l’air furieux. Il se rhabille et je fais comme lui.
-Connard, quel connard ! je ne sais pas si Valentin s’adresse à moi ou à Maxime.
«Valentin…je»
-Je vais le tuer de t’avoir fait ça. Viens avec moi !
 Je le suis hors de la chambre comme un chien tremblant.  
On parcourt le corridor et Valentin ouvre la porte de la chambre de Maxime à coup de pied.
Maxime qui se trouve là devant son ordi, se lève d’un bond.
-Ah, tu es là toi! Je croyais que tu devais aller magasiner, hurle Valentin.
Maxime m’adresse un regard de reproche et fait face à son frère.  
Leur ressemblance est stupéfiante.  
-Qu’est ce que tu lui as fait ? Hurle Valentin en me montrant du doigt.
J’ai envie de m’enfuir mais en suis bien incapable. Je reste pétrifié, à moitié habillé planté au milieu de la chambre.
Devant le mutisme de Maxime. Valentin se jette sur lui.
-Je l’aime moi ce mec. T’avais pas le droit de faire ça !
Valentin pousse Maxime sur son lit et le gifle violement. Maxime ne se défend pas vraiment ce qui a pour effet de calmer son frère.


-Pourquoi tu as fait ça Maxime ? répète Valentin des sanglots dans la voix.
Je suis stupéfait de l’état dans lequel il s’est mis pour moi. Jamais personne n’a tenté de me défendre à ce point là. Les mots de Valentin résonne dans ma tête :«Je l’aime moi ce mec, je l’aime moi ce mec». Je suis tellement gêné de me trouver là et d’être l’objet de leur dispute. Puis je réalise mon humiliation moi qui me suis offert à Maxime, lui qui m’a fait perdre ma virginité. Je me sens honteux.
Je m’habille à toute vitesse et me sauve. La dernière chose que j’entends avant de claquer la porte de la maison est : «Mais il a aimé ça ton Juju !» suivi d’une gifle magistrale.
 Je traverse la rue en courant manquant à deux reprises de me faire renverser par des autobus. Je m’engouffre dans la maison et vais me barricader dans ma chambre.
-Julien ? S’inquiète Jérémie. Julien, qu’est-ce-que tu as ?
Jérémie vient taper à ma porte.
-Laisse-moi tranquille, j’ai besoin d’être seul.
«Non, je te laisse pas tranquille, ouvres moi»
Je connais la patiente de Jérémie qui est capable de rester deux heures derrière la porte me demandant de l’ouvrir.
Je cède et déverrouille la porte. Jérémie entre et a l’air réellement inquiet. Ca me touche et le prend dans mes bras.
Jérémie m’entraine sur mon lit et je me blottis dans les bras de mon jeune frère.
-je me suis fait avoir.
-Patrick?
-Non
-Valentin?
-Non. Maxime.
-Maxime ? C’est qui ce Maxime ?
-Le frère jumeau de Valentin.
-Ah oui ? Il a un frère jumeau Valentin ?
Le ton léger et la curiosité de Jérémie m’exaspère.


-Merde, tu veux son arbre généalogique ?
-Désolé. Dis moi ce qui c’est passé.
-Valentin…est…il est mon petit…merde, je veux dire…
Mes mots s’embrouillent dans ma tête et dans ma bouche.
-Oui, bon c’est ton mec et tu couche avec lui, dit soudain Jérémie.
Comment il sait ça Jérémie ? Je lui ai rien dit et comme d’habitude, il m’a deviné.
-Maxime m’a téléphoné pour qu’on se voit se faisant passé pour Valentin.  
-Et…
-On a couché ensemble, avouais-je.
-Avec Maxime ? t’as couché avec Maxime ? Et t’as pas fait la différence ?
-Non, j’ai pas fait la différence, dis-je grimaçant.
-Même à poil ?
-Mmm, dis-je gêné.
Érémie me caresse les cheveux et pose sa joue gauche sur mon front. Je me sens bien dans ses bras. J’ai confiance en lui.
-C’est pas grave Julien, me dit gentiment Jérémie. Ca va aller.

 

2 heures, trois heures, quatre heures, cinq heures… J’ai vu toutes les heures passées sur mon radio réveil. La nuit la plus noire de ma vie, la nuit la plus blanche en fait.
Comment n’ai-je pas vu la différence entre maxime et Valentin. Leur ressemblance physique n’excuse pas tout. Je n’ai pas reconnu les doigts de Maxime sur ma peau nu, j’aurais dû reconnaitre le parfum de son corps, la saveur de son pénis dans ma bouche, la fragilité de ses couilles au creux de ma main. J’aurais dû reconnaitre son souffle sur ma nuque quand il m’a pénétré. J’aurais dû reconnaitre l’odeur de son sperme et son goût sur mes lèvres quand une fois dépucelé, Maxime et moi, nous nous sommes caressés et que je me suis offert malgré ma pudeur maladive. Un doute ? pas un si ce n’est ce petit grain de beauté sur qui j’ai fait tourner ma langue causant tellement de frisson à Maxime.
L’idée de m’être mis tout nu devant un quasi inconnu, de l’avoir sucé et de mettre laissé pénétrer me fait me sentir trop mal.
Quatorze messages de Valentin clignotent sur mon cellulaire. Non, pardon, dix huit. Je n’ai pas le courage d’y répondre. Parler de quoi ? dire quel est le meilleur entre Maxime et lui ? Qui suce mieux, qui a la plus dure, la plus grosse, qui m’a le mieux fait jouir.
 
Le seul appel à qui j’ai envi de répondre est celui de Patrick qui lui, au moins ne m’a pas trahi. Les mots d’amour de valentin prononcés devant Maxime résonne dans ma tête mais ne suffise pas à dissiper ma gêne et ma honte.
Il est si heure quand je me décide à téléphoner à Patrick.
Il me répond avec une voix étonnement réveillée.
-Tu dormais ? dis-je mal à l’aise.
-Non, je faisais de la mécanique sur porte avions, répond Patrick.
Ca a au moins l’avantage de me faire sourire.  
-Quelques choses ne va pas ? S’inquiète t-il soudain.
-On peut dire ça… dis-je peu loquasse.
-Tu peux m’en parler si tu veux. Le porte avions attendra.
-Pas au téléphone. Je peux venir chez toi tout à l’heure ?
-Pas sûr. Mes parents sont en congé tous les deux. Ils vont s’incruster à la maison. Je peux venir chez toi ?
-Oui. Mon frère Jérémie doit aller chez un pote et mes parents travaillent toute la journée.
 
Savoir que je vais revoir Patrick dans quelques heures me met du baume au cœur. Je raccroche et parviens enfin à m’endormir jusqu'à onze trente. Le soleil brille. Ce sera un nouveau jour.
J engloutis un petit déjeuner de sumo et vais file me brosser les dents avant que Patrick se pointe. Le bruit de la sonnette retenti et c’est à ce moment là. Je file ouvrir la porte et me trouve nez à nez avec Valentin. Il arbore un magnifique sourire mais se ravise quand il voit le mien disparaître.
-Je pense qu’il faut qu’on se parle Julien.
-Je ne pense pas que ce soit le bon moment. C’est un peu tôt.
-Pourquoi ?
-Pourquoi ? Je me rends compte que j’ai crié.
-Oui pourquoi ? je vois pas pourquoi, Moi j’ai des choses importantes à te dire.
-Là tu vois, il y a quelques jours je me suis fais baiser par ton frère, disons même enculer par ton frère. Je t’ai offert mes fesses pour la première fois avec tout ce que cela représente de confiance et je me rends compte que je me suis fais baiser par Maxime.  
-T’aurais dû te rendre compte que ce n’était pas moi, dis Valentin un peu sèchement.
-Comment me rendre compte ? Vous vous ressemblez comme deux gouttes d’eau. J’aurais dû mesurer sa queue quand il me la mit dans le cul ?
J’arrache un sourire à Valentin ce qui n’est pas mon intention. Ma grossièreté inhabituelle semble le surprendre.  
-Oui peut-être bien que tu aurais dû mesurer sa queue. Tu te serais rendu compte qu’elle a trois centimètre de plus que la mienne.


-Tu sembles bien renseigné, dis-je après un temps de silence.
-Oh putain de merde, t’a un frère aussi. Tu vas pas me dire que tu l’as jamais vu bander ou se branler.
Je ne réponds pas; je dévisage Valentin mais n’arrive pas à décoder ses tics nerveux. L’idée qu’il était de connivence et qu’il m’aurait prêté à son frère comme on prête une revu porno à ses potes quand on a douze ans et qu’on est soudain le héros de la classe me hante.
L’idée que Valentin n’osait pas me pénétrer et qu’il a proposé mes fesses à Maxime pour me dépuceler a tourné dans ma tête toute la nuit. Je ne sais pas quoi penser.
-Donne moi du temps, dis-je plus calmement. Faut que j’y vois plus clair.
Valentin tourne les talons et je le vois disparaitre en un instant.
Je reste planté là en pyjama et des larmes embrouillent mes yeux.

 

a suivre

10/14


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Par thierrydeparis
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recit gay de julien

 

Ma nuit entière est peuplée de Patrick et de Valentin. Jérémie aussi fait partie de mes rêves. Comment de petit puceau, je suis passé en quelques jours à un mec suffisamment assuré pour quittant les bras d’un garçon, je flirt avec un autre. Pire, me connaissant, je me prends à aimer le contact d’un pénis dans ma bouche. Découvrir son odeur, sa saveur, sa douceur. Le laisser entrer encore souple et le sentir durcir sous ma langue. Voir les yeux et la bouche de Valentin quand il est prêt à jouir ou ceux de Patrick qui s’excuse d’éjaculer sur mon visage. Quand Valentin glisse sa langue experte sur la mienne inexperte ou quand Patrick s’abandonne contre moi.
Je tourne et retourne dans mon lit, en sueur.
Soudain, j’aperçois dans la pénombre la poignet de la porte qui s’ouvre. C’est Jérémie qui apparaît dans l’encadrement. Il est torse nu et porte juste un boxer blanc sur lequel reflète la lumière de la rue.  
Je ferme les yeux et fais semblant de dormir. Je n’ai pas envie qu’il vienne encore me faire part de ses états d’âme. J’en ai assez des miens.  


Au bout d’un instant, n’entendant aucun mouvement j’entrouvre les yeux et découvre Jérémie planté au beau milieu de ma chambre, le boxer sur ses chevilles et en train de se branler sans aucune pudeur. Ouvrir les yeux ou rester immobile ? la question me trotte furtivement dans la tête mais ne vois que des inconvéniant à réagir. La gêne de jérémie serait terrible, et je ne saurais pas ce qu’il compte faire et puis je dois avouer qu’entrevoir dans la pénombre Jérémie en train de se branler est un spectacle exceptionnel.  
A quel moment  son corps est passé de celui d’un petit garçon à celui d’un adolescent, aux performances sexuelles prometteuses. A quoi j’avais la tête pour ne pas voir à la piscine ou en sport ou lors de nos bagarres amicales ou encore nos parties de chatouilles que son corps avait muté, que ses bras et ses cuisses étaient devenus puissants et que son sexe avait poussé comme une plante bien arrosée.
 
Jérémie approche. Je ferme les yeux me privant hélas de la vue en gros plan de sa queue. Je sens ses doigts tirer doucement ma couette. Jérémie est délicat s’efforçant de ne pas me réveiller. Centimètre après centimètre il descend ma couette. Un léger frisson parcourt mon corps exposé aux yeux de mon frère. Il a rabattu la couette après mes pieds nus et je devine qu’il me regarde dormir. Je sens ses doigts prendre doucement le bord de mon boxer qui baille sur le bord de ma cuisse. Jérémie ose glisser sa main à la rencontre de mes couilles et son rendez-vous ne tarde pas. Je sens le bout de ses doigts que je reconnais effleurer doucement mes couilles. Je frémis et fais semblant de bouger dans mon sommeil. J’ouvre mes cuisses blanches pour facilité l’accès de mes couilles à Jérémie. Il est là, il a eu le courage de venir me voir dormir, il a envie de me toucher les couilles. Qu’il en profite alors !
Je me laisse faire et j’entends un petit mouvement frénétique que je devine être la main droite de Jérémie branlant sa jolie queue. J’ai l’impression que je suis le pire des vicieux mais me réconforte en me disant que c’est Jérémie qui est venu dans ma chambre, pas le contraire; en tout cas pas cette nuit…
Jérémie continue son exploration dans mon boxer; tel Indiana Jones, il attrape mon graal qui tient fermement dans la main. Comment pense t-il qu’avec une telle pression sur ma queue je ne me réveille pas; à moins que ce soit délibérer et qu’il serre ma bite pour que je me réveille.  


Je décide malgré ça de ne pas bouger curieux de savoir jusqu’où Jérémie est capable d’aller. Je le découvre hélas trop vite. Il lâche ma queue et sa main quitte mon caleçon. Un liquide chaud zèbre mes orteils su pied droit.  
-Merde, chuchote Jérémie qui de toute évidence vient de m’éjaculer sur les pieds.
Je l’entends s’agiter. Pauvre Jérémie. Il prend un vêtement posé sur la chaise de mon bureau. Je crois que c’est un tee-shirt. Il essuie maladroitement mes pieds. Je m’impose la plus grande concentration pour ne pas bouger chatouilleux comme je suis. Jérémie a, à ce que je vois rentré sa queue.  
Un instant d’après, j’entends Jérémie quitter ma chambre. J’espère qu’il a trouvé ça agréable parce que moi terriblement. Un peu de son sperme coule encore dans ma cheville. Je décide d’y plonger mon majeur et le porte à ma bouche. Le pose mon doigt sur ma langue et après une courte hésitation je lèche la semence de mon frère. Elle est amère mais son gout me trouble et laisse frémir ma queue devenue raide.

 

Ce matin, le soleil brille dans le ciel et dans ma tête. Il fait froid dehors mais la lumière me donne toujours le moral. J’ai pris mon petit déjeuner avec Ma mère et Jérémie. Celui-ci m’a regardé avec un drôle d’air pendant tout le repas. S’est-il demandé si je me douté de quelques choses concernant ce qu’il m’avait fait la nuit précédente ? Ou bien alors, peut-être qu’il s’est dit : «J’ai touché la queue de Julien».  
En tout cas, je n’ai pas trouvé la réponse et je me suis contenté de fuir son regard trop pesant. Je me suis penché sous la table pour récupérer ma serviette tombée et j’ai remarqué que Jérémie bandait fort dans son caleçon. Cette vision a provoqué chez moi aussi une érection tellement forte que j’en avais mal à la queue.  
 
Pourquoi Jérémie, pourtant encore plus pudique que moi (et ce peu de le dire), lui qui m’a caché son sexe depuis au moins trois ans, se met t-il a m’exposer sa queue à tout bout de champ ? J’essaye de rester calme mais faut dire que Jérémie est tellement sexy et cute que j’ai beaucoup de mal.
Aussitôt le petit déjeuné fini et le départ de ma mère je file retrouver mon cellulaire (interdit à table) . Il m’attend bien sagement sur ma table de chevet avec sur l’écran un «trois messages non lus». Mes doigts s’agitent sur le clavier et je mets le haut parleur.
-message un- dit mon téléphone : «Salut Julien, c’est moi, c’est Valentin. Comme tu me manquais, je compter t’inviter pour qu’on se voit». Mon cœur palpite dans ma poitrine.  
 
J’écoute le message suivant : «C’est encore moi. J’ai envie de te voir Julien. Appelle-moi s’il te plait». Sa voix me fait chavirer et je maudis les règles familiales qui bannissent les cellulaires à table. Enfin, le dernier message : «Julien viens chez moi, je suis seul». Mon cellulaire indique que le message date de moins de quinze minutes. Je saute sous la douche et me savonne dans les moindres recoins des fois que Valentin veuille recommencer les mêmes folies que lors de notre dernière rencontre. Je me sens un peu mal à l’aise par rapport à Patrick. J’ai l’impression de le trahir mais je m’efforce de ne pas trop y penser.  
 
Égoïste me direz-vous ? Manipulateur ? Je ne suis ni l’un ni l’autre. La seule manipulation c’est celle de mon cœur qui ne sait pas vers qui se tourner complètement. Peut-on être amoureux de deux garçons à la fois ? Oui mille fois oui. Quand je suis avec Patrick j’oublie Valentin et Valentin me fait oublier Patrick. Si je ne peux choisir, je pense qu’eux le sauront.
 Valentin m’accueille par une poigné de main qui me glace le sang. L’instant d’après j’aperçois un homme, son père qui s’apprête à quitter la maison. Ouf, dieu merci. Je ne lui ai pas sauté au coup. Je réalise que la vie que j’ai choisi, une plutôt la vie qui ma choisi, celle de l’homosexualité et celle de la clandestinité. Pas de promenade main dans la main ou de baiser échangés sans le regard réprobateurs des autres.

 

Le père de Valentin s’éclipse et la langue de Valentin s’éclipse dans ma bouche. Il me plaque contre le mur et me caresse de partout avec une excitation qui me fait chavirer. Je sens sous souffle sur ma joue et il caresse mes cheveux en les ébouriffant.  
J’ai cette pensée stupide sur le fait que quand mes cheveux sèchent en bataille, je ressemble à un épouvantail; mais là, je veux bien être l’épouvantail de Valentin.
Il m’entraine dans sa chambre et debout l’un et l’autre, on se déshabille mutuellement, affamés par nos corps, dévoré par nos baisers, dégustant nos caresses. Enfin en boxer tous les deux on se jette sur le lit de valentin. Il me renverse et vient sur moi. Ma résistance et proche de zéro et je le laisse me dominer assis à califourchon sur mon sexe encore couvert.  
Les baisers de Valentin deviennent moins fougueux et sa langue est plus langoureuse dans ma bouche et sur ma peau. Son changement de rythme me déstabilise mais je dois reconnaitre que c’est Valentin qui dirige nos étreintes.  
Valentin abandonne sa position pour venir se mettre à quatre pattes au dessus de moi, son visage face à mon sexe dressé dans mon minuscule boxer devenu trop serré. Valentin glisse ses doigts dans l’élastique et le descend sur mes pieds nus qu’il caresse. Ses yeux quittent les miens avant de s’accrocher à ma queue implorant les caresses et les baisers.


J’écarte les cuisses pour lui montrer que je suis tout à lui et Valentin pose mes mollets sur ses épaules frêles, puis il plonge littéralement sa tête sur mon pénis dressé comme un pieu. Ses lèvres me décalottent avec précision et je ne peux retenir de petit gémissement que j’aimerais plus graves. Mes doigts se perdent dans les cheveux de Valentin et je perds tout mes moyens, totalement à la merci de mon amoureux.  
Mon corps se cabre et mon gland disparait dans la bouche de Valentin qui l’avale sans hésitation. J’ai les cuisses si écartées que mes hanches me font mal mais je veux tant me donner à Valentin que cette douleur est ridicule comparer au plaisir que me donne la langue un peu maladroite de Valentin.
-Julien… je voudrais te pénétrer, s’il te plait…je serai délicat.
-oh oui Valentin, j’en ai envie. Je veux que tu viennes en moi doucement.


-Attend moi dit-il.  

Je le regarde se lever. Il est incroyablement beau tout nu, son pénis fièrement dressé. Il se penche vers un tiroir et je regarde ses fesses et me demande ce que j’éprouverais si j’y glissais mon sexe. Valentin revient vers moi un petit tube à la main.
Il l’ouvre et étale une petite quantité sur son pénis et du bout de ses doigts que je sens tremblants en pose une noisette sur mon anus. Le contact de ses doigts qui explorent cette zone si intime me fait gémir à nouveau et si ma voix ressemble à celle d’une fille, je m’en fou à présent. Valentin glisse un doigt sans résistance dans mes fesses. Il explore mon anus que je lui offre avec soumission. Je sens un deuxième doigt pénétrer se qui me fait pousser un petit cri de douleur. Les yeux de valentin s’en inquiète mais je les rassure.  
Valentin, de ses longs doigts commence un va et vient entre mes fesse mais ses doigts ne me comblent plus. Je veux quelques chose de plus gros, de plus dur, de plus long, de plus raide.
-Valentin, vas-y, pénètre moi. Je veux sentir ta queue dans moi.


Valentin pose à nouveau mes mollets sur ses épaules et présente son gland face à mon anus.
-Guide moi Julien, murmure t-il.
Je saisis alors son sexe d’une raideur incroyable et pousse son gland dans moi. Je sens à l’orée de mon anus la douceur de l’extrémité de son pénis. Je crée de petits frottements mais la verge de Valentin glisse à la perfection dans mes fesses. Je suis étonné de la facilité avec laquelle elle rentre. Je regarde le visage de Valentin qui prend visiblement beaucoup de plaisir aussi.  
Je pose mes mains sur ses fesses que je sens se contracter à chaque coup de rein.
Valentin gémit aussi et je m’amuse de trouver sa voix aussi aigue que la mienne.  
Valentin me pénètre à présent avec rapidité et je suis prés à jouir aussi, tout de même surpris que cette pénétration me procure autant de plaisir. Je n’en peux plus, je veux sentir son sperme inonder mon ventre et je le dis ou plutôt le cris.
Valentin ne résiste pas plus longtemps et colle finalement son pubis contre mes fesses pour dans un ultime mouvement de bassin venir gicler tout son plaisir en moi.
Je suis quasiment inconscient.

 

a suivre


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Par thierrydeparis
Communauté : Gay infos

recit gay de julien

 

Il est dix-huit heures quand je rentre à la maison. J’ai passé un long moment allongé tout nu sur le lit de Valentin et je l’ai laissé explorer tout mon corps avec ses yeux d’abord puis avec ses doigts et enfin avec sa langue. Pudique, je me suis laissé faire me pliant à ses demandes et à ses désirs. Nous nous sommes finalement branlé mutuellement en échangeant de longs baisers où nos langues complices nous ont fait frémir et vibrer de plaisir.
Ensuite, malgré le froid, je suis rentré à pied. Il fallait que je réfléchisse à Valentin et Patrick. Pourquoi je ne suis pas capable de me décider. Comment peut-on être amoureux de deux garçons à la fois; car c’est bien de l’amour. Ce n’est pas une vulgaire histoire de cul. J’ai besoin de Valentin et j’ai besoin de Patrick. Quand ils plantent leurs yeux dans les miens, je me sens bien et épanoui. Leurs seules présences me comblent.
Pas plus tôt rentré qu’on sonne à la porte. Patrick apparaît dans l’encadrement. Il ne sourit pas. Ses yeux sont graves.
-Il faut que je te parle Julien, déclare t-il.
Je l’invite à me suivre et l’entraine dans ma chambre dont je ferme la porte à clé.
Patrick me fait fasse. Son visage m’inquiète.
-Julien, tu ne peux pas ouvrir les yeux une fois pour toute !
Je ne réponds pas. Je ne sais pas de quoi il parle alors je préfère attendre avant d’ouvrir la bouche et de laisser échapper une bêtise.


-Julien, je t’aime. Tu ne le vois pas. Je t’aime comme un fou et tu ne me rends pas un centième de  l’amour que je te porte.  
Ses yeux ont rougi. Je suis bouleversé et ne trouve rien à répondre. Je m’approche de lui et prends sa tête dans mes mains et la pose sur mon épaule. Il pose son front dans mon cou et je sens la chaleur de son souffle qui frémit doucement.
-Moi aussi je t’aime Patrick. Moi aussi j’ai besoin de te voir et de te toucher…
«Seulement il y a Valentin, hein ?»
J’embrasse sa nuque et choisi de me taire ce qui donne la pire des réponses que Patrick aurait souhaité.
«Julien…je…je…je suis prêt à te partager s’il le faut.»
Je me sens subitement trop aimé pour ne pas dire mal aimé. Pourquoi moi qui toute mon enfance et toute mon adolescence ai été tellement seul et que subitement je suis aimé de deux garçons ?
Patrick incline la tête vers moi et embrasse mes lèvres. Je répond à son baiser et sa langue vient caresser la mienne encore parfumée du sperme de Valentin.

 

-Il faut que je mette de l’ordre dans ma vie Patrick, dis-je mes lèvres collées aux siennes.
Patrick me sourit radieux et je fonds contrairement à ma queue qui se prend pour le mont blanc.  Patrick m’embrasse dans le cou et me laisse aller à la délicatesse de sa bouche. Je colle son bassin sur le mien sentant sa queue raide presser la mienne. J’ai envie de me coucher sur mon lit et de le laisser me faire l’amour mais je sais aussi que mon père et Jérémie vont arriver d’un moment à l’autre. Je regarde furtivement ma montre. Dans dix minutes maximum, ils seront là, envahissant, interrompant brutalement l’étreinte que je pourrais avoir avec Patrick. Dix minutes pour se déshabiller et se laisser aller aux caresses de Patrick, c’est très court mais dix minutes utilisées autrement peuvent suffirent.
Je délaisse la bouche de Patrick en m’agenouille devant lui, à ses pieds. Je frotte son sexe au travers de son jeans puis déboucle sa ceinture. Je déboutonne sa braguette et glisse ma main dans son boxer pour aller y chercher son pénis. Il en sort dressé, décalotté partiellement. Je tire doucement sur son prépuce et découvre amoureusement son gland rose. Si on m’avait annoncé que je puisse faire ça, que je prenne l’initiative, petit puceau frustré, je ne l’aurais pas cru, pas même imaginé.


Je tiens doucement le long pénis raide de Patrick. Il est chaud et un peu humide. Je Joue doucement avec son prépuce délicat et glisse ma main gauche jusqu'à ses couilles imberbes, Patrick ne ferme pas les yeux, au contraire, il ne me quitte pas du regard et la bouche entrouverte m’offre la vision de son plaisir intense. Je pose mais lèvres sur son gland. Elles l’épouse totalement puis au ralenti, je laisse coulisser la verge de Patrick dans ma bouche. Centimètre par centimètre, mon nez s’approche des poils de son pubis dont je sens le doux et salé parfum. De mes mains inexpertes, j’ai sorti son sexe en entier de son boxer et joue du plaisir de Patrick. A présent, je suce avec soin la queue de Patrick tout en massant ses couilles brulantes de plaisir. Mes yeux ne quittent pas ceux de Patrick. Je me sens gêné qu’il me voit sa grosse queue dans ma bouche mais je prends tant de plaisir à lui en donner que je continue appliqué comme un bon élève.
Je devine que les minutes passent à pas de géant et qu’il est tant de faire jouir Patrick si je ne veux pas interrompre son plaisir brutalement.


Je serre un peu plus mes lèvres sur la queue de Patrick. Le frottement plus intense me fait un peu mal aux lèvres mais le plaisir de Patrick est à son apogée. Mes doigts s’accélèrent sur ses couilles et Patrick commence de petits coups secs de son bassin, laissant s’enfoncer sa bite plus encore dans ma bouche. Je vois à son visage et entends à son souffle court que Patrick va jouir. Il repousse doucement mon front sortant sa bite de ma bouche. Sans même y toucher, son pénis inonde mon visage de la douce chaleur de son sperme.
«Oh, Julien, je suis désolé, je ne voulais pas…j’ai pas réussi à me retenir.»
Patrick s’agenouille face à moi, embrasse mon visage et lèche son sperme salé. Je ferme les yeux pour avoir plus encore la sensation de sa langue sur ma figure. Avant qu’il n’ait complètement terminé, un joyeux brouhaha envahit le hall d’entrée.
-Julien, c’est nous, hurle Jérémie.
Les yeux de Patrick restent plantés dans les miens. Il ne parle pas, il ne respire plus. Le silence éphémère n’est que la magnificence de notre amour.

 

a suivre


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